Jeff Bezos Amazon Etats-Unis

Si on considère que le livre est un médium unique, et que ses versions papier ou numérique sont justes des supports différents, le lecteur ne devrait-il pas justement jouir des mêmes droits lorsqu'il achète un livre numérique sur une plateforme ou sa version papier en librairie – je pense notamment à la différence entre droit de propriété et droit d'usage ?

Le magazine Fortune s'est fait épingler pour son numéro du mois de janvier, qui propose un large dossier sur l'installation d'Amazon en Inde. Pour faire la promotion de cette « cover story », la couverture du magazine économique présente l'illustration d'un Jeff Bezos souriant, signée Nigel Buchanan, grimé pour ressembler au dieu Vishnou, une des divinités de la trinité hindoue. Le titre s'est excusé après de nombreuses critiques.

Personne ne savait que le grand patron d’Amazon avait un compte Twitter. Personne, jusqu’à ce qu’il décide de s’en servir – depuis juillet 2008, date de son inscription, Jeff Bezos avait gardé ses gazouillis pour lui. Outre son site de vente et le Washington Post, Bezos entretient une certaine passion pour les étoiles. Celles que l’on rêve d’atteindre, pas celles qui notent les produits...

Les auteurs ont déjà signifié leur mécontentement dans le conflit qui oppose l'éditeur Hachette Book Group à la firme de Jeff Bezos. Mais cette fois, une lettre ouverte est partie de grands noms de l'édition, pour attaquer directement la gestion des négociations par Amazon. Depuis quelques jours, on sait précisément que c'est bien sur la question des livres numériques que porte le différend. Reste à faire plier l'un ou l'autre.

Il n'y a aucun lien entre Disney, Hachette et Amazon, aurait-on écrit voilà quelques mois encore. Sauf qu'après les pressions qu'encaisse l'éditeur aux États-Unis, Amazon décide d'empêcher l'achat de certaines nouveautés en DVD et Blu-ray, notamment le dernier Captain America, ou encore Maléfique, productions de Disney.

En jetant un petit coup d'oeil aux spécifications du téléphone d'Amazon, on découvre quelques fonctionnalités gadget, mais également d'autres qui promettent de nouvelles nuits blanches aux libraires indépendants. Le Fire Phone rejoint la grande cour des smartphones, plus grand que les iPhone mais plus petit que la majorité des appareils Android du marché. 

Pour une écologie du 99 % invite à discréditer 20 grands mythes sur le capitaliste, en fournissant des clés d’analyse pour mieux saisir la complexité de ce système — sans se perdre en cours de route sur de mauvaises pistes. Après une exploration des idées reçues à propos de la surconsommation, plongeons à présent dans un troisième mythe : le pouvoir salvateur des nouvelles technologies.

Le 24 janvier 2010 était une date importante pour l'équipe d'Amazon, et le refus de répondre opposé par Russell Grandinetti devant le tribunal fédéral de New York a hier jeté un voile opaque sur le procès. Ce dimanche de janvier, le vice-président des responsables contenus sur Kindle avait rendez-vous chez Jeff Bezos. Une petite propriété montée sur pilotis, où le patron d'Amazon range son bateau...

À 47 ans, Jeff Bezos, le grand patron d'Amazon, est à la tête d'un empire commercial. Lui-même pèserait quelque 18 milliards $, pour les célibataires intéressées. Mais celui qui a ouvert tout d'abord une librairie sur internet est aujourd'hui devenu le symbole du livre numérique, avec toutes les dérives que cela implique...

Tandis qu'en Allemagne la grève a commencé ce lundi pour plusieurs centaines d'employés des entrepôts logistiques d'Amazon, une pétition lancée sur la plateforme Change.org aurait rassemblé plus de 47.000 signatures. Lancée par Emily Kenway, employée chez ShareAction, celle-ci sollicite Jeff Bezos afin qu'il reverse à ses employés un salaire décent.

Le PDG et fondateur d'Amazon, Jeff Bezos, vient de faire un deuxième don (à titre personnel) à l'association Worldreader qui œuvre pour apporter la culture au plus près de tous, rapporte GoodEreader. Cette ONG qui travaille partout dans le monde, a décidé de parier sur les nouveaux outils de lecture que sont les lecteurs de livres numériques.

C'est un intrigant communiqué qui vient de tomber, annonçant que le grand patron du groupe d'édition, entre autres, Planeta, allait investir dans le domaine des biotechnologies. Une manière de suivre le patron d'Amazon, Jeff Bezos, qui tendrait plutôt vers l'infiniment grand avec son projet Blue Origin, de conquête de l'espace ? 

Jeff Bezos a créé Amazon. En vendant le premier des livres imprimés sur Internet. C'était avant. Maintenant, Jeff Bezos entend rester le premier. En vendant des livres numériques, sur internet. Moins cher encore et plus rentable que jamais, il vient de recevoir le soutien le plus prisé qui soit : celui du ministère de la Justice américain. 

Dans son one-man, L'agonie et l'extase de Steve Jobs, le comédien et auteur américain Mike Daisey décrivait son séjour en Chine et dénonçait les conditions de travail des employés d'une dizaine d'usines fabriquant des produits pour Apple. Relayé par les médias, notamment This American life, une émission de radio populaire aux États-Unis, l'histoire de Daisey s'est révélé être un fake, plein de fabulations et d'exagérations.

