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Le Conseil d'Administration de Lagardère SA, suivant unanimement la recommandation du Comité des Nominations, des Rémunérations et de la RSE, accueille Yannick Bolloré en son sein. Cette décision intervient après la démission de René Ricol, consécutive à l'achèvement de la fusion entre les groupes Lagardère et Vivendi.

La  Commission Européenne et les autorités de la concurrence ont validé l'OPA amicale de Vivendi sur le groupe Lagardère, et rendu un avis favorable ce 9 juin. Hachette Livre succédera à Editis au sein de l'empire Bolloré, pour consituer un géant français du divertissement. Arnaud Lagardère, actuel PDG du groupe, passera dans le giron de Vivendi, avec un enthousiasme qu'il souhaiterait contagieux.

Les résultats du premier semestre 2014 du groupe Lagardère sont « conformes aux prévisions », assure un communiqué de presse. Avec 1,838 milliards € pour le 2e trimestre (+3,3 ) et un premier semestre qui s'affiche à 3,364 milliards € (-1,2 %), les chiffres d'affaires sont plutôt souriants. 

Préférant l'offre de reprise unissant le Belge Rossel et le groupe de Pascal Chevalier à celle de l'ancien patron de Lagardère Active, Didier Quillot, le groupe Lagardère serait sur le point de céder une dizaine de ses magazines, rapporte La Croix.

Au centre Pompidou, la Fondation Lagardère a accordé à 16 personnes les bourses dédiées suivant des secteurs artistiques. Depuis 1990, elles aident de jeunes créateurs de moins de 30 ans (moins de 35 ans pour les bourses Libraire, Photographe et Scénariste TV) non seulement de mener à bien leur projet dans de bonnes conditions.

Le groupe Lagardère a publié ce 8 février son chiffre d'affaires du 4e trimestre 2017, positif, malgré un écart entre données comparables et données consolidées dû à des cessions et des effets de change négatifs. Pour l'activité d'édition, qui participe grandement aux bons résultats du groupe, ce sont surtout les best-sellers, les acquisitions outre-Manche et outre-Atlantique ainsi que la réforme scolaire qui justifient ces bons résultats.

Coup de tonnerre chez Lagardère : l’actionnaire principal, Amber Capital, a décidé de porter le fer. Il présente des résolutions pour la prochaine assemblée générale, visant au complet renouvellement du Conseil de Surveillance. En cause, des « performances économiques très en dessous de la moyenne », estime Amber Capital.

Quelques semaines après le départ d’Arnaud Nourry, ex-PDG du groupe Hachette Livre, l’information du Point fait l’effet d’une bombe. Depuis la mi-février qu’avait été, dans la presse, annoncé un accord entre Bolloré, Arnault et Lagardère, plus aucune nouvelle. Simplement parce que Vincent Bolloré conditionnait sa concrétisation à la fin de la commandite protégeant Arnaud Lagardère. Lequel a manifestement avancé sur le sujet.

En tant qu’actionnaires minoritaires des Éditions Calmann-Lévy aux côtés de Hachette Livre, Éliane et Christopher Calmann-Lévy ont pris acte du départ d’Arnaud Nourry qui présidait aux destinées de Hachette Livre depuis 18 années. Dans un message communiqué à ActuaLitté, ils évoquent cette rupture, pour l’ex-PDG passé de « l’homme fort » au « maillon faible ».

En difficulté depuis des années, le groupe Lagardère, notamment propriétaire d’Hachette Publishing, intéresse les deux géants du capitalisme que sont Bernard Arnault et Vincent Bolloré. Après plusieurs tentatives et propositions de vente avortées, un accord entre les trois groupes semble avoir enfin été trouvé.

Le groupe Lagardère n'en a pas fini avec ses actionnaires Amber Capital et Vivendi : ces derniers ont fait appel de la décision du tribunal de commerce de Paris, qui leur refusait l'organisation d'une assemblée générale exceptionnelle afin de pouvoir obtenir des sièges au conseil de surveillance du groupe d’Arnaud Lagardère. Une nouvelle décision judiciaire sera donnée le 17 décembre prochain.

Voilà quinze jours, les acteurs sortaient du tribunal, pas vraiment le sourire aux lèvres. Mais entre gentlemen, on sait s’entendre. Ainsi, Arnaud Lagardère a entamé les discussions avec Vincent Bolloré et Bernard Arnault, pour partager le groupe Lagardère. Mais les demandes sont significatives.

D’abord, la réalité : si la justice brise une partie des élans de Vivendi, la société de Vincent Bolloré interjettera appel. En somme, la procédure juridique ne fait que commencer. Mais pour l’heure, pas d’assemblée générale pour le groupe Lagardère. 

Sérieusement chahuté par des actionnaires du groupe Lagardère, en particulier Vivendi et Amber Capital, et lui-même miné par une importante dette personnelle, Arnaud Lagardère avait appelé à la rescousse une autre fortune française, Bernard Arnault. Par un investissement, ce dernier est venu renforcer la position d'Arnaud Lagardère, en lui apportant un peu de répit...

