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Les revenus de James Patterson crèvent tous les plafonds (94 millions $ en 2011), et il figure régulièrement dans le top Forbes des auteurs les mieux payés. Le romancier multimillionnaire est également un mécène de choix, qui a créé son propre fonds de soutien pour les librairies indépendantes américaines et britanniques, afin de les aider à assurer la concurrence d'Amazon.

Au sein de la bibliographie de James Baldwin, on trouve une curiosité restée seule dans sa catégorie : un livre jeunesse, Little Man, Little Man, publié en 1976 avec des illustrations du dessinateur parisien Yoran Cazac. Indisponible depuis longtemps, l'album sera réédité en août 2018 outre-Atlantique par Duke University Press.

Porté au cinéma avec succès en 2006, le premier roman de Ian Fleming avait auparavant connu un processus d’adaptation chaotique. En 1967, après diverses mésaventures de droits d’auteur, un film parodique voyait le jour. Un joyeux fouillis dans lequel tous les agents secrets britanniques sont renommés James Bond et entraînés à ne pas succomber aux charmes de la gent féminine.

L’auteur multimillionnaire James Patterson est connu pour ses dons réguliers aux enseignants et aux librairies indépendantes. Pour aider les établissements scolaires particulièrement fragilisés par la pandémie, le généreux donateur s’est surpassé, déboursant 2,5 millions $ via l’association Scholastic Book Clubs. 

Explications demandées : il s'agit en fait du roman

Cette semaine, Forbes a publié son classement annuel des écrivains les mieux payés au monde et le Big Number One reste l’auteur à succès James Patterson.

James Patterson est le meilleur ami du libraire : régulièrement, l'auteur de best-seller fait don d'une partie de sa fortune personnelle pour soutenir les commerces de livres indépendants dans tel ou tel pays. Après les États-Unis, et le Royaume-Uni, l'auteur de la série Alex Cross se tourne vers l'Australie et la Nouvelle-Zélande, rien que ça, avec une centaine de milliers de dollars en poche, à dsitribuer.

L'idylle entre Disney et Marvel Studios semble durable : depuis sa sortie, Avengers : L'Ère d'Ultron bat tous les records au box-office, avec des chiffres historiques. L'univers cinématographie Marvel, qui recouvre en fait les films des Avengers et ceux consacrés à chacun des membres de l'équipe, vient d'obtenir la première place dans le classement des franchises les plus rentables du cinéma, devant Harry Potter et James Bond.

Le service de vidéo à la demande Hulu a battu la concurrence pour l'adaptation en série du roman 22/11/63 de Stephen King, paru en 2013 en France. L'expérience Dome avait donné de bons résultats, et la bonne fortune de Stephen King semble désormais avoir élu domicile sur le petit écran.

Un comble pour Sir James Dyson. Le milliardaire s'est laissé aspirer au coeur du débat, entre pro-sciences et défenseurs des arts classiques, qui tente actuellement de dépoussiérer la question de l'enseignement supérieur au Royaume-Uni (voir notre actualitté). Quand bien même il pourrait sembler évident qu'une nation, à long terme, a besoin de préserver une certaine diversité culturelle, l'inventeur de l'aspirateur à séparation cyclonique a pris parti, à sa manière, contre les études littéraires.

Avatar : L'étrange histoire de Boris Strougatski et de James Cameron

Outre-Atlantique, la littérature jeunesse et young adult est en train de découvrir qu'un certain nombre d'auteurs sont accusés de harcèlements et d'agressions sexuelles. Et non des moindres : après Jay Asher, auteur de 13 Reasons Why, c'est James Dashner, l'auteur de la trilogie de best-sellers adaptée au cinéma L'Épreuve, qui est désormais accusé de harcèlement.

L'écrivain James Frey est à l'origine de l'idée derrière le nouveau film de Melina Matsoukas, Queen & Slim, en salles le 12 février prochain. La cavale éperdue de deux jeunes afroaméricains, coupables de s'être défendus lors d'un contrôle policier qui tourne mal...

