Le livre animé des pirates

En marge du festival Quais du polar, nous avons eu l'occasion de discuter et d'échanger avec deux personnes, équipées d'un Kobo. Pourquoi ? « Parce que ça m'a paru être la solution la plus simple, et surtout, ça restait un peu français. » Faute avouée, à moitié pardonnée, n'est-ce pas ?

La maison d'édition italienne 40k Books a déjà fait amplement parler d'elle depuis ce mois de juillet 2010 où elle a commencé à faire parler d'elle, par-delà les Alpes. Sa particularité est de publier des ebooks dans un format de lecture court, environ une heure, soit uniquement des romans courts et des essais originaux, publiés dans plusieurs langues.

Les défenseurs des DRM sont les véritables pirates

La Publishers Association, organisme professionnel équivalent au Syndicat national de l'édition outre-Manche, fait aujourd'hui état du blocage de 7 sites identifiés comme des pourvoyeurs de contenus illégaux. Les sept sites web sont basés à l'étranger, mais leur accès sera bloqué pour les internautes britanniques, dans un délai de dix jours.

Scribd se défend d'avoir piraté les livres de Rowling

Le livre de la jungle en série animée sur TF1 pour 2010

Les éditeurs du groupe Art et Beaux Livres du Syndicat national de l’édition (SNE) ainsi que libraires et auteurs annoncent lancer une opération appelée « J’aime le livre d’art » qui se déroulera du 16 novembre au 15 décembre et qui prévoit de mettre en valeur le livre d’art et le beau livre. Au programme : des prix et un catalogue. 

Nous le savons - de Marseille aux huiles essentielles - Stephenie Meyer est l'égérie des ventes de Hachette, partout dans le monde. Après la publication des chiffres du premier semestre du groupe, on constate que la saga de Twilight continue de tirer l'éditeur vers les sommets du sublime.

Après deux mois sans émission littéraire, la chaîne propose depuis le lundi 15 mars l’Heure des livres, présentée par Anne Fulda. Diffusé du lundi au jeudi à partir de 20 h 55 le programme proposera « des entretiens avec des des personnalités de tous horizons qui participent à l’actualité littéraire. »

SCIENCE FICTION - Au XXVIIe siècle, l’humanité a accès à toute la galaxie. Toutefois, les Compagnies, grands consortiums marchands, brident la liberté de voyager. Nul ne peut aller au-delà des nuages de Magellan.

22, v'la la Publishers Association. L'organisation d'éditeurs britannique soutient vigoureusement la création à Londres de la Police Intellectual Property Crime Unit (PIPCU), une nouvelle brigade de répression spécialisée dans la chasse aux adresses IP impliquées dans le piratage d'oeuvres intellectuelles. Outre un apport au financement du PIPCU, l'association entend ainsi s'impliquer dans la défense du copyright avec policiers et ayants droit.

C'est plutôt insolite, mais vraiment dans l'air du temps : un opéra inspiré par des personnages de comics, tout le monde connaît, Batman ou même Spiderman y ont eu droit... Pour ce qui est des héros de manga...

Il aura fallu près de cinq jours, depuis que ActuaLitté a dévoilé l'existence de la bibliothèque d'ebooks contrefaits, pour que l'espace de stockage OneDrive, le service de cloud de Microsoft, soit rendu inaccessible. Mais en cinq jours, difficile de mesurer l'impact que cette offre open-bar d'ebooks illégaux – dans son immense partie – a pu avoir. Les éditeurs frappés ne manquaient pourtant pas.

Un collectif d'auteurs a lancé le 16 avril une pétition pour réclamer une action forte contre le piratage de livres. Aujourd'hui signée par plus de 300 personnes, elle se fait l'écho d'une situation qui évolue depuis plusieurs années. À ce jour, et selon des données collectées par ActuaLitté, on compterait plus de 70.000 livres contrefaits (tous secteurs confondus), aisément accessibles aux internautes.

Amazon Publishing, Penguin Random House et une douzaine d'auteurs américains, dont Lee Child, John Grisham, Sylvia Day et R.L. Stine, se sont engagés dans une chasse aux pirates. Une plainte a été déposée à l'encontre de plusieurs sites, sans doute gérés par la même personne, qui vendaient des livres numériques à très bas prix. Selon les plaignants, ces titres ont été piratés et revendus sans autorisation.

