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Strike TV, la télé des professionnels de l'audiovisuel gratuite et en HD

La Online Publishers Association (OPA) a singé Henry James en réalisant une étude intitulée Portrait of Today's Tablet User, consacrée aux usages des tablettes. L'activité principale est l'accès au contenu et à l'information, suivi par Internet et les e-mails. Fait notable, plus de la moitié des utilisateurs ont déjà payé pour accéder à des contenus sur leur machine.

La jeune maison d'édition TEXTE VIVANT, née en 2012, très engagée sur le front du numérique, avec la publication de livres enrichis, fait le choix d'associer papier et numérique. Pour deux de ses ouvrages, Alan Vega, conversation avec un indien d'Alexandre Breton et Retour à Piazza Clai de Claire Arnot, pour la commande en édition brochée, la version numérique vous sera offerte.

Si le concept d'ebook de seconde main n'en a pas fini de faire couler de l'encre, son pendant de papier suscite lui aussi des prises de position contrastées. Courant 2002 l'Authors Guild faisait savoir à Jeff Bezos, par l'intermédiaire d'une lettre ouverte, que son offre de livres d'occasion risquait de mettre en péril les ventes d'ouvrages neufs, mais il faut néanmoins admettre que ce commerce n'est pas exempt d'intérêts. Car outre le fait qu'il permette aux lecteurs d'acquérir des titres à moindres frais, le recyclage de bouquins aurait également un impact non négligeable sur la qualité de l'environnement.

Passer par de nouveaux usages pour développer la lecture numérique. Vœu encore pieux l'année dernière, la chose commence à prendre la forme d'un beau bébé mené à terme. Un nourrisson qu'il aura quand même fallu attendre avant de pouvoir le toucher.

Rien ne semble arrêter le magnat de l’immobilier, Donald Trump. En course pour les présidentielles américaines de 2017, le businessman fait beaucoup parler de lui pour ses nombreux dérapages. Il semblerait qu’il ait utilisé ses fonds de campagne, soit 55.000 $ (48.766 €) pour acheter des milliers d’exemplaires… de son propre ouvrage. 

Plus de musique écoutée, plus de streaming pour la télévision, un budget annuel de dépense qui diminue pour les livres, l'institut GfK vient de présenter son étude REC+, examinant les dépenses que les Français opèrent sur les loisirs et dans le domaine de la culture. Et les usages continuent d'évoluer, c'est le moins que l'on puisse dire.

MediaFire est une société respectable : cette solution gratuite de stockage en ligne, pour le business, les professionnels ou des usages privés sert également d'outil de restauration et de partage entre utilisateurs. Oups... partage... le mot interdit. Celui qui rime avec piratage et qui a tôt fait de vous mettre sur le dos les Majors de toutes les industries culturelles possibles et imaginables... Eh bien MediaFire a trouvé une parade.

Il faut que ça vende, désormais. Après avoir tenu le grand public anglo-saxon en haleine durant des mois, Pottermore a enfin mis en place la commercialisation des livres numériques de la saga Harry Potter.

Le hacker russe Alexey V. Borodin a rendu gratuit les achats réalisés depuis les applications téléchargées depuis la plateforme App Store. Près de 30.000 fraudes auraient déjà été comptabilisées par le Robin des bois du royaume Apple en personne.

Cela faisait quelque temps que Charles Kermarec n'avait pas gratifié la planète numérique d'un cinglant petit billet, depuis sa Bretagne livresque. Le patron de la librairie et de la maison d'édition Dialogues, s'est ainsi fendu de quelques réflexions à partager.

Est-il trop simple d'acheter des applications en passant par les appareils d'Apple ? La force du service iTunes réside bel et bien dans ce qu'il suffit d'entrer son code personnel de compte pour se procurer tout ce que l'on souhaite. Fort bien. Mais la Federal Trade Commission émet des réserves.

Suite à la publication du rapport d'Hadopi sur l'état du piratage en France, plusieurs observations tendent à contrecarrer la vocation de la Haute autorité. Et surtout, remettre en question son existence même, soulignent des opposants.