Les fantômes se sont fait surprendre par la directrice de l'orphelinat, un fantôme tyrannique. Anne est envoyée dans la chambre rouge, l'endroit le plus cauchemardesque de ce lieu horrible. En attendant son retour, Shirley Daphné et Mary continuent leur partie d'osselets. Car, si l'une d'elles parvient à raconter sa propre histoire, elle quittera l'orphelinat pour toujours…

Mary raconte à ses amis l'histoire d'une âme perdue, l'histoire de Devin…

Devin est chanteur dans un groupe de métal lancé vers le succès. Cody, un autre membre, veut vivre de sa musique, et pour cela, s'est accoquiné avec les Razors, la mafia locale. Dans le groupe, rien ne va plus ! Cody voudrait virer Karston le bassiste. C'est Devin qui doit s'en charger, mais il hésite, ne sachant pas comment faire. Un soir, en répèt', Devin chante aux autres membres du groupe une chanson qu'il a créée, filmé par sa copine Cheryl.
Tandis que ses amis vont progressivement se coucher, lui et Karston restent seuls à jouer. C'est alors qu'un énorme bruit surgit de la porte ! Pensant immédiatement aux Razors, les deux garçons se cachent. Devin comprend vite que son ami est pris au piège ; il entend ses cris, ses appels au secours…Lorsque la police arrive, il est trop tard, Karston est mort.
Très vite, la vidéo que Cheryl a tournée circule sur internet, et on y voit des ombres dans la poussière…des ombres qui dansent au rythme de la chanson de Devin. Serait-ce un phénomène surnaturel ? « Non, bien sûr que non », répond Devin. Sauf que la mort de Karston est étrange, ses blessures ne semblent pas avoir été faites par des humains.
Quelques temps plus tard, c'est au tour de Cody de se faire attaquer. Le garçon est littéralement démembré.
Devin s'interroge, et c'est en écoutant sa grand-mère chanter une berceuse qu'il s'aperçoit qu'il a repris un chant mystique. Un chant qui invoque un monstre qui attaque tous ceux qui ont déplu à son chanteur…

Toujours aussi effrayant, ce deuxième tome de la nouvelle série : L'orphelinat des âmes perdues est un récit envoûtant comme certaines berceuses avant un cauchemar…Gare au monstre !

Anthony Horowitz est volontiers associé à Sherlock Holmes, dont il a signé quelques aventures modernes (Moriarty sera la prochaine, fin octobre), mais il va mettre sa plume au service d'un autre agent de Sa Majesté. L'auteur signera en effet le prochain roman mettant en scène James Bond, dont le nom de code est Project One : inspiré des scénarios écrits par Fleming lui-même pour la télévision, mais jamais utilisés, il aura pour cadre le monde de la course automobile, dans les années 1950.

Classé en 2012 comme étant l'écrivain le mieux payé du monde, avec 94 millions de dollars de revenu annuel, James Patterson écoule ses livres comme des petits pains. Mais quelles sont donc les raisons d'un tel succès ? Parlons chiffres tout d'abord : Patterson a vendu 300 millions d'exemplaires de 130 romans dans le monde entier, rapporte Business Insider India.

James Bond reviendra le 8 novembre 2019 pour sa vingt-cinquième mission annoncent EON Productions et la Metro Goldwyn Mayer. Et... c'est à peu près tout : on ne sait pas quel livre de Ian Fleming servira de base au scénario, ni si Daniel Craig reprendra vraiment son rôle d'agent secret dans la franchise la plus longue du cinéma.

Bien connu pour son roman Le Dernier des Mohicans, paru en 1826, James Fenimore Cooper proposera d'autres récits mettant en scène les tribus amérindiennes d'Amérique du Nord et inspirera, entres autres, Honoré de Balzac et Marcel Pagnol... Entrée dans le domaine public, l'œuvre de l'écrivain américain est à redécouvrir au format numérique.

