crayon papier

C'est l'été, la saison où l'on se pose les questions primordiales. Remercions donc la chaîne YouTube ZaHax qui apporte enfin des réponses à une interrogation qui nous taraudait : le papier peut-il tout découper ? Réponse avec une expérience aux fondements scientifiques très solides.

L’association Culture Papier organise ce 2 avril une rencontre, autour d’un petit-déjeuner, sur le futur du papier recyclé. Créé en 2010, l’organisme a pour vocation de sensibiliser les pouvoirs publics, les décideurs économiques et l’opinion sur la modernité du papier, son rôle économique, sociétal et culturel et de promouvoir sa démarche éco-responsable. 

Bienvenue dans l'ère de la réalité augmentée, voilà que le papier passe à son tour au numérique. Si jusqu'ici les médias imprimés et électroniques ont eu des existences bien séparées, une nouvelle technologie s'apprête à concilier les formats antagonistes. Ainsi, on peut s'attendre à voir apparaître des journaux comportant des boutons interactifs, des suppléments audio ou encore des Like reliés à Facebook, des votes, des notations de sujets.

Chuck Purro, propriétaire de Yankee Book & Art Gallery, apporte sa pierre à l'édifice de l'actuel débat sur la probable extinction (*) du livre papier face à l'émergence toujours plus grandissante des ebooks et des Readers. L'amateur de beaux livres n'hésite pas à déclarer que ce serait véritablement « une grande perte si le livre papier venait à disparaître ».

Le livre est mort ! Ou tout comme.
En tout cas c'est pour bientôt.
Même pas demain, non !
Pour tout à l'heure.
La chasse aux tigres de papier est ouverte !

Une étude publiée par RISI sur l’impact des tablettes et lecteurs ebooks sur le marché de l’édition papier, dévoile sans surprise la mauvaise influence de l’un sur l’autre.

Entre mardi et mercredi, on décompte l'envoi de 762 millions de SMS et MMS, rapporte l'AFP. Le MMS prend chaque année plus d'importance face au SMS. Si ces chiffres sont considérables, et qu'on annonce même le dépassement du milliard pour l'ensemble du Nouvel An, le retour à l'envoi de vœux papier est indéniable. Les SMS sont un peu passés de mode.

Tandis que la société 3DIssue a diffusé plus tôt dans la semaine une infographie sur la montée en puissance du livre numérique outre-Atlantique (

Un papier électronique intelligent en plastique

CITYgreen, le papier couché 100 % recyclé

Le grand patron de l’enseigne Barnes & Noble, James Daunt, l’avait assuré : les patrons de ses librairies auraient tout loisir de s’approprier leur magasin. Et ce, afin de lui donner une identité propre, donc d’inspirer aux clients une plus grande confiance. Certains l’ont pris au mot. Et certains des clients plus encore. 

Ça fait du bien, un conte. Ça détend un peu l'atmosphère, ça fait plaisir, sourire, c'est plein de naïveté et de fraîche innoncence, c'est rempli de petites choses agréables et morales, le tout avec un enseignement qui laisse songeur... Et pour peu qu'on lui donne une belle touche d'exotisme, il vous embarque...

Le temps passant, on en a oublié cette période du Covid-19, et surtout les premiers confinements qui avaient soit rendu philosophes, soit motivé à changer de vie... Entre le monde d’avant et le monde d’après, le Prix Pulitzer 2001 pour Les Extraordinaires Aventures de Kavalier et Clay (trad. Isabelle-D Philippe), Michael Chabon, exploita une quarantaine après avoir attrapé le Covid, pour entreprendre un projet entre nostalgie et hypermnésie : recréer, ouvrage après ouvrage, le rayon imaginaire de la librairie de son enfance…

Au sortir d’Halloween, ou peu s’en faut, la Bibliothèque francophone multimédia de Limoges a fait une découverte des plus étonnantes : au rayon Livres de cuisine, a négligemment été oublié (ou déposé en hommage ?) un soutien-gorge. 

La cité de Thionville associé au village de Volkrange accueilleront le festival Le Rayon vert. Qui comme chacun sait, depuis 2012, met en relation des humains avec des mondes étranges, fantastiques, et parfois cosmiques. 

Les vacances sont arrivées ! Et dans la classe, toutes les affaires sont parties avec leurs propriétaires. Toutes ? Non, une petite trousse verte a été oubliée sur le coin d'un bureau. Ses habitants : feutres, stylos, crayons, taille-crayon, gomme et règle vont pouvoir profiter de la classe pendant toutes les vacances. Parmi tous ces habitants, le crayon roux et la gomme filent le parfait amour… Seulement il y a un hic à leur jolie histoire : le crayon roux écrit de jolis mots doux à l'intention de la gomme, mais la gomme, qui ne quitte pas le crayon roux d'une semelle, efface tout ce qu'il lui a écrit au fur et à mesure. La gomme ne se souvient donc jamais des jolies choses que le crayon lui adresse…
Quand le tampon encreur arrive du bureau du directeur, leur histoire d'amour est menacée…

Un amour à la gomme est un petit album haut en couleurs. A travers les jolies photographies de Grégoire Louis, on découvre cette histoire d'amour tendre et drôle entre le crayon roux et la gomme. L'histoire est très inventive et les photographies très amusantes et colorées.
Cet album permettra peut-être aux écoliers de voir la rentrée des classes de façon plus imaginatives et plus divertissante… ?