Ce matin, le PDG du groupe Hachette Livre était l'invité de France Inter. Une présence appréciée, à quelques jours du Salon du livre, d'autant que les maisons littéraires du groupe ont choisi de ne pas y prendre part. Chose qui ne doit rien à « un caprice » du grand patron, et dont il s'explique, dans l'entretien. De ça, et de nombreuses autres choses.

Aux côtés du scénariste Jean Dufaux, Jérémy signe les dessins du tome 2 de la série Barracuda, Cicatrices (Dargaud, 13,95 €). Voilà un nouvel album qui fait ressortir toute la vivacité du trait de crayon de Jérémy. Ce dernier avait commencé à collaborer déjà avec Jean Dufaux sur la série Murena, en tant que coloriste.

La Repubblica, organe de presse italien particulièrement sérieux – dont le propriétaire, Carlo De Benedetti, est un adversaire historique de Silvio Berlusconi – vient de frapper fort. Dans une analyse du marché cinématographique, le titre fait éclater toute ambiguïté : « I pirati che hanno salvato il cinema. » Les pirates qui ont sauvé le cinéma. De quoi faire sauter dans leur siège tous les représentants de sociétés de droits d'auteur. Recrudescence d'infarctus à redouter dans le paysage culturel ?

ARTE Radio intègre pour la première fois l’expérience des enceintes Merlin avec la série audio de Claire Richard, La Reine des pirates. Elle sera disponible (sans supplément) dans le catalogue audio de Merlin du 31 mars au 13 juillet 2023. 

Comme chaque année, le Prix des libraires « J’aime le livre d’art » récompense un ouvrage, mais aussi, trois librairies pour le prix de la plus belle vitrine, ou de la plus belle table de librairies. Après avoir voté massivement pour 400 femmes artistes (Ed. Phaidon), ouvrage lauréat, les librairies participantes, investies dans le concours de la plus belle vitrine, viennent d’être départagées.

C'est le livre du moment, parce qu'il génère toutes les critiques possibles et imaginables. Merci pour ce moment, tiré à 200.000 exemplaires, est devenu le carton global du moment, attirant les gens en librairies, grandes surfaces spécialisées et autres. Mais ce qui est plus explosif, c'est que l'on assiste clairement à une campagne de piratage hors norme. 

Voici une authentique histoire de pirates, et d’un des plus fameux : Barbe Noire. Il terrorisa les Antilles et les colonies britanniques durant la fin du XVIIe siècle. Son nom vint de ce qu’il avait pris l’habitude d’attacher des mèches de canon allumées à ses cheveux. Diable d’homme. Et Edward Teach de son vrai nom vient de révéler un grand secret. 

Tandis que des sites communautaires de prêts d’eBooks se développent (notre actualitté), les bibliothèques publiques voient elles aussi leurs collections numériques grossir considérablement.

La langueur des vacances donne aux ventes de la semaine 16 (15-21 avril) une certaine ressemblance avec la précédente. Monkey D. Luffy et son équipage se maintiennent en tête avec 15.703 ventes du tome 107 de One Piece (trad. Djamel Rabahi et Julien Favereau). Mais ce sont tout de même 10.000 exemplaires de moins que la semaine passée…

Semaine après semaine, Numerama et ActuaLitté s'associent pour vous offrir un regard croisé mais acéré sur les dernières nouvelles hebdomadaires. Aujourd'hui, les sujets parlent de contrôle des contenus audiovisuels, de piratage venu des Antilles, de Clean IT, de gestation pour autrui et de protection cryptographique... Bonne lecture !

Une étude menée durant le deuxième trimestre, au Royaume-Uni, semble indiquer un recul de certaines pratiques de la contrefaçon. Internet n’a pour autant pas encore balayé toute forme de piratage. Un point qui permettait au moins à l’industrie du livre de se réjouir : les livres seraient les biens culturels les moins piratés. 

La semaine passée, la célèbre équipe de pirate, la Team Alexandriz, créait l'événement : réagissant aux propos des éditions Ad Astra, voici que les pirates de livres, que l'on aime détester, proposaient une parodie du registre ReLIRE, la base de données constituée d'oeuvres indisponibles qui seront donc numérisées, sans l'autorisation préalable des auteurs. Eh oui...