Ready Player One

La pluie ne tambourine pas sur les vitres, les vents ne déracinent pas les arbres : sauvés, la fin du monde est pour plus tard. C'est heureux, Orange a réuni plusieurs blogueurs pour leur présenter la solution de lecture Read&Go.

Orange et l'université de Catalogne propose Read & Go aux étudiants

On reparle des DRM ces jours-ci dans le cadre de la plainte déposée par des librairies indépendantes américaines contre Amazon et les six plus grandes maisons d'édition. Le DRM en place sur les livres numériques d'Amazon est à la source du problème. Une autre question se pose toutefois. Les lecteurs seraient-ils prêts à payer un peu plus pour un livre numérique sans DRM ? 

L’immense société de vente refuse de payer ces impôts. Après un litige avec la Caroline du Nord, c’est au tour du Texas de se prendre dans les remous du fleuve Amazon.

Payer ses amendes de bibliothèque en nourriture

Depuis quelques jours, Demon Slayer a remporté une palme que l’on pouvait attendre : il entre au panthéon des films les plus rentables, catégorie animation. Demon Slayer : Kimetsu no Yaiba a dépassé Pokemon 2, avec 43,95 millions $ de recettes au box-office américain, contre 43,75 millions pour les trucs à attraper. 

Le CEO Talk, c'est le moment « Medef-friendly » de la Foire du Livre de Francfort, où l'on revient sur les parcours et accomplissements des PDG de l'édition mondiale. Pour 2017, c'est un duo qui montera sur scène, formé par Carolyn Reidy, PDG de Simon & Schuster, et Guillaume Dervieux, vice-président du groupe Albin Michel.

La famille qui possède le château de Dampierre, dans les Yvelines, est bien ennuyée : pour assurer le paiement des travaux que nécessite le monument, il leur faut se séparer de leur bibliothèque. Et pas n'importe laquelle puisque, selon les spécialistes, ce sera une vente des plus importantes en France dans le monde du livre ancien. 

Elle devait rééquilibrer la concurrence entre les plateformes en ligne et remettre les GAFAM dans le droit chemin. Mais de fait, Amazon est le premier à dégainer sa rispote contre la loi de Bruno Le Maire. Ce sont les clients qui paieront la taxe sur les services numériques. À compter du 1er octobre, 3 % de majoration seront appliqués.

Est-il légitime de se sentir lésé, quand on est lecteur, de découvrir qu'un livre numérique est vendu presque un tiers plus cher qu'une version hardback. Les arguments reviennent : c'est dématérialisé, donc sans impression ni encre, mais la réalité dans les étals de cybermarchand est bien éloignée de ces considérations pratiques : les lecteurs payent plus cher. 

L'Angleterre vit actuellement de glorieux moments. La petite-fille de Roald Dahl vient de solliciter l'amour de ce peuple pour l'auteur de livres jeunesse... et surtout son porte-monnaie. C'est que la question est délicate : il faut déplacer la petite cahute dans laquelle Roal se réfugiait pour écrire.

Amazon avait réussi le pari de faire acheter des livres par son Kindle, en faisant en sorte que l'acte soit des plus simples. Se procurer un ebook n'importe où, sans peine, voilà la réussite.

Plutôt payer que d'être accusé de diffamation...

Faire payer les FAI pour rémunérer la presse

Il ne suffisait pas à Koyoharu Gotouge, la mangaka derrière cette saga, d’avoir écoulé plus de 100 millions d’exemplaires dans le monde. C’était en septembre dernier : l’arrivée d’un long-métrage allait forcément faire exploser de nouveau les compteurs. Chose faite : Demon Slayer, le film, a provoqué un véritable tsunami avec 32,5 milliards de yens (260 millions €) de recettes depuis sa sortie au Japon. Ce qui le place en première position absolue…

Succès en librairie, mais aussi sur les écrans à travers ses adaptations en anime, Demon Slayer ne pouvait pas rester absent de la case jeu vidéo. Demon Slayer - Kimetsu no Yaiba: The Hinokami Chronicles sera disponible sur les PS4, PS5, Xbox One|Series et PC le 15 octobre 2021.