 L'idée du député UMP Édouard Courtial, qu'il explique dans le JDD de ce dimanche, était d'empêcher les familles d'utiliser l'ARS pour autre chose que pour les fournitures scolaires. Il déclare d'ailleurs avoir engrangé 120 signatures de députés UMP en faveur de sa proposition de loi.

Vivendi annonçait, le 16 décembre 2021 dernier, envisager le dépôt, courant février 2022 et au prix de 24,10 euros par action Lagardère, une offre publique d’achat résultant de l’acquisition, au même prix, des actions cédées par Amber Capital. Une cession par le fonds d'investissement britannique qui a permis à Vincent Bolloré de détenir 45 % des actions Lagardère. Ce 18 février, Vivendi annonce cette fois-ci envisager d'augmenter cette offre d'achat à 25,50 euros par action.

Pouvoir d'achat : faites de vos livres des porte-monnaie

Quelques mouvements de foule agitent actuellement les studios Disney, notamment avec le départ précipité de Dick Cook, vendredi dernier, qui fut président du studio, après 38 années passées dans l'entreprise, et un poste de président en 2002.

« L'émergence d'un nouveau leader européen de l'édition »

Achat de manuels scolaires sur le net : une réelle économie

Suite à l'approbation de la Commission européenne pour la fusion avec le groupe Lagardère, Vivendi a signé le 26 juillet 2023 un accord préliminaire avec le Groupe Figaro pour la vente totale du magazine Gala.

La direction d'Interforum, branche diffusion-distribution d'Editis, gardera en mémoire les négociations annuelles obligatoires (NAO) de 2023, axées sur la politique salariale. Après une grève lancée par le syndicat Force Ouvrière (FO) le 11 décembre dernier devant le 92 de l’avenue de France, la « 5e et dernière réunion NAO » s'est déroulée ce 19 décembre. La CGT et FO constatent ensemble que cette proposition ne compense toujours pas l'inflation...

Le nouveau guide des formations aux métiers du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia vient de sortir. Cette huitième édition, entièrement réactualisée et augmentée, présente plus de 900 formations aux métiers du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia : diplômes universitaires, écoles et stages de longue durée.

La Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet, ou Hadopi, fête en 2019 son dixième anniversaire, et se prépare à quelques changements d'envergure. Notamment une fusion avec le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), pour former une entité mieux dotée, aux missions étendues, un objectif confirmé par Franck Riester, le ministre de la Culture.

Les éditions Gallimard ont décidé de valoriser un peu plus leur catalogue auprès des producteurs : si les adaptations de livres essaiment en salles, elles sont essentiellement tirées d'ouvrages anglophones. Pour faciliter l'achat de droits d'exploitation cinématographique, le département audiovisuel de la maison se joint à la Société Civile des Editeurs de Langue Française (SCELF) pour présenter une dizaine d'ouvrages à Cannes.

Suite à une adoption incontestée - à l'exception d'une sénatrice qui s'est abstenue - la loi concernant l'encadrement de la vente à distance de livre sera donc mise en oeuvre. Par cette dernière, le législateur a souhaité interdire le cumul du rabais de 5 % sur l'expédition de livres et de la gratuité des frais de port. Autrement dit, acheter sur internet des livres coûtera plus cher qu'aujourd'hui. Si fait.

Dans la concurrence à laquelle se livrent les géants du net, Google tente une fois de plus de valoriser ses solutions d'achat. Pour pénétrer un peu plus encore le commerce en ligne, la société va proposer un bouton Acheter, très proche de ce qu'Amazon a mis en place. Bien entendu, les clients feront alors leurs emplettes sur la boutique de Google...

Le groupe britannique Hachette UK vient de s’offrir la maison d’édition numérique indépendante, Bookouture, fondée en 2012 par Oliver Rhodes. Cet ancien responsable marketing de Harlequin/Mills & Boon, rejoindra désormais l’écurie – tout en intégrant le conseil d’administration de Hachette.

La lutte contre les faux avis sur les produits se poursuit chez Amazon : la politique se renforce avec un minimum désormais établi de 50 € d’achat pour pouvoir poster des commentaires. De quoi lutter contre les arnaques aux commentaires trop élogieux – ou trop négatifs ? Pas certain, mais la firme cherche les moyens les plus divers.