Barnes noble tornade

En août 2014, la première Galaxy Tab Nook, née de l’union de Samsung et Barnes & Noble, apparaissait sur le marché. Aujourd’hui, une deuxième tablette Nook aux écussons Samsung voit le jour. Dotée d’un écran 9,6 pouces, l’appareil, vendu comme un lecteur ebook, propose des petites améliorations : matériaux antidérapants au dos, appareil photo peaufiné, ou encore multitâche, viennent compléter cette nouvelle tablette Nook. Le tout pour 249,99 $.

Entre la poire et le dessert, on apprend que le Conseil d’administration des librairies Barnes & Noble a pris acte du départ de Ronald D. Boire. L’ex-actuel CEO de la chaîne de librairies quitte immédiatement la structure – annonce datant du 16 août – et le jeu des chaises musicales ne s’arrêtera pas en si bon chemin.

Les déboires de la chaîne de librairies Barnes & Noble avec le numérique sont connus, et la production de tablettes avait été interrompue suite à des pertes trop importantes pour la filiale Nook. B&N a toutefois mis sur pied un partenariat avec Samsung, pour créer une tablette 7 pouces, avec librairie numérique intégrée, disponible au mois d'août aux USA.

Suivant les prédictions de William Lynch, alors CEO de Barnes & Noble, la chaîne de librairies américaine a confirmé qu'elle allait se séparer de sa division numérique. En janvier 2012, Lynch avait laissé entendre que l'activité Nook serait distincte de celle de la vente en librairies. C'est désormais effectif, comme le confirme le rapport d'exercice diffusé ce 25 juin.

Face à la demande réclamant parfois des offres bundle, couplant les versions papier et numérique d'un bouquin, la chaîne de librairies américaine Barnes & Noble lance son opération 

En 1999, les habitants avaient dû faire des pieds et des mains pour que Barnes & Noble daigne ouvrir une librairie générale dans leur arrondissement. Considéré comme dangereux et pauvre, le territoire ne faisait alors pas partie de leur priorité. 15 ans plus tard, c'est Barnes & Noble qui devient victime de la gentrification de l'arrondissement, où les loyers ont fortement augmenté depuis quelques années.

Barnes & Noble, une des grandes chaînes de librairies des États-Unis, vient de communiquer ses résultats financiers pour le premier trimestre de l'année fiscale 2015. Les revenus sur cette période chutent de 7 %, à 1,2 milliard $, par rapport à l'année précédente, malgré une hausse du résultat brut.

La plus importante chaîne de librairies des États-Unis annonce un nouveau service d'impression à la demande pour les auteurs, avec l'arrivée de Nook Press Print. Bien entendu, ce dernier se destine avant tout aux écrivains autopubliés, avec une qualité professionnelle d'impression des ouvrages. Et plusieurs autres options.

La chaîne de librairies américaine, dont les titres numériques sont désormais accessibles depuis 32 pays et dans 21 langues, lance une nouvelle campagne à l'attention d'une partie de sa clientèle européenne utilisatrice de l'application Nook sur Windows 8. Notamment pour ceux qui résident en Suisse, Espagne, Italie ou encore aux Pays-Bas. Les bénéficiaires se verront offrir l'accès gratuit à cinq titres numériques, comprenant des livres et magazines.

La chaîne de librairies Barnes & Noble a connu des jours plus cléments et se voit contrainte de lâcher du lest. Après avoir récemment publié les résultats de son dernier trimestre 2013, faisant état de fortes réductions des dépenses injectées dans la gamme Nook, la société poursuit sa transition. Sur la période s'achevant au 25 janvier dernier, en comparaison à l'année précédente, l'investissement en immobilisations de la société, dédié au segment numérique, aura pesé 7,4 millions de dollars. Ce qui représente une diminution de 74 % du budget.

La chaîne de librairies Barnes & Noble devra s’acquitter d'une vilaine amende pour violation de brevet. Le juge de district des États-Unis à Manhattan, Jed Rakoff, a condamné le groupe tout en reconnaissant que l’infraction était involontaire. En face, c’est Adrea LLC, réunissant Philips, Discovery, Sony Corp, ainsi qu’Intertrust, société de brevets, qui portait plainte.

L'annonce a été faite ce matin même, à l'ouverture de la bourse de New York : Elliott Advisors, fonds d'investissement déjà propriétaire de la chaine de librairies britanniques Waterstones, a racheté Barnes & Noble. La dernière grande chaine de librairie des États-Unis sera dirigée par James Daunt, qui a déjà fait ses preuves en tant que PDG de Waterstones.

La chaine de librairies Barnes & Noble est sur le point d'être rachetée, mais l'identité de l'acheteur n'est toujours pas connue . Plusieurs sociétés et autres fonds d'investissement sont sur la ligne de départ, et les enchères s'envolent petit à petit. La dernière grande chaine de librairies physiques des États-Unis a récemment connu des mois difficiles, mais aurait encore beaucoup d'atouts dans sa manche...

Que se passe-t-il à la tête de la chaîne de librairies Barnes & Noble ? Voilà près de deux mois que le dernier PDG a été limogé – et quelques semaines qu’il a décidé de porter plainte. Demos Parneros n’est que le dernier d’une longue série de responsables virés ces cinq dernières années. Alors, que se passe-t-il ?

De l’eau dans le gaz chez Barnes & Noble : licencié en juillet dernier, Demos Parneros quittait le poste de directeur général dans un flou général. Aucune des parties n’avait fait de commentaires jusqu’à ce 28 août, où l’ancien employé décide de porter plainte.

