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Le budget 2010 des universités remis en question

Justice, enseignement supérieur, emploi : rescapés du budget 2010

La présentation du budget 2016 de l’Enseignement supérieur et de la Recherche au CNESER (Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche) le 17 décembre dernier n’a pas laissé indifférent le syndicat Sgen-CFDT.

Dans le cadre du projet de loi de finances 2015, la ministre de la Culture a clairement montré la direction : avec 7 milliards d'euros de prévisionnel, la rue de Valois semble quitter une période « de rigueur accrue », alors appliquée à « l'ensemble des dépenses de l'État ». Une manière, estime le ministre, pour le gouvernement de marquer « la priorité qu'il accorde à la culture et la communication ». Diantre. 

En fin d’année, le gouvernement flamand avait décidé de procéder à quelques coupes budgétaires — la culture, au même titre que le sport ou la jeunesse, était concernée. Jan Jambon, ministre-président, assumait alors pleinement une disparition de 6 % des sommes pour 2020. Avec des répercussions qui font trembler l’industrie culturelle.

Au cours d’un vote survenu durant la nuit du 1er novembre, les députés ont adopté à l’Assemblée nationale les crédits pour le ministère de la Culture. Une enveloppe confortée, a estimé Franck Riester, locataire de la rue de Valois, avec près de 10 milliards €. 

Le budget 2012 a été définitivement adopté par l'Assemblée nationale durant la séance d'hier soir, sans grande surprise. Alors que le Sénat s'était opposé autant qu'il avait pu au plan de rigueur de François Fillon, le Parlement entérine l'ensemble.

Michael Bloomberg, maire de New York depuis 2002, a annoncé des coupes dans le budget des bibliothèques new-yorkaises qui peinent à passer. Avec 96,4 millions en moins pour 2012, cela  signifie à terme la fermeture de certaines bibliothèques, ou une ouverture partielle sur la semaine, ou encore un appauvrissement des collections.

Dans un entretien publié par La Tribune, Laurent Wauquiez revient sur ses choix budgétaires, alors que le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a annoncé la semaine dernière une hausse moyenne de 1,2% du budget 2012 pour les universités. Pour le ministre, « le maximum a été fait ». 

Deux commissions sénatoriales viennent de remettre leurs conclusions, celles des Finances et de l'Éducation. En cause, le budget de l'Éducation nationale pour 2012, où le ministère a perdu 165.437 postes, soit 14,4 % des effectifs.

La rue de Valois vient de donner suite à la présentation du Projet de Loi de Finances 2013, tel que révélé la semaine passée par le premier ministre, Jean-Marc Ayrault. ActuaLitté avait passé en revue l'ensemble des informations contenues dans ledit document, pour qui la priorité passait par une régulation de l'économie du livre et la préservation de la diversité éditoriale. 

Alors que le budget 2013 commence à voir le jour, nos confrères de l'AFP sont allés à la rencontre du ministre de l'Education nationale. Ce dernier s'est montré encore plus précis, après l'annonce médiatique faite il y a peu de 40 000 postes à l'Education nationale pour 2013.

S'il a chuté dans les sondages, en perdant 6 points, à 48 %, selon le baromètre Ipsos que publiera Le Point jeudi, Frédéric Mitterrand ne démord pas de sa mission pour la culture.

Lors de l'annonce de de sa proposition budgétaire 2014-2020 (en hausse de 4,8%), la Commission européenne propose de réunir les programmes actuels Culture et Média dans un programme unique appelé Europe créative.

En présentant le budget 2014, le gouvernement a marqué clairement le soutien qu'il voulait apporter à l'Education nationale. Si certains ministères doivent se serrer la ceinture, ce n'est pas le cas de celui de Vincent Peillon, avec même une hausse de 0,6 milliard d'euros, rapporte Vousnousils.

A l'appel de plusieurs syndicats, quelques manifestants ont fait part de leur désaccord, jeudi, en défilant devant le ministère de la Culture. Ils reprochent notamment au gouvernement de François Hollande de baisser les moyens alloués à la culture, une grande première pour des dirigeants socialistes. Cependant, force est de reconnaître que la mobilisation était très faible.

