Prix Goncourt correcteurs

Retenu dans la dernière liste du prix Goncourt 2022, l’écrivain haïtien Makenzy Orcel fut doublé par Vivre vite, de Brigitte Giraud. Avec 232.122 exemplaires vendus du roman, ce lauréat 2022 ne restera pas parmi les plus grands succès de la récompense. Mais ce 28 avril, à New York, les étudiants francophones des facs américaines avaient élu un autre lauréat…

#PrixAutomne23 - Le Prix Goncourt 2023 est attribué à Jean-Baptiste Andrea pour son ouvrage, Veiller sur elle, édité chez l'Iconoclaste, et remporte ainsi la plus convoitée des récompenses littéraires de chaque nouvelle rentrée. Il reçoit dix euros et un succès de vente minimum garanti. Un beau bonus, puisque son dernier ouvrage l'est déjà, avec 47.893 ex. vendus selon Edistat.

Babelio, en partenariat avec ActuaLitté, a mené une étude sur les lecteurs des auteurs récompensés par les prix littéraires d'automne. Cette étude, appuyée par l'outil d'analyse avancé Babelio Data, a permis de publier une série d'articles visant à dresser le portrait des différents publics de ces écrivains. Nous concluons cette série avec le livre de Jean-Baptiste Andrea, Veiller sur elle , Prix Goncourt 2024.

PORTRAIT – Rouage essentiel de la production littéraire, le métier de correcteur — ou de correctrice en l’occurrence — demeure un métier de l’ombre. Un métier qui ne se voit pas et ne doit pas se voir. Anne-Soazig Brochoire, grande lectrice depuis toujours, le pratique avec passion et rigueur. Mais aussi une curiosité, qui ne s’interdit aucun genre.

Et de deux. Le Syndicat national de l'édition a annulé aujourd'hui une réunion organisée entre sa Commission sociale et les organisations sociales représentatives des correcteurs, réunion qui devait à l'origine avoir lieu le 9 février dernier et au cours de laquelle un projet d'accord devait être présenté. La situation sociale des lecteurs-correcteurs de l'édition reste problématique, si bien que les ministères de la Culture et du Travail seront sans doute amenés à intervenir.

Le 23 mai 2017, le collectif Correcteurs précaires, soutenu par plusieurs syndicats (CFDT, CGT, CFE-CGC ou FO), envoyait un courrier à la ministre de la Culture Françoise Nyssen pour l'inviter à se soucier des importantes difficultés que rencontrent les lecteurs-correcteurs dans le milieu du livre. Contrats précaires, revenus et tâches confiées à la baisse, la situation n'est pas brillante et la réaction de la ministre, pour le moment, est décevante.

L’ACLF, Association des correcteurs de langue française organise une rencontre ce samedi 25 mai, à partir de 14 heures. Ouverte à tous les correcteurs, elle suivra la deuxième assemblée générale de l’association, réservée elle, aux adhérents. 

En janvier 2021, l'Association des correcteurs de langue française (ACLF), créée en 2018, proposait à ses adhérents de répondre à quelques questions portant sur leur activité en 2020. Mais également sur les conséquences de la crise sanitaire sur leur travail, l'accès aux aides ou encore les perspectives pour l'avenir. Un rapport sur cette enquête révèle des situations très contrastées selon les répondants.

L’Association des correcteurs de langue française (ACLF) a demandé l’été dernier au ministère de la Culture de se prononcer de façon claire et explicite sur le taux de TVA applicable aux travaux de correction. Les conditions d’exercice des correcteurs ont évolué ces dernières décennies, depuis le temps où ce métier ressortissait à l’imprimerie et souvent au salariat. Or, même si un certain nombre de correcteurs sont toujours salariés de maisons d’édition, beaucoup sont désormais indépendants. 

La condamnation des éditions Robert Laffont, quelques jours avant les fêtes de fin d'année, a constitué un fameux cadeau pour la profession des lecteurs-correcteurs. Métier particulièrement précaire du fait de ses conditions de travail et de rémunération, il le devenait encore plus avec les statuts de micro ou autoentrepreneur. Le Conseil de Prud'hommes de Paris a recadré un éditeur, mais le jugement pourrait changer la donne.

Dans les rédactions, la chasse à l’erreur, qu’elle soit orthographique, de syntaxe ou de ponctuation, est une constante. Le soin apporté à l’écriture de chaque article sur un plan formel apparaît comme un gage de sérieux et de professionnalisme, et ce d’autant plus sur Internet où l’on se retrouve noyé sous la masse des sites d’information.

La Fnac et le ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, organisateurs du Prix Goncourt des Lycéens, ont réuni ce mardi 1er décembre à Rennes les 13 lycéens délégués nationaux pour les délibérations finales à huis-clos.

En 1970, l'écrivain Michel Tournier reçoit le Prix Goncourt pour Le Roi des aulnes, publié la même année aux éditions Gallimard. Et, trois ans avant, il avait reçu le Grand Prix du Roman de l'Académie française pour Vendredi ou les Limbes du Pacifique, publié en 1967. Bref, il ne se plaignait pas niveau prix : et pourtant, le Goncourt ne lui rapporta que 50 francs...

L'avantage avec le Prix Goncourt des Lycéens, c'est qu'une fois la sélection du Goncourt rendue, plus de place à la surprise. Enfin d'ordinaire. Créé et organisé par la Fnac et le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, avec l’accord de l’Académie Goncourt, il engage près de 2 000 lycéens dans la lecture passionnée des romans. Et permet de faire entendre leur voix pour élire leur lauréat.

