Les informations portant sur la gestion des archives publiques communiquées par le ministère de la Culture, le 3 novembre 2017, selon lesquelles il envisageait, par manque de place, la non-conservation de celles qui ne seraient pas considérées comme des « archives essentielles », ont alerté nombre d’historiens, historiennes et d’archivistes. La Ligue des droits de l’Homme tente d'alerter à son tour.