Malgré le peu d'amour qu'Aurélie Filippetti porte à la Haute Autorité pour la Diffusion des Œuvres et la Protection des droits sur Internet (Hadopi), l'institution créée sous l'ère Sarkozy a sauvé son budget 2013 d'une baisse qui lui aurait presque été fatale.

Qu'on ne taxe pas hâtivement nos colonnes d'anti-majorité primaire. Cependant, il faut bien reconnaître que le vote qui est survenu cette nuit dans les murs de l'Assemblée nationale ressemble à celui des (rares) moutons de Panurge...

Ce 28 mars, la Maison-Blanche a publié sa proposition de budget pour l'an prochain, avec un accroissement des dépenses à destination des bibliothèques américaines. En effet, le gouvernement américain a présenté une augmentation de 3,6 millions $ par rapport à 2022, dédiée à la Library Services and Technology Act (LSTA), soit le budget fédéral pour les bibliothèques américaines. Une revalorisation inclue dans les 8,8 millions $ supplémentaires destinés à l'Institute of Museum and Library Services (IMLS), qui gère notamment le LSTA. Des améliorations bienvenues selon l'American Library Association (ALA), mais jugées insuffisantes dans un contexte inflationniste.

Réponse d’Alex Türk à editionmultimedia.com :

Le ministère de la Culture bénéficie en 2023 d'un budget en hausse, arrêté à 4,2 milliards € dans le projet de loi de finances pour 2023, en hausse de 271 millions € par rapport à celui de l'année précédente. Dans la foulée de l'année consacrée à la lecture, grande cause nationale, le ministère annonce plusieurs postes de dépense liés au livre.

Le constat semble implacable : depuis les années 90, livre et presse sont les parents pauvres du budget des ménages, explique l'INSEE. Pour la presse, comme pour le livre, le comportement serait générationnel, alors que les catégories socio-professionnelles n'y changent rien.

Fleur Pellerin était de retour dans l’Hémicycle, dans le cadre de l’examen du projet de loi de Finances pour 2016. Au menu, l’implication de la rue de Valois dans le devenir des industries culturelles. L'occasion pour les différents députés d'apporter quelques commentaires sur l'enveloppe que le gouvernement accorde à la rue de Valois. Et pour la ministre de revenir sur l'optimisation fiscale. Cadeau.

La mise en place de la réforme du collège à partir de la rentrée 2016 va avoir un impact financier fort à cause du changement des programmes qui s’opère à tous les niveaux dans le même temps. D’importants moyens vont donc être alloués à l’achat de manuels compatibles avec les nouveaux programmes et le principe du collège réformé.

Les organisateurs étaient avertis : la mairie d’Angoulême allait diminuer les montants alloués au Festival de la BD, de 10 à 50 %. En cause, les coupes budgétaires que la municipalité devait opérer un peu partout. Mi-octobre, le ton était donné, et c’est à la veille de la grande présentation du Festival 2016, que le couperet est tombé. Assez loin de la tête, en réalité.

Examiné hier et adopté à une courte majorité, le budget 2015 doit encore être voté le 18 novembre en première lecture par l'Assemblée, avant examen au Sénat. Tout n'aura pas été un long fleuve tranquille : avec 266 voix pour et 245 contre, la première partie du budget n'a pas vraiment convaincu. Mais ce qui a été remarqué, c'est l'abstention des 39 députés socialistes, dits frondeurs. 

Le budget 2015 reste favorable à l’Education nationale ainsi qu’à l’Enseignement supérieur. L’actuel gouvernement continue d’être en ligne avec les promesses de campagne de François Hollande concernant la création de 60 000 postes sur l’ensemble du quinquennat.

Le vote des crédits pour la mission Culture a occasionné la présence de la ministre Fleur Pellerin, devant l'Assemblée nationale. Un budget « conforté pour les trois prochaines années », qui ne représente cependant qu'une paille dans l'ensemble des dépenses de l'État.

La présentation du budget 2018-2019 pour le Québec, réalisée par le ministre des Finances Carlos Leitão, laisse le secteur culturel dubitatif. Certes, les chiffres montrent des avancées favorables. Mais pour l’Union des écrivains, « beaucoup de questions restent sans réponse ».