E Ink Holding médical

Le suicide d'un agent de la Bibliothèque nationale de France, le 3 août dernier, a eu lieu sur son lieu de travail, dans le jardin de l'établissement. Un choix qui rappelle la dangerosité du lieu, scène de plusieurs drames ces dernières années. Il révèle aussi de nombreuses problématiques relatives à la médecine de prévention dans l'établissement public. Et pose des questions quant au suivi des agents.

La créatrice d’Harry Potter a annoncé qu’elle faisait un don d’un peu plus de 17 millions d’euros à la recherche pour lutter contre la sclérose en plaques. Ce don a un sens tout particulier puisque la mère de l’auteure est décédée en 1990, à 45 ans, des suites de cette maladie. L'auteure n'avait alors que 25 ans et entamait l'écriture des aventures du petit sorcier. C’est d’ailleurs la clinique qui porte le nom de sa mère qui recevra cette belle somme. Ce don devrait aussi servir à créer de nouveaux locaux.

E Ink Info vient de mettre la main sur une petite vidéo promotionnelle, réalisée par la société E Ink Holding, leader dans la fabrication d'écrans... à encre électronique. C'est un petit parallèle amusant, sur deux lecteurs qui se plongent dans A Tales of Two Cities, de Charles Dickens, et vont tenter de lire.

Après un premier appareil qui tenait un peu trop du prototype, les Russes de chez Yota ont conçu un nouveau smartphone doté de deux écrans différents à la fois : le YotaPhone 2. La face avant offre un classique du moment, un AMOLED de 5 pouces Full HD (1920 x 1080 pixels), tandis que son revers propose un affichage E-Ink de 4,7 pouces, qHD (950 x 540 pixels), à 16 niveaux de gris. Un écran secondaire destiné aux aficionados de la lecture numérique.

Le leader mondial de l’encre numérique, E Ink, présente un prototype de liseuse pliable. L’appareil dispose d’un écran de 10,3 pouces et est accompagné d’un stylet tactile pour prendre des notes, idéal pour la lecture matinale de journaux numériques.

La société Project Vivit, basée au Japon, vient de présenter un prototype d'écran couleur, basé sur la technologie d'encre électronique, assez rapide pour gérer l'affichage de vidéo. Très peu de détails ont été fournis sur son fonctionnement, sinon le fait qu'il s'appuie sur un système mono-puce de Seiko Epson.

C'est un accord de grande envergure que viennent de signer les sociétés AU Optronics Corp, E-Ink Holdings et Hydis Co, filiale sud-coréenne de E-Ink, autour de brevets et de licences, que chacune détient. En effet, dans le domaine de l'affichage, les trois firmes ont investi beaucoup d'argent en recherche et développement, pour déposer de multiples brevets.

Voici le geste humanitaire de la société e-paper E-ink, ou comment tenter un moyen publicitaire très efficace. À votre bon cœur, mesdames et messieurs, pensez donc aux enfants d'Afrique dont l'accès à l'éducation est déjà souvent incertain, et offrez-leur des lecteurs ebook afin qu'ils soient eux aussi dans l'ère numérique.

Au milieu des grands acteurs Asus, Acer et Intel, le Computex Taipei 2013 donne à voir les futures utilisations de l'encre numérique. En la matière, le concepteur Onyx a présenté une toute nouvelle gamme comportant téléphone, e-reader et tablette. Une mini-tablette de 6 pouces qui tourne sous Android avec un affichage E-ink, caractéristiques qu'on retrouve autour de son téléphone mobile 800×480 pourvu de la même technologie d'affichage sous Android.

Prenez un siège, et patience. Voici une conversation d'une vingtaine de minutes avec Sriram Peruvembra, directeur marketing de la société E Ink, qui fournit des écrans à plusieurs acteurs (Amazon, Sony, etc.)

Les derniers résultats communiqués par la firme E Ink étaient plutôt décevants pour les investisseurs, et pas franchement mirobolants pour le leader du marché. Le troisième trimestre aura finalement permis à la société de redresser la barre, et de repasser dans le positif. E Ink prévoit même un millier d'embauches pour subvenir à la demande.

