association libraires québec

Depuis près de 10 ans, l’industrie du livre du Québec n’avait connu de tels résultats : en 2013, l’Institut de la statistique faisait été de plus de 694,3 millions $ CA de chiffre d’affaires. Mais en dépit de sursauts occasionnels, le marché accusait le coup. Avec les données 2021, l’embellie est totale : 651,19 millions $ CA réalisés avec près de 15 % de croissance pour la librairie…

Le Québec accorde un million de dollars aux librairies

Pour la quatrième année, le nombre de librairies a augmenté que Québec, indique l’Institut de la statistique. Après un repli des créations (ou reprises) d’entreprises entre 2017 et 2019, la Belle Province vit une véritable embellie. A contrario, le nombre de bibliothèques publiques du territoire demeure stable depuis 2017 (827 structures) : on en compte 826, contre 816 en 2013.

L’Association des Libraires du Québec organise depuis 2009 une rencontre interprofessionnelle visant à offrir un contexte de réflexion et d’échange sur des enjeux actuels du livre. Cette rencontre annuelle incontournable réunira les divers acteurs du livre pour une huitième édition centrée sur un sujet crucial : LA PROMOTION DU LIVRE.

Pour que les personnes âgées et celles à mobilité réduite puissent profiter malgré tout de lecture, le Québec encourage les libraires à s’engager dans la médiation culturelle. Une opération, « Les libraires à domicile » a été conçue avec la profession, pour faciliter l’appropriation des livres, et de la lecture, par ces publics. Le tout est à l’initiative de l’Association des libraires du Québec (ALQ). Échanges autour des livres, conseils de lectures, lectures à voix haute par des comédiens et rencontres avec des auteurs sont donc au programme. 

Tendresse, humour, sagesse, aventure, voyages et magie. Des mots qui touchent et des illustrations qui nous transportent. C’est toute une palette d’émotions et d’émerveillements que nous offrent les six livres lauréats du Prix des libraires du Québec 2018, catégorie Jeunesse, coordonné par l’Association des libraires du Québec (ALQ).

Les très attendues listes préliminaires du Prix des libraires du Québec, catégories Roman et Poésie québécoise, ont été dévoilées à la Maison des libraires lors de l’inauguration du Salon du livre de Montréal. Coordonné par l’Association des libraires du Québec (ALQ), ce prix littéraire met en lumière le rôle essentiel des libraires, celui de découvrir et partager, tout en honorant des auteurs dont les œuvres se sont imposées cette année par leur qualité littéraire et leur originalité.

Séduire les lecteurs, partager les bonnes pratiques

Pour l’édition 2020 du Prix, les libraires de l’Association des libraires du Québec (ALQ) ont retenu 24 titres marquant de la littérature du Québec et d’ailleurs. Objectif, partager et faire découvrir à tous ces œuvres. D’autant que l’association fête ses 50 ans cette année : coup double.

Une noble initiative venue de l’auteur Jean-Christophe Réhel, aidé par les autrices Michèle Nicole Provencher, Hélène Bughin et Catherine Ocelot. Un go fund me pour aider les libraires indépendantes qui vivent des moments difficiles. Cette solution de financement participatif vient de se lancer sur le territoire québécois.

Les habitudes prises pendant l’année 2020, au plus fort de la pandémie, risquent fort de perdurer. Les libraires canadiens et québécois ont vu les volumes de commande en ligne exploser, ainsi que les coûts liés aux expéditions. Katherine Fafard, directrice générale de l’Association des libraires du Québec (ALQ), revient sur ce sujet brûlant.

Les librairies des différents comités du Prix des libraires du Québec, créé par l’Association des libraires du Québec et le Salon international du livre de Québec, se sont une nouvelle fois mobilisées en faveur du livre et de la lecture. Alors que de nombreux ouvrages manquent actuellement de visibilité à cause du coronavirus, ils ont décidé de mettre en lumière 15 titres québécois, qui méritent « de se tailler une place entre vos mains cet été ».

Pour que le regard des consommateurs accorde sa pleine reconnaissance à ces connaisseurs du livre que sont les libraires, l'Association des libraires du Québec (ALQ) ainsi que la coopérative des Librairies indépendantes du Québec (LIQ) se donnent la main pour créer une nouvelle image de marque. Baptisée simplement « Les libraires », celle-ci vise à englober l'ensemble de leurs opérations promotionnelles et commerciales.

Après deux mois de scrutin, ce sont quatre livres québécois et quatre livres hors Québec qui ont été élus. Le choix a été réalisé par l’ensemble des libraires de la province issus des librairies indépendantes, des coopératives en milieu scolaire et des chaînes. Des mots qui touchent et des illustrations qui nous transportent. 

Les librairies du Québec ont eu le plaisir de découvrir le programme de la SODEC, organisme de soutien des industries culturelles. Dans son volet consacré à l’édition, l’objectif fixé est simple, « accroître la production et la diffusion de titres québécois ». Et maintenir le réseau de libraires professionnels.