L’Autorité des marchés financiers avait été saisie pour mesurer l’impact que le changement de statut pour le groupe Lagardère SCA aurait, dans son passage en SA. Dans une communication, le groupe indique avoir reçu de la part du greffe de la Cour d’appel de Paris la confirmation de l’absence de recours formé contre la décision de l’Autorité des marchés financiers.

Le groupe Lagardère a pu compter sur une activité éditoriale forte et les bonnes performances de Lagardère Publishing pour maintenir le cap malgré la crise du Covid. Mais la crise impose « la nécessité d’accélérer le développement de Lagardère Travel Retail et Lagardère Publishing », assure le groupe. Dans cette perspective, un conseil de gérance a été créé, avec Arnaud Nourry parmi ses membres.

Après l’arrivée de Vincent Bolloré, par l’intermédiaire de Vivendi, c’est au tour de Bernard Arnault, groupe LVMH, d’entrer au capital de Lagardère. Avec l’acquisition de 25 % de la holding, le milliardaire devient premier actionnaire du groupe. Et, bien entendu, la bourse s’emballe…

Le groupe Lagardère annonce une légère baisse du chiffre d'affaires (- 3,3 %) de sa filiale consacrée à l'édition, Lagardère Publishing, au premier trimestre de l'année 2020. Période évidemment touchée par la pandémie du Covid-19 : la baisse observée est principalement due au recul de l'activité en France, avec la fermeture d’une grande partie des points de vente à partir de la mi-mars.

Les résultats annuels présentés par le groupe Lagardère montrent une certaine stabilité du chiffre d'affaires sur l'année 2012, avec 7,37 milliards €. Le groupe y voir une confirmation de « sa capacité de résilience », doublée d'une bonne tenue de l'activité. Concernant Lagardère Publishing, on évoque « un maintien d'une profitabilité à un haut niveau (10,7 %) ».

Lagardère vient de publier ses résultats semestriels 2011. En ce qui concerne Lagardère Publishing, le Chiffre d’affaires semestriel 2011 s’élèvent à 900 M€ (975 M€ au 30 juin 2010), soit - 7,7 % à données brutes et - 6,0 % à données comparables. Le CA de Lagardère publishing a reculé de 0,2% par rapport à l’an dernier.

Le groupe Lagardère vient de communiquer son résultat annuel pour 2014, avec un léger recul du chiffre d'affaires, placé à 7,17 milliards €. Si la fin de l'année passée a profité de quelques embellies, les comparaisons, dans la branche éditoriale, souffrent de ce que 2013 fut une excellente année sur son dernier trimestre.

Les résultats du premier semestre, pour le groupe Lagardère affichent de joyeuses choses, avec un chiffre d'affaires de 3,406 milliards €, stable (+0,5 %), un endettement « en forte baisse », à la hauteur de 900 millions €, avec un niveau de liquidité de 2,272 milliards €. 

Finalement, les offres de reprises pour les magasins Virgin ont largement déçu, et dans l'intersyndicale, on peine à croire ce que l'on a appris. Mais du côté de la direction, ce n'est pas mieux : Christine Mondollot, l'actuelle présidente de l'enseigne ne cache pas sa déception, devant les cinq offres déposées. 

#ProcesAntitrust - En marge des résultats financiers de Lagardère, est revenue une question concernant l’intérêt du groupe pour Simon & Schuster. La structure américaine est actuellement ballottée par le ministère de la Justice, qui veut empêcher le rachat par Penguin Random House. Si cette transaction était rejetée, quelle serait la position de Lagardère ?

La seconde période de l'Offre Publique d'Achat (OPA) lancée par le groupe Vivendi sur son concurrent Lagardère s'est terminée le 9 juin dernier. Le bilan ne diffère pas vraiment de celui de la première phase, puisque le groupe annonce détenir 57,35 % de Lagardère, contre 55,43 % du capital il y a quelques semaines.

Lagardère, petite baisse pour 2009, Meyer Brown et Astérix salués

Vivendi annonçait, le 16 décembre 2021 dernier, envisager le dépôt, courant février 2022 et au prix de 24,10 euros par action Lagardère, une offre publique d’achat résultant de l’acquisition, au même prix, des actions cédées par Amber Capital. Une cession par le fonds d'investissement britannique qui a permis à Vincent Bolloré de détenir 45 % des actions Lagardère. Ce 18 février, Vivendi annonce cette fois-ci envisager d'augmenter cette offre d'achat à 25,50 euros par action.

Le feuilleton Lagardère-Vivendi se poursuit, le second souhaitant racheter le premier, notamment pour améliorer sa présence dans l'édition de livres. Une question demeurait en suspens : comment réagiraient les autorités de la concurrence, en voyant se profiler un géant de l'édition combinant Editis et Hachette Livre ? Vincent Bolloré aurait en réalité en tête de céder Editis, pour se contenter de Lagardère Publishing...

Les résultats financiers de 2022 pour Vivendi étaient attendus à plus d’un titre ce 8 mars. La date était aussi celle du repreneur d’Editis, enfin dévoilé. Sauf qu’entre temps, les choses se sont bousculées et la Commission européenne a sapé les ambitions du groupe vis-à-vis de Lagardère. Et lui fait voir 36 chandelles.

L'édition chez Lagardère fait risette, malgré Meyer en baisse