échanges partage éditeurs

Après plusieurs années de négociation et des critiques continues quant à ses conditions d'élaboration, le traité transpacifique, ou accord de partenariat transpacifique, a été révélé dans intégralité, un mois après l'annonce de la fin des tractations à Atlanta. D'une manière générale, les dispositions qui concernent les technologies de l'information et de la communication tendent à défavoriser l'usager.

En France, le service civique a le en poupe et le gouvernement tente de développer au maximum cette initiative qui permet à des jeunes de s’engager dans des missions de plus en plus variées. C'est dans ce cadre qu'une nouvelle dimension va être donnée au service civique avec une ouverture vers l’Italie.

Allô, non mais allô quoi. T'es une cabine téléphonique et tu ne trouves plus de quoi émettre ou réceptionner ? Phonebook, d'un bout du fil à l'autre, c'est tout un concept, un rien téléphoné certes, et qui vise à redonner une utilité à près d'un millier de ces habitacles de verre, parisiens, en voie de disparition. L'idée prend la forme d'un réseau urbain et participatif de partage de bouquins, en mettant à profit ces désormais vestiges du bitume estampillés France Telecom. Un procédé d'échange qui ne semble pas près de raccrocher.

Dédicaces - Vendredi 15 février 2013 à 16h00 - A la librairie

Depuis vendredi dernier, l'accord Google Books a officiellement été reporté à une date ultérieure - bonjour les pléonasmes - en attendant que les parties concernées façonnent avec la firme californienne une nouvelle mouture de leur sujet.

Le réseau social Facebook, toujours à la recherche de moyens pour renouveler l'intérêt de ses membres, a proposé à des éditeurs de presse de publier directement leurs articles sur la plateforme, en échange d'un partage des revenus publicitaires.

Du 13 au 18 décembre prochainsn au Centre national du livre, le Bureau international de l’édition française organise des rencontres entre éditeurs arabes et français. L’occasion de partager et d’échanger, entre professionnels.

Simplicité et fiabilité pour les éditeurs, confort dans les commandes pour les libraires, ExpressEditeurs.com entend dynamiser la livraison de livres. Un service qui permet d’obtenir en 48 h, pour les librairies, des ouvrages de petits éditeurs... véritable révolution ?

Arrêté en Turquie le 28 octobre 2011 en même temps que 41 autres personnes, pour ses liens présumés avec le KCK (l'Union des communautés du Kurdistan), l'éditeur de la Maison d'édition belge, Ragip Zarakolu vient de recevoir le soutien de l'Union internationale des Editeurs (UIE) qui exige la libération immédiate de l'éditeur.

L’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), la Conférence de Directeurs des Ecoles Françaises d’Ingénieurs (CDEFI), la Conférence des grandes écoles (CGE) et la Conférence des Présidents d’Université (CPU), ont signé le 12 juillet, à Paris, un accord de partenariat pour renforcer, au sein de la francophonie, les collaborations, les échanges d’expertise et d’information, le soutien à la formation et à la recherche, à l’innovation et à la valorisation des universités et grandes écoles dans le but de contribuer au développement global.

Pour rendre la vie des professionnels plus simple, un outil a été mis en place par l’UNIIC et le SNE. Réunissant donc les acteurs de l’imprimerie et des industries graphiques, ainsi que les éditeurs de livres, Clic.EDit souhaite fluidifier les interactions entre les différents opérateurs du livre.

Klassroom est une application, un réseau social, accessible depuis un ordinateur, une tablette ou un smartphone, qui permet aux enseignants d’échanger directement avec les parents. Elle dispose de plusieurs outils pour favoriser la communication entre l’école et la famille. 

La période de confinement de 2020 a profondément modifié les relations entre les familles et l’école. Nombre de parents et enseignants ont dialogué, se sont redécouverts et parfois même mieux compris. Pour certains parents et enseignants, la "continuité pédagogique" s’est installée facilement. Pour d’autres, elle s’est avérée plus complexe à mettre en oeuvre.

L'association Lecture Jeunesse, qui œuvre pour développer la lecture et l’écriture chez les adolescents, a dirigé une enquête menée par la docteure en sociologie Stéphanie Kellner pour mieux comprendre l'accueil de classes, et principalement d'adolescents, dans les bibliothèques publiques. Il en ressort qu'une majorité d'établissements accueille plus de 10 classes par an, mais que le primaire domine encore largement le secondaire, jugé plus difficile par les professionnels.

Dans le cadre de son projet « Heritage Made Digital », la British Library a achevé la numérisation d’une vingtaine de précieux manuscrits datant des dynasties Tudor et Stuart. Des correspondances de rois et de reines sont désormais accessibles gratuitement et offrent un éclairage nouveau sur cette période.

Dénommé Sharing : Culture and the Economy in the Internet Age, le dernier livre de Philippe Aigrain et de sa fille Suzanne vient proposer de nouveaux modèles d'échanges de biens culturels à l'ère du numérique.