Personne n’osera appeler cela du drive : au Québec, on préfère la « commande pour emporter », en bon français, assez logiquement. Pour autant, voici la première proposition politique en faveur de la librairie, présentée par la porte-parole du Parti québécois, Méganne Perry Melançon.

Denis Lebrun, fondateur et actuel propriétaire des librairies Pantoute, à Québec, s'apprête à prendre une retraite méritée. Si beaucoup craignaient que les deux établissements soient absorbés par une grosse enseigne, ce sont finalement des salariés de Pantoute qui devraient reprendre l'enseigne, rapporte Le Soleil.

C’est ce samedi, 18 juin 2016, que se déroulera la première édition de la Journée des librairies indépendantes, organisée par le réseau Les libraires. Véritable fête de la lecture, cette Journée démontre l’importance de la librairie comme lieu culturel et comme endroit de promotion de la littérature. 

On connaissait les crises entre auteurs, entre auteurs et éditeur, entre libraire et éditeur, mais plus rarement le conflit ouvert entre auteurs et libraires. Et il aura fallu qu'elle nous parvienne du Québec. Le patron de la chaîne d'établissements francophones Renaud-Bray, Blaise Renaud, est monté rageusement au créneau. Face à lui, l'illustrateur jeunesse Philippe Béha, qui à l'occasion du Salon du livre de Montréal, s'était distingué - et fait remarquer.

La chaîne de librairies québécoises Renaud-Bray, qui compte 26 établissements, ne commercialisera plus les titres de la maison d'édition française Seuil, en raison d'un conflit ouvert avec son distributeur. Diffusion Dimedia a décidé d'arrêter de livrer les établissements, après que le libraire a choisi de modifier ses modes de remboursements pour les livres invendus. Une décision qui reste en travers de la gorge.

Multirécompensé pour Underground Railroad — notamment par le Pulitzer de littérature 2017 — Colson Whitehead est devenu une icône. Ses étudiants, à Princeton ou Columbia, profitaient déjà de son sens de l’humour et de cette sagesse percutante. Déconstruisant les mécanismes du racisme aux États-Unis, il continue de ravir et de faire réfléchir.

Le réseau LesLibraires.fr a été fondé à l'initiative de la librairie de Brest, Dialogues. Il a pour ambition de « permettre de retrouver sur Internet vos librairies préférées, leur atmosphère particulière, la qualité de leur service et de leurs conseils, leur choix et leurs spécificités ». Le réseau vient de nous faire parvenir une tribune revenant sur les récentes déclarations du président d'Amazon France, Romain Voog. Nous publions ici leur tribune dans son intégralité.

Pour la deuxième année, l’Association des libraires du Québec présente son opération Libraires à domicile. Un retour « en force », pour l’édition 2017 et une opération qui devrait vraiment inspirer. Le principe est simple : des personnalités québécoises et des libraires indépendants s’unissent pour l’accessibilité à la lecture.

Les aides attribuées aux professionnels de l’édition québécoise avaient beaucoup fait jaser, alors que s’ouvrait le Salon du livre de Montréal. En cause, le versement de subventions à hauteur de 1,1 million $ à l’enseigne Renaud Bray, par l’organisme de la Province, la Sodec. Un montant que les libraires indépendants considéraient comme leur revenant – et certainement pas destiné à une chaîne.

C’est à la Librairie de Verdun que Fanny Mallette, ambassadrice du Prix des libraires du Québec, a dévoilé les titres finalistes du Prix, catégories Bande dessinée, Essai, Poésie et Roman. Des libraires des différents comités de sélection l’ont accompagnée pour présenter 24 titres qui honorent la littérature du Québec et d’ailleurs.

Dans le cadre des assises de l’édition, qui se tiendront lors du Salon du livre de Genève, une délégation de libraires francophones est conviée. Initié l’an passé, ce projet de rencontres interprofessionnelles permet de favoriser les échanges et la découverte de catalogues d’éditeurs. 

Depuis 10 ans, le début de l’automne est synonyme de l’arrivée en librairie d’une nouvelle cuvée de titres nommés pour le Prix des Libraires | Jeunesse. Les 48 étoiles de cette année ont été choisies pour leur originalité et leur qualité littéraire. Deux comités d’experts constitués de libraires, issus de l'ensemble du territoire québécois, ont délibéré pour proposer des lectures incontournables destinées aux 0-5 ans, 6-11 ans, 12-17 ans et aux jeunes amateurs de bandes dessinées.

Initié en 2011 par l'Association des libraires du Québec (ALQ), le volet jeunesse du Prix des libraires du Québec récompense les auteurs et autrices dont les travaux ont stimulé l'imaginaire des libraires de la province. Ce Prix célèbre et renforce la prestige du métier, en appuyant leur contribution fondamentale : initier les plus petits comme les adolescents à la lecture, renforcer leur connexion avec les mots, et faciliter des découvertes inspirantes de livres. En 2024, le prix n'a pas dérogé à la règle...