Le jury du Prix [du métro] Goncourt 2019, présidé par Francis Tabouret, lauréat de l'année dernière, a désigné Estelle-Sarah Bulle lauréate de la récompense pour son livre Là où les chiens aboient par la queue, publié par les éditions Liana Levi.

L’académie Goncourt vient de communiquer la liste des derniers auteurs en lice pour le prix 2019. La deuxième sélection présentée le 1er octobre avait maintenu Amélie Nothomb, et nous la retrouvons bel et bien pour la dernière ligne droite.

Le dernier tour des délibérations du jury du Prix Goncourt des lycéens approche : l'un des prix littéraires les plus convoités et les plus suivis de la rentrée littéraire dévoilera son lauréat ou sa lauréate le 15 novembre prochain. De 15 titres dans la dernière liste, on passe à 5 finalistes, avec des livres qui se sont tous fait remarquer en cette rentrée littéraire, et uniquement des premiers romans, ou presque.

Les académiciens ont rendu leur verdict : Nicolas Mathieu devient Prix Goncourt 2018 pour son livre Leurs enfants après eux, publié par les éditions Actes Sud. Quatre ouvrages se retrouvaient dans la dernière ligne droite du très convoité prix littéraire, qui promet un maximum de ventes à l'occasion des fêtes de fin d'année, aux côtés du Prix Goncourt des lycéens.

Dès ce mardi 22 décembre, Hervé Le Tellier, prix Goncourt 2020 pour L'anomalie (Gallimard) sera chaque jour, à 8h45, dans l'émission « Les Matins de France Culture » de Guillaume Erner. Il invitera les auditeurs à un voyage un peu spécial, guidé par sa voix et ses mots...

Après deux mois de lectures assidues des 14 romans présentés dans la première sélection de l'Académie Goncourt, les délibérations régionales du Prix Goncourt des Lycéens 2020 ont abouti sur une sélection de six romans finalistes. Le titre lauréat sera connu le 2 décembre prochain, à l'issue de nouvelles délibérations finales...

C'était attendu, c'est confirmé : les prix littéraires de la rentrée vont sans doute décaler l'annonce de leurs lauréats, pour s'assurer que le réseau des librairies soit en mesure de s'en faire l'écho. Éric-Emmanuel Schmitt, membre de l'Académie Goncourt, a indiqué que la remise de la récompense serait conditionnée « à la réouverture des librairies ».

Ce prix littéraire, considéré comme le Goncourt Lorrain, est décerné chaque année depuis 1925 en mémoire du duo littéraire Erckmann-Chatrian. Cela tombe bien, Jean-Paul Didierlaurent vit dans les Vosges. Nouvelliste lauréat de nombreux concours de nouvelles, deux fois lauréat du Prix Hemingway, son premier roman, Le Liseur du 6h27, avait connu un immense succès au Diable vauvert puis chez Folio (360.000 ex vendus). 

Institué en 1938 par le journal Le Soir, le prix Victor-Rossel est un prix littéraire de Belgique (équivalent du Goncourt dans le pays), qui récompense un roman ou un recueil de nouvelles belge. Ce mercredi 27 octobre, le jury du Prix a dévoilé son palmarès pour cette 79e édition.

La lauréate du 24ème prix Goncourt des lycéens, Carole Martinez, avec son roman Du domaine des murmures, a été félicitée par le ministre de l'Education nationale, Luc Chatel. Ce dernier a tenu « à saluer le choix de cette œuvre profonde, où la poésie rejoint l'histoire dans un magnifique hymne à la langue », précise le ministère dans son communiqué.

C'est désormais officiel, l'année 2011 est celle du centenaire Gallimard, pour qui en aurait encore douté. Les deux premières grosses récompenses de l'automne viennent de couronner la maison aux 100 années, comme si cela pouvait étonner qui que ce soit.

Comme chaque année, à peu près à la même date, les différents gros prix de la rentrée d'automne vont commencer à annoncer leurs listes. L'occasion de découvrir comme chaque année qu'il n'y a aucune surprise...

Avec la présentation par l’Académie Goncourt de la sélection des livres en compétition pour le Prix Goncourt 2015, ce jeudi 3 septembre, c’est aussi l’ouverture de la 28ème édition du Prix Goncourt des Lycéens.

Instauré en 1938 par le journal belge, Le Soir, le prix Victor Rossel est aujourd'hui le plus important des prix littéraires belges - souvent comparé au Goncourt français. Le projet était d'apporter « une contribution nouvelle à la littérature nationale ». Cette année, c'est le livre d'Alain Berenboom, publié aux éditions Genese, qui remporte la mise. 

Pierre Lemaitre est élu au deuxième tour de scrutin à 8 voix pour Au revoir là-haut,éditions Albin Michel, contre 4 voix à Sylvie Germain pour Petites scènes capitales aux éditions Albin  Michel, et 3 voix à Brigitte Giraud pour Avoir un corps aux éditions Stock. Ce prix lui a été décerné ce jeudi 12 décembre. 

Et voilà :  le prix Goncourt est annoncé, et lance donc la vague des prix littéraires de l'automne. Avec en moyenne 400.000 ventes réalisées, le prix assure une  véritable manne financière à son auteur et son éditeur. Sachant qu'en 1903, le prix n'avait que peu d'intérêt pour les journalistes, aujourd'hui, c'est un véritable engouement qu'il suscite.