Dans le cadre du Contrat de progrès pour l'économie du livre en Limousin, le Centre régional du livre organise, le lundi 1er décembre 2014, à l'Hôtel de Région, de Limoges, une journée interprofessionnelle sur le thème « Livre numérique – livre papier : une nécessaire complémentarité ».

La pénétration des écrans dans les foyers, que ce soit l’ordinateur, la télévision, la tablette ou le smartphone, ne cesse de prendre de l’ampleur. Pourtant, quand il s’agit de lire un livre, même les nouvelles générations préfèrent avoir recours au support papier. C’est ce que démontre une nouvelle étude menée par des chercheurs issus de trois universités australiennes, rapporte Slate.

Sabeena Karnik, basée à Bombay, en Inde, fait de l'or avec ses doigts : avec du papier peint, elle réalise des typographies ou des lettrines colorées et en relief. Spécialiste de l'illustration 3D, elle n'en a pas pour autant abandonné le papier et « ses possibilités infinies ».

En découvrant les œuvres de Kate Kato, il devient évident que l'art ne s'oppose pas à la nature : cette artiste britannique utilise le papier comme support de splendides sculptures d'éléments naturels, des plantes aux insectes.

Adieu crayons, plumes, pinceaux, papier ! Gagné par les potentiels infinis des nouvelles technologies, Manu Larcenet a adopté la tablette graphique, pour ne plus la lâcher. Plus précis et plus rapide, c'est avec elle qu'il prépare le sixième album de Retour à la terre – le dernier datait de 2008. En attendant, la galerie Barbier & Mathon consacre une grande exposition, du 15 juin au 15 septembre prochain, à son œuvre papier, celle qui appartient déjà au passé. 

Pour suivre l’impulsion donnée lors de l’AGO/AGE du 30 mars 2017, de rendre la gouvernance de Culture Papier plus représentative de l’ensemble de la filière papier, trois nouveaux membres, dont deux issus de son Conseil d’administration, font leur entrée au Bureau de l’association.

Passionné d'animation, adorant (se) faire peur, Eric Power est un réalisateur spécialisé dans l'utilisation du papier, avec à son actif de nombreuses vidéos musicales, mais aussi des commandes pour la franchise Jurassic Park ou encore la revue Wired. À l'occasion d'une collaboration avec Jeremy Messersmith pour son projet Mixtape for the Milky Way, il signe une animation qui évoquera bien des souvenirs aux joueurs... 

Créée en janvier 2010, l’association Culture Papier, a renouvelé ce vendredi 11 septembre sa gouvernance : Guillaume Le jeune devient le nouveau président pour trois ans à la place de Pierre Barki, et Serge Bardy trésorier en remplacement de Muriel Caniez.

Alors que de nombreux créateurs s’emparent de la fabuleuse technologie de l’imprimante 3D, d’autres choisissent des matériaux de création plus traditionnels. Michael Velliquette lui s’est saisi de ciseaux, de couteaux d’art et de colle pour réaliser des sculptures de papier des plus complexes. Et exprimer une véritable passion pour cette matière.

Sa disparition n'en finit pas d'être annoncée comme repoussoir au numérique, mais le papier ne semble pas prêt à plier face aux nouveaux supports, bien au contraire. Plusieurs courts-métrages présentés récemment font même de la matière la première composante de leur univers, ou bien l'utilisent comme élément déterminant du scénario. L'un d'entre eux a même été salué par un Oscar, excusez du peu...

Un éditeur qui a du plomb dans sa cervelle de singe. Entre les grandes plateformes de comics numériques, la rédaction avait déjà eu l'occasion de présenter les publications de Monkeybrain. Avec, souvenons-nous, la diffusion en libre accès de Thoughts on a winter morning de Kurt Busiek, un format court contemplatif, bien loin des standards américains, à plus rapprocher de ce qu'a pu dessiner Taniguchi.

Le produit utilise un système d'impression thermique, comme les fax. Lorsque le message inscrit n'a plus d'utilité, il peut être effacer avec un simple interrupteur et peut être utilisé jusqu'à 260 fois.

La presse gratuite, après une arrivée sur le marché tonitruante dans les années 2000, connaît une passe très difficile. C'est maintenant Metronews qui choisit de mettre fin à son édition papier. Le dernier numéro est sorti vendredi. Après treize années de publication papier, le titre a choisi de ne rester présent que sur la Toile.