Au choix : un secret de polichinelle, ou le buzz médiatique le mieux entretenu cette année. Le lancement possible d'une tablette, hypothétiquement sous Andrdoid, voire en version Honeycomb, que préparerait Amazon a de quoi faire sourire. Ou pas.

Voilà des années, les entrepreneurs célébraient leur premier million avec une certaine exaltation. Aujourd'hui, les temps ont changé, on ne célèbre plus guère que le milliard. Alors quand on en a accumulé 10...

Ce n'est pas la première fois que le groupe Hachette se retrouve pris dans des négociations compliquées avec le revendeur Amazon. Actuellement, un grand nombre de livres imprimés du groupe ne sont pas disponibles à la livraison, avec des délais de 2 à 5 semaines, chez le vendeur Web. Et ce, alors que les titres sont bel et bien disponibles dans d'autres librairies rapporte le New York Times. Amateurs de Salinger, James Patterson et autres, s'abstenir. 

Fin septembre 2013, la société japonaise Sony décidait de ne pas commercialiser son dernier lecteur ebook, le PRS-T3, sur le territoire américain. « En réponse aux changements de marché sur ce territoire, Sony se concentrera plutôt sur les appareils mobiles et les tablettes », précisait-on. Plus d'écrans à encre électronique, donc, et pas de nouvelles approches. Une situation qui se confirmait avec l'abandon des ebookstores pour les USA et le Canada, quelques mois plus tard.

Si, jusqu'à présent, la firme Amazon a sans cesse écrasé les prix pour augmenter son chiffre d'affaires et ses parts de marché au mépris de ses bénéfices, cette logique pourrait être en passe d'être renversée. La société vient en effet d'annoncer une hausse de 25 % de son abonnement « Prime » aux Etats-Unis. Ce dernier, qui permet d'avoir les livraisons gratuites et l'accès aux contenus numériques en ligne, va passer de 79 à 99 €, rapporte Canoë.

Outre-Atlantique, Donald Trump a fait chauffer le stylo en signant des décrets à tour de bras : immigration, accès à l'avortement, traités commerciaux... Le nouveau président des États-Unis a fait le tour d'une partie des sujets qu'il avait évoqué au cours de sa campagne. Ce qui n'est pas allé sans soulever des mouvements de résistance dans le pays, y compris dans le monde du livre et chez... Amazon.

Outre-Atlantique, chaque jour semble amener l'édition à une conclusion implacable : Amazon ne veut pas que du bien aux éditeurs. La réduction des stocks de livres dans les entrepôts de la firme, et les ruptures de stock qui ont suivi, inquiètent considérablement l'Association des éditeurs indépendants (Independent Book Publishers Association, IBPA).

Le Bureau américain du copyright s'est lancé dans une entreprise de modernisation du droit d'auteur aux États-Unis, pour rendre le processus législatif plus flexible et adaptée aux technologies de l'information. La numérisation des archives de l'institution est aussi en ligne de mire. Les consultations des intéressés commencent, et la Bibliothèque du Congrès a invité quelques participants au débat...

La société d'analyse sur les tendances consommation, Foresee, vient de publier son rapport d'indice de satisfaction de la clientèle online.

Quand vient le sujet de la librairie indépendante, on a l'habitude d'un discours qui la place dans la position de victime d'Amazon, comme un mouton face au loup. Contrairement à cette impression de morosité globale, la librairie indépendante a pu profiter de la montée d'Amazon pour remettre les interactions auteurs-lecteurs au centre de sa stratégie.

Le nouveau service de livraison du géant Amazon est passé en phase de test aux États-Unis. La firme a mis à l'essai des casiers de livraisons au sein de magasins de détail de toutes sortes (alimentation, commodité, drugstores et imprimeries), à travers le pays. Un service qui pourrait à l'avenir satisfaire les usagers qui souhaiteraient récupérer leurs colis plutôt que de se les faire livrer à domicile.

En France comme aux États-Unis, l'élaboration d'une taxe spécifique aux vendeurs en ligne n'aura pas vu le jour en 2012. Si Amazon a commencé à verser son obole à certains États, l'harmonisation prend du temps... Cependant, 2013 pourrait voir la naissance d'une législation commune, fait plutôt rare de l'autre côté de l'Atlantique.

Comment Amazon, qui a bénéficié aux Etats-Unis de son statut de commerce (florissant) en ligne est en train de voir sa situation radicalement changer avec l'intervention progressive des états.

La Federal Trade Commission, autorité de la concurrence américaine, enquête depuis plusieurs années sur la multinationale Amazon, qu'elle soupçonne d'abus de position dominante... Outre-Atlantique, les libraires et les auteurs ont ensemble pris la plume pour encourager l'agence gouvernementale : un démantèlement est nécessaire.

Scaredy Squirrelprepares for HalloweenMélanie WattFrisson l'écureuil se prépare pour Halloween

Offrir l'intégralité des ventes de livres numériques aux auteurs impactés par le conflit Amazon/Hachette USA était la dernière offre en date du cybermarchand. Évidemment, cela lui coûtait un peu moins cher que ce que l'éditeur n'aurait dû verser. Raison pour laquelle ce dernier avait décliné, tout juste poliment. Et les deux sociétés étaient reparties dans leur bras de fer.