Les voisins et les passants ne s’en émeuvent pas outre mesure : c'est là, c'est là. D’ailleurs, depuis six mois que cette poubelle devenue gigantesque, a commencé à se constituer, elle a grandi de jour en jour. Journaux, livres, magazines s’empilent les uns sur les autres — il faut bien que le quartier alimente cette décharge aussi improvisée qu’insolite… Alors, on n'en parle pas trop ?