Barnes & Noble numérique Nook

pub TV pour le Nook : La riposte de Barnes & Noble à Amazon

Le Nook sous Android en vente chez Barnes & Noble le 30 novembre

Le Nook de Barnes & Noble, un plagiat du Alex de Spring Design

Le modèle à double écran que l'on avait dévoilé précédemment, et dont le nom reste encore un grand mystère de la métaphysique - Nook... - est donc dévoilé aujourd'hui, bien que l'on connaisse déjà son tarif : 259 $. Soit autant qu'un Kindle 2, avec un écran LCD... On gardera bien le clavier virtuel sur le petit écran LCD. Mais l'une des grandes interrogations autour de ce modèle concernait la possibilité de partager les livres avec ses amis.

Mais finalement de tout ce qui est technique on ne saura pas grand-chose surtout parce que les caractéristiques tendent à s'uniformiser et que les images précédemment dévoilées étaient largement évocatrices. si ce ne sont ces 2 Go de mémoire interne, ou encore les connectivités 3G, passant par le réseau AT&T, que Noook utilisera ou WiFi (uniquement dans les boutiques Barnes & Noble) à laquelle on s'attendait fortement.

Reste qu'en matière de prêt, une révolution s'opérera, puisque l'on pourra échanger ses livres avec ses amis durant 14 jours, au terme desquels le livre sera illisible. Une manière assez polie de dire que le temps d'emprunt s'éternise.

Dans un partenariat avec l'organisation Get London Reading, le libraire Barnes & Noble va offrir 1000 exemplaires de son Nook, pour soutenir la campagne d'alphabétisation. Ce projet vise à donner au plus grand nombre possible de citoyens britanniques, un accès aux livres et à la lecture. 

La chaîne de librairies américaine, dont les titres numériques sont désormais accessibles depuis 32 pays et dans 21 langues, lance une nouvelle campagne à l'attention d'une partie de sa clientèle européenne utilisatrice de l'application Nook sur Windows 8. Notamment pour ceux qui résident en Suisse, Espagne, Italie ou encore aux Pays-Bas. Les bénéficiaires se verront offrir l'accès gratuit à cinq titres numériques, comprenant des livres et magazines.

Microsoft n'a jamais vraiment été un nom associé à la lecture numérique, et l'une de ses incursions dans le secteur prendra fin d'ici quelques semaines. La société invite en effet les consommateurs qui utilisaient leur compte Microsoft pour faire leurs emplettes dans la boutique Nook de Barnes & Noble à procéder à quelques mises à jour, pour ne pas perdre leurs achats. Le partenariat entre les deux acteurs remonte à l'année 2012.

La chaîne de librairie américaine Barnes & Noble se réjouit d'une hausse des ventes dans ses boutiques, au cours des vacances des fêtes de fin d'année. De même, les achats à travers le site internet flambant neuf BN.com ont été satisfaisants : cela dit, le numérique reste un point faible du vendeur, qui accuse encore le coup d'une baisse des ventes de ses produits Nook.

Barnes & Noble : le numérique sauve les résultats du premier trimestre

Un quart du marché numérique pour Barnes & Noble en 2013

Le livre numérique en librairie : Amazon face à Barnes & Noble

Le 16 avril se déroulera une rencontre au sein de l'Espace numérique (Digital Zone), entre des éditeurs et des développeurs de l'App Zone, un espace dédié aux ebooks et aux applications pour la plateforme Android. Les développeurs du Nook seront à ce titre les invités de cette soirée.

La plus grosse chaîne de librairies des États-Unis semble avoir des problèmes de trésorerie et accumule les retards de paiement depuis quelques semaines. L’entreprise, qui avait dû se résoudre à fermer les portes de pas moins de 400 de ses magasins, accuse elle aussi le coup (coût ?)  du confinement.

La presse allemande se fait le relais de ce qui pourrait bien être une information bouleversifiante. Le libraire Barnes & Noble, soucieux d'exporter sa marque et son savoir-faire, tout autant que de relever son chiffre d'affaires, envisage d'arriver sur le marché allemand sous peu. Très peu. 

En terme de résultats de ventes, Barnes & Noble a habituellement donné l'image d'une entreprise des plus compétitive sur le marché des tablettes et autres liseuses. Pourtant, il semblerait désormais au premier coup d'oeil que leurs affaires soient en perte de vitesse, à moins que l'entreprise n'ait plutôt décidé de faire place nette en prévision de l'arrivée sur le marché de son nouveau produit.

