Il n'est pas même utile de comprendre parfaitement l'anglais pour découvrir le discours dont John Steinbeck gratifia l'Académie Nobel, lors de la remise de son prix en 1962. Oh, ce n'est pas faute d'avoir dit de jolies choses dans cette déclaration, sur le livre, la littérature, le monde et le reste. Mais la voix manquait singulièrement de passion...