Véritable phénomène mondial dans le domaine du manga, Demon Slayer (Kimetsu no yaiba en version originale) de Koyoharu Gotōge, se verra bientôt secondé par un titre dérivé, intitulé Kimetsu Gakuen!. Il s'agit en réalité d'une adaptation d'un anime, dans lequel les personnages du manga original sont présentés à l'école, en tant qu'élèves.

Joël Dicker laisse sa première place au 21e tome de la série manga Demon Slayer chez Panini (trad. Xavière Daumarie), qui se sera écoulé à 25.215 exemplaires cette semaine. En seconde position, on retrouve donc L’affaire Alaska Sander (24.668 ex.) suivie par le format poche de Skidamarink de Guillaume Musso (18.608 ex.). Autre entrée remarquée, Lucia de Bernard Minier chez XO éditions s’installe confortablement à la quatrième place pour sa première semaine sur les tables des libraires avec 15.813 tomes vendus. 

En dépit des actions du gouvernement britannique, un responsable d’Amazon assure que les impôts dus par la société n’augmenteront probablement pas. Chris Noth, responsable outre-Manche de la firme américaine explique en effet que les versements découleront de deux choses : les profits, et les investissements. Et qu’après le calcul, la société paiera ce qui restera.

Nous n'inventerons rien en affirmant que la lecture est aujourd'hui largement concurrencée par les nouvelles technologies, dont le caractère intrusif a envahi bien des moments jadis dédiés aux livres. Aussi, combien d'ouvrages abandonnés ? Penguin Books s'est posé la question et pense avoir trouvé une solution : un marque-page relié à Twitter, capable d'envoyer un tweet au lecteur lui rappelant qu'il n'a pas ouvert son livre depuis trop longtemps…

La Bibliothèque du Congrès, aux Etats-Unis, vient de remettre ses Prix de l'alphabétisation. Et la première récompense, d'un montant de 150 000 dollars (soit environ 115 000 euros) est allée au groupe Room to Read. Le Prix David M. Rubenstein reconnaît ainsi tout le travail accompli par ce groupe dans le monde entier.

Même si leur impact sur les ventes a parfois pu être surévalué, nul doute que les réseaux sociaux occupent aujourd'hui une place décisive dans le succès d'un ouvrage. Et les éditeurs tentent donc différentes expériences pour optimiser leur impact. Avec First to Read, Penguin fait d'une pierre deux clics en troquant la promotion virale contre des épreuves à lire.

Read & Go : l'offre d'Orange en place pour 2009 sous réseau 3G

Si, depuis 1989, il est de rigueur de considérer l’élève au centre du système scolaire, ces derniers temps, on semble laisser de côté les autres acteurs de l’Education nationale, à savoir les enseignants.

Une récente étude vient d'être réalisée depuis l'Angleterre, auprès de 250 acheteurs de livres numériques qui s'abreuvent au Royaume-Uni, en Allemagne et aux États-Unis.

Selon une étude publiée jeudi dernier par

Promis, juré, en fait Waterstone's n'a pas décidé de se tirer une balle dans le pied. Parce que son accord destiné à vendre le Kindle dans ses librairies n'est finalement pas exclusif. Mais il aurait dû l'expliquer plus tôt, James Daunt, le PDG de la chaîne… cela aurait évité à tout e monde de lui tomber dessus…

Au choix : soit il n'a pas froid aux yeux, soit il est dans une situation financière douloureuse. En tout cas, Trent Crowthers, étudiant du Teenesse a décidé d'ouvrir une librairie d'occasion pour régler ses frais de scolarité. La télévision d'Alabama, WTVY, qui rapporte ce fait divers, souligne également que l'adolescent a 17 ans. Évidemment, l'âge où l'on n'est pas sérieux...

À l'occasion de l'ouverture du premier espace FnacKids, nous avons pu poser quelques questions à Marie-Pierre Sangouard, directrice du livre de la Fnac.

Quel regard portez-vous sur l’évolution du livre jeunesse ces 10 dernières années　?