Vincent Wackenheim est un saint homme. D'ailleurs, je serai d'avis qu'on le canonise dès à présente, pour éviter les paperasseries papales post-mortem. Hop, un p'tit canon, il n'aurait probablement rien contre, et le voici saint. Sain, c'est autre chose. Encore qu'un homme citant Saint Augustin ne peut pas être complètement mauvais. Tout au pire dirait-on qu'il a de saines, voire saintes lectures. Et il nous en abreuve.