C'est une année de luxe pour les lecteurs anglophones, puisque désormais, la législation sur le droit d'auteur ne concerne plus les oeuvres de James Joyce. Ce dernier et désormais gratuitement disponible pour les citoyens européens, depuis hier, dimanche 1er janvier.

Les versions numériques des livres de James Bond ne sont pas si anciennes. En effet, les premiers titres sont apparus en novembre 2010, commercialisés par Ian Fleming Publication. La société disposant des droits sur l'ensemble de l'oeuvre du 007, elle a triomphé de la guerre entre agents et éditeurs. 

Ah, le rêve américain. La réussite par ses propres moyens, la vie de rêve, succès, gloire, argent et famille. Pour Matt, finalement, c'est la poursuite de ce même idéal qui le pousse à ouvrir poetfolio.com, un site qui parle de finances, en poésie. Fantastique. C'était deux ans avant que son histoire ne commence.

L'éditeur Dynamite dévoilait hier son projet de comics James Bond, avec au scénario Warren Ellis et au dessin Jason Masters. Le tout s'avère plutôt prometteur, mais la vanne semble ouverte pour les projets multimédias autour de l'agent 007. La société Placeholder Productions a ainsi sécurisé les droits pour une comédie musicale autour de Bond. Simplement nommée James Bond : The Musical.

Il s'agit apparemment de la question utile, pour meubler un entretien : demander à un acteur/auteur/réalisateur s'il transformerait bien son personnage en femme/homosexuel/transsexuel. Le dernier à y avoir eu droit est Pierce Brosnan, ancien James Bond : s'il n'est pas opposé à l'idée, il doute sincèrement que les producteurs soient d'accord. Sans oublier les ayants droit.

Quand il n'est pas mécène pour les librairies indépendantes, James Patterson, l'auteur aux 90 millions $ de rente annuelle et connu pour sa saga Alex Cross, est désormais professeur d'écriture (de best-seller, évidemment) par le biais de cours en ligne. 

Après avoir soutenu la librairie indépendante, en y injectant 1 million $, l'auteur et mécène James Patterson prévoit de faire un nouveau don cette année, à destination des bibliothèques scolaires américaines, à hauteur de 1,25 million $. L'opération est lancée en partenariat avec le Scholastic Reading Club, fort d'un réseau de 62.000 établissements scolaires, lesquels bénéficieront de donations allant de 1000 à 10.000 $ chacune.

L'auteur n'est pas au étranger au cinéma : nombre de ses romans ont connu des adaptations, qui ont attiré beaucoup de spectateurs dans les salles obscures. On vient d'apprendre que James Ellroy va travailler à l'adaptation de l'une de ses nouvelles, Shakedown, mais cette fois-ci sous la forme d'une série.

Partout où il passe, l'agent 007 fait des dégâts, plus ou moins importants. Or, dans le prochain film, ce sont plutôt des dégâts culturels que l'on constate, alors que les marchands du Grand Bazar de Turquie déplorent quelques scènes tournées pour les besoins du prochain film.

Voilà plusieurs années, les romanciers Stephen King et James Herbert ont fait un pari : celui qui rencontrerait un authentique fantôme en premier aurait gagné. Un pari fou, ou comment le Royaume-Uni rencontrait les États-Unis, dans une aventure qui avait quelque chose de très littéraire. 

Les oeuvres de James Joyce sont tombées dans le domaine public en ce début d'année 2012 (voir

Ian Fleming Publications vient d'annoncer avoir signé un accord de cession des droits pour dix ans et ce pour quatorze épisodes des aventures de James Bond. Mais, petite nouveauté en la matière, le contrat porte aussi bien pour le papier que pour le numérique, rapporte l'agence de presse Reuters.