Après avoir dévoilé une première génération de boîtiers modulaires pour mobiles l'été dernier, la start-up Gajah, basée à Singapour, dévoile cette semaine trois nouveaux accessoires qui transformeront la majeure partie des smartphones en lecteurs E-ink. Cette nouvelle génération InkCase Lite, système compatible avec une plus large variété de modèles que son prédécesseur, offre un écran à encre électronique de 3,5 pouces.

L'encre électronique : fluide technologique qui permet de lire dans le noir ou en plein soleil, sans s'abîmer les yeux. Le dispositif d'affichage est l'argument de poids pour préférer le lecteur ebook aux tablettes : légèreté, faible consommation, mobilité... Et des applications multiples, parfois inattendues. Ainsi, le papier à encre électronique pourrait donner naissance à des smartphones.

La société E Ink Holdings, qui réalise les écrans de lecteurs ebook pour plusieurs firmes (Barnes & Noble, Amazon, Sony...) vient d'annoncer des résultats financiers en perte de vitesse, pour le premier trimestre 2012. Une première historique, depuis dix trimestres alignés.

La société californienne Plastic Logic a dévoilé son écran flexible, utilisant une technologie d'encre électronique, mais capable d'afficher des couleurs : 4000, exactement, avec une résolution de 75 dpi. Après la présentation de ce nouveau produit au Rusnano's Plastic Logic Technology Day, la société a annoncé qu'elle ne fabriquerait plus de lecteurs ebook, mais se consacrerait au développement par le biais de partenariats avec les constructeurs.

E-ink vient de publier son dernier rapport trimestriel, et si les chiffres rapportés par Digitimes sont corrects, cela peut signifier que le fabricant d'écran va pouvoir se débarrasser « de l'encre rouge » qui entachait ses résultats ces deux derniers trimestres.

Les lecteurs ebook, la lecture numérique, les tablettes... on ne parle plus que de cela. Alors que pendant ce temps, plusieurs sociétés s'appliquent déjà à faire évoluer les technologies et proposer de nouvelles machines.

La société E Ink Corporation, créée en 1997 dans le MIT Media Lab vient d'annoncer la création d'une filiale qui va se développer en Chine pour accroître la production et augmenter sa présence sur le territoire.

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Ce n'est un secret pour personne, l'année 2011 commence à être bien avancée. En revanche, nombreux seront les déçus en apprenant que la société E Ink Holding ne sortira pas de nouveau produit cette année.

La société E-Ink Holdings Inc, spécialisée dans la fabrication d'écran à base d'encre électronique, fournit de nombreuses sociétés proposant des lecteurs ebook, entre autres. Avec notamment Amazon en tête d'affiche. Or, une baisse manifeste du chiffre d'affaires est prévue pour le prochain trimestre, explique Eddie Chen, directeur financier. Un événement circonstanciel, certes, mais pas simplement.

La frontière s'amoindrit entre reader et panneau de signalisation. Après une année difficile, la société E-Ink Holdings, en partenariat avec Global Display Solution, lance un nouveau lecteur ebook à encre électronique, exposable en plein air, et de taille. L'appareil est doté d'un écran dont la diagonale fait 32 pouces et se décline en deux versions : l'une couleur, l'autre en noir et blanc. Le lancement du produit a été annoncé à l'occasion de la Display Week 2014.

Le marché du lecteur ebook, avec un écran à base d'encre électronique, ne se porte pas très bien, assure son principal acteur, la société E Ink. Pour ce faire, elle a notamment décidé de diversifier son activité : le secteur du smartphone compte parmi les développements envisagés, avec le Russe Yota, en tête de liste. Reste que la diversification représente l'unique solution pour E Ink Holding.

Les recherches sur l’encre électronique débutent à la fin des années 1990 au sein de la société E Ink pour offrir un meilleur écran aux liseuses en attendant le papier électronique. E Ink présente le prototype de son écran en 2002 et le commercialise en 2004. Un projet un peu différent est la technologie Gyricon développée par Xerox. Radicalement novateur lui aussi dans un domaine connexe, le projet @folio voit le jour en France dès 1996 mais reste malheureusement à l’état de prototype faute de soutien financier.

La récente acquisition de SiPix, son principal concurrent, par le leader du papier électronique E-Ink (voir notre actualitté) laissait augurer un bilan plus que confortable pour la société qui s'impose comme le fournisseur d'un grand nombre de constructeurs de lecteurs ebook. Néanmoins, sur la première moitié de l'année, E-Ink a subi une perte nette de 50 millions $.