Jane Henson

Intitulée Modern Austen cette nouvelle production propose de s’inspirer des romans de l’écrivaine britannique pour les transposer à notre époque. Chacun des 6 épisodes que compte la série adaptera une œuvre différente, avec, pour ouvrir le bal, une transposition d’Orgueil et préjugés dans le San Francisco contemporain.

Netflix vient de dévoiler un premier aperçu de sa version du roman posthume de Jane Austen, Persuasion. On peut admirer Dakota Johnson, Henry Golding ou encore Cosmo Jarvis qui posent en costume d’époque. Réalisé par Carrie Cracknell, le long métrage sera disponible sur la plateforme en 2022.

Le Musée de la maison de Jane Austen, à Chawton, en Angleterre, a été contraint de fermer ses portes depuis le 20 mars dernier, en raison de la pandémie de coronavirus. Privé de recettes pendant des mois, l’établissement culturel se dit lourdement touché et craint une fermeture définitive.

C'est la star de l'édition revenue depuis des années sur le devant de la scène littéraire : Jane Austen revient cette fois pour des enchères, où la maison Sotheby's met en vente la bague de la romancière. Jamais mariée et n'ayant pas non plus eu d'enfants, cette bague était restée la propriété de la famille depuis sa mort en 1817. 

D'un côté, l'éditeur Pan Macmillan propose de troquer le classique Jane Eyre de Charlotte Brontë pour une version... revue et obsédée. Cette réécriture, intitulée Jane Eyre Laid Bare (soit Jane Eyre les fesses à l'air) est née sous la plume d'Eve Sinclair, « tombée amoureuse des romans de Brontë et de Jane Austen dès son plus jeune âge. » Macmillan publiera le roman en version numérique au mois d'août, qui sera suivi « très rapidement » d'une édition papier.

Jane Austen, maîtresse des codes et usages amorçant l'époque victorienne, mais également parodique et critique sur le rôle de la femme... tout cela est bien connu. En revanche, sortir de la fiction romanesque pour envisager que les livres de la romancière soient des sources d'inspiration pour des réflexions géostratégiques et politiques. 

Décidément, Jane Austen devient une égérie de la planète entière : alors que se prépare l'adaptation du livre de Seth Grahame-Smith, dans lequel on trouve Elizabeth Bennet confrontée à des zombies, voilà que Stephenie Meyer, la maman d'un autre mort-vivant, s'en prend à Jane.

Entre sa vie et ses romans eux-mêmes, on ne compte plus les films dédiés à Jane Austen, auteure de Raison et Sentiments ou encore Orgueil et Préjugés. Une fois n’est pas coutume, l’ouvrage Jane by the Sea, dans lequel Carolyn Murray décrit la vie de l’auteure anglaise, sera adapté sur grand écran.

La vérité est peut-être ailleurs, et vu que les épisodes de X-Files ont repris, on le saura probablement. Dans tous les cas, l’une des vérités est que Gillian Anderson, actrice phare de la série avec des extraterrestres et du FBI dedans, prendra la suite de James Bond. Auteure, activiste, auteure et productrice, elle devrait donc apparaître dans le prochain film.

D'ici août, il y a des chances pour que vous ayez fini 50 Shades of Grey. Pour ne pas sombrer dans la déprime estivale, Pan Macmillan vous propose de troquer le classique Jane Eyre de Charlotte Brontë pour une version... revue et obsédée.

Depuis un certain nombre d'années, les membres de la Jane Austen Society of North America (JASNA) se retrouvent à l'occasion d'une rencontre annuelle, chaque nouvelle édition constituant l'occasion de la célébrer sous un thème différent. L'organisation non lucrative, dédiée à l'appréciation de l'écrivaine et de ses oeuvres, comporte près de 4 000 membres répartis en 65 groupes à travers les États-Unis et le Canada. L'édition 2012 de l'évènement a eu lieu le week-end dernier, du 5 au 7 octobre au Marriott à Brooklyn.

Il était déjà prévu que Charlotte Brontë enlève le haut, durant ce mois d'août. Enfin, dans le livre, c'était l'héroïne Jane Eyre qui allait se retrouver cul nul. Littéralement. Eve Sinclair profitait de la tendance 50 Shades of Grey, pour renouveler le classique de la littérature britannique, dans une version plus olé-olé. (voir notre actualitté)

Si vous ne saviez pas quel jour nous sommes aujourd'hui, Google est là pour vous le rappeler. Oui, parce qu'aujourd'hui, c'est l'anniversaire de Jane Austen. Son 235e anniversaire. Ce qui fait d'elle une femme d'un âge respectable.

En ce petit lendemain de week-end consacré à rendre hommage aux morts, quoi de plus naturel que d'attaquer la journée avec un texte qui justement, fait appel aux morts.