Refourguer du numérique avec du papier

Barnes & Nobles a confirmé son projet de déployer son offre uniquement en ligne à l'international, excluant toute ouverture de magasins de « brique et de mortier » à l'étranger, lors d'une conférence à Londres hier, rapporte The Bookseller. 

Entre la chaîne de librairies américaine Barnes & Noble et la lecture numérique, le torchon brûle depuis un moment. B&N s'était engagé rapidement dans le livre numérique, avec la création d'une filiale dédiée au format, Nook, et une série d'appareils de lecture qui étaient, à l'époque, plutôt novateurs. Mais, à force de mauvaises décisions et d'une offre défaillante, le Nook prend l'eau.

L'application Nook Kids pour iPad et iPhone a été mise à jour par Barnes & Noble.

Le libraire américain Barnes & Noble signe-t-il son retour dans le monde numérique ? Après avoir abandonné son lecteur et sa division ebook, le Nook, voici qu’il revient dans la course. Le CEO Ron Boire a annoncé au cours d’une conférence qui se déroulait en Californie le projet d’un « prototype de librairie orientée numériquement ». 

La séparation de l'activité numérique chez Barnes & Noble a provoqué une augmentation de 6 % de la valeur des actions, pour la seule journée d'hier, pour la chaîne de librairies. Au cours de la semaine passée, les actions avaient déjà grimpé de 13 %, alors que le conglomérat Liberty Media, la section numérique, dirigé par John Malone, a affirmé qu'il vendait 90 % de ses participations - soit 17 % de parts. 

« O tempora, O mores », s'indignait Cicéron face à Catilina. Eh bien, outre-Atlantique, le chien de garde de la morale conservatrice, l'organisation à but non lucratif et reposant sur une foi inébranlable (hem !) en la justice divine, vient de présenter son rapport des plus grands diffuseurs de pornographie. Morality in Media s'est fait un devoir de défendre le peuple contre toute manifestation de ce genre. Et ça bosse dur...

Comme le rapportait ce mercredi The Digital Book World, le PDG de la maison Barnes & Noble s'est exprimé dernièrement face aux caméras de la chaîne Bloomberg TV. L'occasion pour  William Lynch d'affirmer la bonne tenue du bilan de la firme cette année, avec des résultats supérieurs aux attentes.

C'est sur Berlin que Barnes & Noble a jeté son dévolu pour y implanter une première SARL européenne, avec à sa tête Eugene DeFelice, l'un des vice-présidents de B&N. Poursuivant ses perspectives d'ouverture au marché de l'ebook européen, Barnes & Noble prévoit un partenariat local, probablement la meilleure option pour éroder les 43 % de parts de marché détenus par Amazon.

Fermer ou ne pas fermer ses librairies de brique et de mortier en situation de crise ? Telle était la question que se posait sérieusement la chaîne Barnes & Noble,

Les dirigeants de Barnes & Noble ne coucheront sûrement pas sur la paille demain soir. Même si le trésorier gagne désormais plus que PDG de la chaine, qui a vu son salaire chuter de 90 % cette année.

Depuis plusieurs mois, Barnes & Noble, la chaîne de librairies américaines, annonçait les préparatifs pour séparer ses activités. D’un côté, il y aurait la dimension scolaire, avec la création de B & N Education Inc., et de l’autre tout le reste. Eh bien, ce 3 août, la fission est effective.

Leonard Riggio, actionnaire de premier plan des librairies Barnes & Noble, vient d’acquérir un million d’actions, ce 11 septembre. Achetées au prix moyen de 12,59 $, le calcul définissant la douloureuse est assez simple à effectuer. Désormais, ce dernier dispose de 8,594 millions de parts pour une valeur estimée à 108,204 millions $. 

Suite au dépôt de plainte d'un investisseur devant la Cour suprême du comté de New York, accusant la chaîne de librairies d'information financière de mauvaise qualité, Barnes & Noble tombe sous le coup d'une enquête de la Securities and Exchange Commission. L'avocat new-yorkais David Shaev, lui-même actionnaire de l'entreprise de commerce au détail, a nommé plusieurs responsables de la firme en tant que défendeurs au cours du procès.