Crise oblige ? Peut-être. Pour le service d’autopublication numérique du libraire Barnes & Noble, l’année 2021 commence avec une modification des conditions d’utilisation. Les revenus pour les auteurs sont désormais établis à 70 %, s’alignant ainsi sur la majorité des opérateurs. 

Une cyberattaque de grande ampleur a été menée contre la chaîne de librairies américaine Barnes & Noble, a révélé la société après d'importants dysfonctionnements. Principale victime de ces intrusions, la plateforme Nook, la solution de lecture numérique du libraire, ainsi que des librairies. Ces dernières ont rencontré des problèmes, notamment pour l'encaissement. Des données personnelles de clients ont sans doute été dérobées, selon la société.

A de nombreuses reprises, les observateurs ont remarqué que la chaîne de librairies Barnes & Noble était en retard sur les offres de son concurrent, Amazon. La seule innovation apportée, ce fut la possibilité de prêter son livre numérique durant 15 jours à un possesseur de Nook. Avacnée vite comblée par Amazon, qui entre-temps a pris une belle avance.

Une autre annonce du libraire Barnes & Noble fait suite à la décision de mettre en vente Sterling Publishers, la partie éditoriale de la société. Cette maison achetée en 2003 pour 115 millions $ partirait en effet à qui en veut bien, pour le mieux-être de la chaîne de librairies. 

John Lewis est le premier détaillant situé hors des États-Unis à conclure un accord avec Barnes & Noble dans l'optique de distribuer le Nook. À compter du mois d'octobre, 37 magasins du géant britannique offriront une place de choix sur leurs étals afin de commercialiser le lecteur sur le marché du Royaume-Uni. L'appareil sera disponible parallèlement sur le site internet de John Lewis.  Si le partenariat a été rendu public ce mardi, les conditions commerciales n'ont pas été divulguées.

Barnes & Noble a déclaré la sortie de ses deux nouvelles tablettes venues concurrencer le marché de l'Amazon Kindle Fire et du Google Nexus 7. Le nouveau Nook HD sera disponible en deux tailles, l'un avec un écran de 7 pouces, à ​​partir de 199 $, et l'autre avec un écran  9 pouces, appelé le Nook HD +, à partir de 269 ​​$.

Le ministère de la Justice américain n'est pas institution à se laisser marcher sur les pieds. Dans un mémo diffusé hier, le DoJ répond à l'ensemble de ses détracteurs professionnels, dans la procédure qui l'oppose aux éditeurs et Apple, sur la fixation du prix des livres numériques. Il y réitère sa demande de suppression du contrat d'agence, maintient l'histoire du complot, et ne veut pas entendre parler de revenir sur ses positions.

La chaîne de librairies Barnes & Noble dispose d'une offre de lecture numérique complète, avec boutique en ligne, lecteur ebook et tablette, tous disponibles en magasin ou à distance. Géré par l'entité Nook Media, le tout ne brille pas vraiment par son succès, et peine à convaincre les lecteurs. En guise d'annonce, la société relance ainsi sa série de textes courts façon Kindle Single, mais les véritables innovations manquent cruellement.

Tous les responsables, chez Barnes & Noble, redoutaient l'événement : la présentation des résultats du 3e trimestre de l'année fiscale en cours, pour la chaîne de librairies, s'annonçait particulièrement douloureux. Il le fut, avec des chiffres déprimants pour les investisseurs et les employés de la maison : tous les secteurs sont touchés par une baisse sensible des ventes, et le vent n'a pas l'air de vouloir tourner.

La manifestation Supporting the Publishing Innovation Awards, compte désormais plusieurs nouveaux acteurs, venus apporter leur pleine collaboration pour ces récompenses.

Le libraire américain Barnes & Noble, quand il ne partage pas des résultats financiers catastrophiques, essaye tant bien que mal de rattraper la locomotive du numérique et de ses pratiques. La chaîne de librairies s'est dotée depuis un moment de Nook Press, une plateforme d'autopublication destinée aux auteurs indépendants, mais annonce seulement la création d'un service d'impression à la demande, doublée par la possibilité d'être vendu dans les librairies Barnes & Noble.

Les résultats commerciaux de la chaîne de librairies Barnes & Noble se sont conclus avec un résultat consolidé de 1,96 milliard $, en recul de 35 millions $ par rapport au précédent exercice. Ce troisième trimestre affiche tout de même une croissance de 1,7 % sur la période. Une performance qui semble satisfaire le patron, Michael P. Huseby.

Proposer l'offre de livres numériques liée à son lecteur Nook fait partie depuis un moment des plans du libraire Barnes & Noble, mais les évènements récents ont quelque peu retardé le tout. Le départ du directeur exécutif William Lynch, début juillet, et surtout des résultats exsangues pour la filiale numérique pourrait être les causes de délai supplémentaire.

Quelle mouche a donc piqué les éditions Marvel ? Depuis quelques heures, un vent de panique souffle sur le monde des comics américains : Marvel a pris la décision de retirer ses périodiques, commercialisés chez les grands détaillants. Barnes & Noble, la chaîne de librairies, mais également Books-A-Million confirment l'information. Ça éclaire un peu, mais sans réchauffer l'ambiance...

Série noire pour l'enseigne  Barnes & Noble. Les ventes sont en baisse dans les librairies, tandis que l'investissement de la chaîne dans le secteur numérique ne porte pas ses fruits. La firme se trouve de surcroît sous le coup d'une enquête de la Securities and Exchange Commission depuis quelques semaines, pour son information financière de mauvaise qualité qui aurait floué les investisseurs. Par ailleurs, les poursuites engagées au nom des actionnaires, par recours collectifs, affluent depuis un nombre croissant de cabinets d'avocats.