Jane Birkin et record d'affluence au Guardian Hay festival

La grande romancière britannique Jane Austen, née en 1755 et morte en 1817, nous a fait partager, notamment à travers sa correspondance, de nombreuses tracasseries financières, ou problèmes plus graves en lien avec l'argent. Soucis du quotidien, liés à des naissances ou à des drames, ces événements impromptus pouvaient réclamer de faire des économies là où il était possible d'en faire, comme sur le transport. La maisonnée des Austen, installée à Chawton, et composée de quatre femmes, afin de réduire les coûts annuels, n'hésita pas à contourner les impôts anglais, avec l'aimable concours d'ânes...

Jane Birkin, née le 14 décembre 1946 à Londres, est décédée ce 16 juillet 2023 à Paris. Actrice, chanteuse et auteure-compositrice britannique naturalisée française, la littérature aura joué un rôle significatif dans sa carrière artistique, influençant ses choix musicaux et son approche de la performance.

La « maison de Jane Austen », ou Chawton House, demeure des descendants de son frère Edward Austen Knight jusqu’en 1987, conserve plusieurs ouvrages ayant appartenu à l’autrice d'Emma (trad. Pierre Goubert, Guy Laprevotte et Jean-Paul Pichardie) dans sa bibliothèque. Parmi les volumes préservés dans le manoir élisabéthain devenu musée, plusieurs livres de musique, sauf un, qui avait disparu, découvrait-on en 1987…

La promesse en fera frémir plus d’un : « Jane Austen, comme vous ne l’avez jamais lue. » L’autrice et traductrice Clémentine Beauvais s’attaque par la face nord au célèbre Emma de la romancière britannique. Un texte enfin débarrassé des écueils qui ont écaillé la lecture de l’œuvre…

BookRiot vient de présenter une petite infographie sympathique, pour aider tout un chacun à se repérer dans l'œuvre de la romancière Jane Austen. La Britannique qui a inventé la romance, avec une once de sarcasme, est présentée dans son ensemble. 

Nos âmes la nuit est sorti en 2014, peu avant la mort de Kent Haruf. Un récit magnifique, comme une ode à la vieillesse, dont Netflix vient de s’emparer. Avec Jane Fonda et Robert Redford – autrement dit, la seconde production avec l’acteur, tout de même. Mais il fallait bien ça.

Connue, et adulée, pour ses histoires d’amour dévoilant une satire sociale aux petits oignons, Jane Austen était aussi drôle. Derrière la parodie, l’humour, et entre les pages de ses propres livres, on lit le détournement des romans gothiques, si populaires à son époque. Mais pour critiquer intelligemment, encore faut-il avoir lu...

À l’origine, il y a cette héroïne, mise au monde sous le pseudonyme de Currer Bell, par une jeune femme, Charlotte Brontë. Et Jane Eyre fut. Sous la forme d’une autobiographie, mais fictive, la vie de cette fille, orpheline, perdue dans une enfance sans amour, ou quasi, et infiniment malheureuse. Et il y a les œuvres qui en découlent, comme ce nouveau ballet, de Cathy Marston.

S’il est un classique de la littérature anglaise, Jane Eyre est sans doute parmi les plus universels : chacun y voit les combats de son âme. Pour des lecteurs texte romantique, pour d’autres féministe, d’autres encore initiatique, d’émancipation, pour certains l’un des premiers chefs-d’œuvre du roman psychologique, Jane incarne tous les combats, et Rochester, sa figure tourmentée, a quant à lui cristallisé les fantasmes de millions de lectrices. Rien d’étonnant à ce que le roman de Charlotte Brontë ait fourni une matière romanesque éblouissante aux adaptations cinématographiques et télévisuelles. Et, depuis 1910 (date de sa première adaptation en court métrage de 11 minutes), avec plus ou moins de fortune.

Pour sa septième édition, la Journée du Manuscrit Francophone, coorganisée par Les Editions du Net et ActuaLitté a remis ses différents prix dans les sept catégories ainsi que le Grand Prix. Pour son ouvrage Une erreur d’écriture, c’est Jane Goyrand qui est saluée.

Le grand héros de Orgueil et préjugés, Monsieur Darcy, ne serait pas tout à fait la figure romantique que l’on imagine. En réalité, loin de la personnalité fringante fantasmée, on aurait plutôt affaire à un snob, prétentieux, impoli et sans humour. Et dont l’héritage a fait des dégâts, aujourd’hui encore.

Attendue, très attendue, cette vente aux enchères proposant une première édition de Pride and Prejudice de Jane Austen. Ce classique, régulièrement cité outre-Manche comme l’un des titres les plus appréciés, est devenu l’un des plus populaires de la littérature britannique. Estimation de base : entre 15.000 £ et 20.000 £. Et au final... 

Comme souvent, en Angleterre, l’histoire démarre avec une tasse de thé, qui finit par vous tomber des mains de stupeur. La romancière Jane Austen se voit embarquée dans une polémique post-mortem, sur sa consommation de plantes séchées et celle de ses personnages. Tout bonnement parce que ledit thé s’intégrerait dans une perspective colonialiste, liée à la Régence.