La FCPE, l'UNL et l'Unef, trois organisations représentatives respectivement des parents d'élèves, des lycéens et des étudiants ont publié un communiqué commun pour demander une réforme du bac. Cet examen serait, à leurs yeux, le « grand oublié » de la grande concertation lancée sur la refondation de l'école, rapporte l'AFP. Voilà donc un serpent de mer qui refait surface...

Le 10 juin 2015 s’est tenue une nouvelle réunion au sein du ministère de l’Education nationale pour discuter autour de la mise en œuvre concrète de la réforme du collège. Cependant, « les organisations de l'intersyndicale, devant le refus de la ministre de rouvrir la discussion sur le fond de la réforme, et la volonté de ne discuter que d'un texte portant sur les modalités d'application ont quitté la séance 

C’est presque un lieu commun en France : un français sur deux se met à écrire un livre dans sa vie. Les éditeurs en reçoivent une proportion considérable en manuscrits, complets ou partiels, et n’en retiennent qu’une infime partie, devant trier, quand ils y parviennent, entre ceux qui sont appropriés à leur positionnement éditorial, ceux qui sont d’une qualité suffisante pour être publié, même avec un accompagnement préalable et ceux, la très grande majorité, qui ne rentrent pas dans leurs critères. Parmi ceux-là, beaucoup aimeraient un soutien, un espace de dialogue, un retour sur leurs écrits dont ils ont bien conscience de l’imperfection.

Une association de quartier normande baptisée Harmonie a décidé de réagir aux attentats du 13 novembre dernier à sa manière : les petits Normands sont invités à échanger leurs armes en plastique... contre des livres. 

Voici une correspondance qualifiée d’inédite par l’éditeur Flammarion, réunissant les échanges entre 1925 et 1939. Rémy Amouroux a réalisé l’appareil critique de « cette volumineuse correspondance », s’appuyant sur une traduction d’Olivier Mannoni. Cet ouvrage de 1200 pages sera à découvrir le 19 octobre.

Exclusif : Avec malgré tout une année de retard sur ses concurrents, Google Play se décide à ouvrir un nouveau service de partage en famille. Partage en Famille sera introduit, selon nos informations, dans les prochains jours, voire semaines. Une fonctionnalité qui autorisera le Responsable de famille à partager ses achats avec les membres de sa famille.

AVANT-PARUTION – Édouard Dumortier, fondateur de la start-up nantaise AlloVoisins, revient à travers son premier ouvrage Le futur de l’économie collaborative, sur les limites de notre modèle économique traditionnel. Il évoque aussi l’accélération de l’économie collaborative à l’heure de la crise sanitaire et économique. 

Edumoov, plateforme numérique d’aide aux enseignants du premier degré, prolonge l’accès gratuit à son application 

Google avait été très clair au moment de dévoiler son nouvel algorithme : les règles allaient changer, pour le plus grand bien des ayants-droits... Ou presque : l'auteur d'un manuel sur le codage à partir du langage informatique Python s'est vu privé de publicités, et donc de revenus Google AdSense pour avoir tenté de partager gratuitement son livre via Pirate Bay et Demonoid, deux sites souvent utilisés pour des partages illégaux.

La formule de Marc Andreessen a fait des ravages : « Pourquoi les logiciels ont mangé le monde ? » Concise, fulgurante, cette conclusion observait tout simplement le mouvement en cours. Les start-ups montées sur internet dévorent littéralement la toile, et notre quotidien. Dévorent, ou facilitent, c’est selon, mais explorent la Share Economy, l’économie du partage. Sauf que, qui partage quoi ? 

La société BitTorrent continue de développer des applications innovantes pour faciliter le partage de fichiers entre des particuliers ou des professionnels. Dernière nouveauté en date, une application dénommée Shoot.

Savez-vous planter des choux, à la mode du Wisconsin ? On ne les plante ni avec les pieds, pas même avec le front ou le nez, non, dans l'État américain on se sert désormais des bibliothèques publiques. Tandis que se popularise l'habitude de « consommer-local », le nouveau service de prêt consiste à fournir le lectorat, en graines prêtes à semer. L'emprunteur rapporte quant à lui les semences qu'aura ultérieurement produites sa plantation. Pratique.

Les pirates d'hier sont devenus les consommateurs d'aujourd'hui, bien que les générations se suivent, que les outils s'améliorent et que l'on trouvera toujours sur le net de quoi satisfaire sa soif de produits culturels. Le monde du livre est le dernier à devoir affronter cette question, et pour le moment, en France comme ailleurs, les réactions sont hésitantes. Or, à mesure que se diffuse le livre numérique, le partage de fichiers s'accélère. Certes, pour les nouveautés des maisons, cette pratique peut poser problème. Toutefois, le monde du livre ne se limite pas à elles : entre marketing et piratage, se joue la question de la diffusion. Le commercer de demain repoussera-t-il les limites pour jouer avec la contrefaçon ?

Le débat sentait gentiment la naphtaline, et ne se retrouvait plus que dans les pages Culture du Figaro. Après, c'est Jean d'Ormesson qui le dit : « Le Figaro, pour la littérature, c'est désastreux. » Pourtant, profitant de la Foire du livre de Londres, la question est revenue : les éditeurs vont-ils mourir ?