Le Secrétaire d'État britannique à la Justice Chris Grayling attire l'attention des auteurs, qui se remontent les manches. La décision de limiter l'envoi de livres dans les prisons, sous certaines conditions, ne plaît pas du tout aux écrivains du pays. Une fronde emportée par des grands noms de la littérature outre-Manche a décidé de faire reculer le politique. La « fin de la justice douce », qui passe par une pareille discrimination, ça reste un peu en travers de la gorge…