encre électronique couleur

La société E Ink Holding, spécialisée dans la fabrication de papier électronique, et leader à peu près incontestable, vient de porter plainte pour contrefaçon, accusant la société allemande, Trekstor, de violation de brevets. Celle-ci commercialise en Allemagne deux appareils, le Pyrus et 4ink, dont les écrans sont conçus par Guangzhou OED Technologies, firme basée en Chine.

L'affichage de vidéos sur des écrans à encre électronique progresse sans cesse. Dernièrement, Bookenne avait proposé une démonstration de son savoir-faire, qui allait largement en ce sens.

Depuis novembre 2007, un changement a commencé : la présentation du premier modèle de Kindle, moche comme un pou, par un Amazon qui marquait définitivement son territoire, tout en établissant la carte. L'environnement Kindle naissait d'une évolution dans la vente de livres aux États-Unis : d'un côté, les librairies indépendantes fermaient à  foison, de l'autre, le besoin des consommateurs, rodés depuis des années déjà à l'achat de livre en ligne, de se procurer de quoi lire. 

En novembre 2011, la société Flex Lightning avait présenté une solution à base de LED pour permettre aux possesseurs d'écran à encre électronique de pouvoir malgré tout lire dans le noir. (voir notre actualitté) Son petit cadre très sympathique aurait donné des idées aux ingénieurs qui planchent sur le Kindle... et la nouvelle génération, pourrait très bien intégrer cette technologie pour les nouveaux appareils. 

Début août, la société E Ink Holdings, spécialisée dans la fabrication d'écrans utilisant l'encre électronique, s'est engagée à acheter les actions de son concurrent Sipix. Les deux sociétés ont signé un accord autour de cette vente, qui aboutira à la rencontre de deux technologies : l'encre électronique et les technologies LCD. 

La prise de note reste le parent pauvre des appareils à base d'encre électronique, bien que cette fonctionnalité se développe. Pour autant, rien n'existait encore qui y soit principalement consacré.

On navigue en pleine Recherche & Développement avec cette petite vidéo de 19 secondes sorties des laboratoires de Bookeen.

Le concept du lecteur ebook avec deux écrans n'est pas inédit en soi et tend à se rapprocher le plus possible d'un véritable livre, simplement en se conformant au principe d'ouverture. Avec un peu de réflexion, il y aurait sûrement des milliers de choses à explorer dans cette relation à l'ouverture, justement... Avis aux amateurs...

Les yachts de Hyundai : un marketing à l'encre électronique

Cassandre fait couler autant d'encre que DSK

Une vraiment drone d’idée que celle de Plextek – aucun lien avec la lingerie féminine d’ailleurs – que de vouloir conférer aux drones des pouvoirs d’invisibilité. En recouvrant les appareils avec des panneaux à base d’encre électronique, la société britannique veut faire des miracles. 

Les Chinois de Guangzhou OED Technologies ont décidé que l’encre électronique n’était pas morte, loin de là. Ils viennent de présenter la première technologie e-paper à base de graphène, qui serait tout à la fois plus fine et plus lumineuse. Cerise sur le gâteau : elle aurait une flexibilité accrue. 

Les lecteurs ebook sont constamment menacés de disparition, en raison d'un marché trop peu sujet à la croissance. Néanmoins, les dispositifs à encre électronique pourraient être utilisés pour des raisons écologiques ou économiques, ou encore en guise d'annexe à d'autres équipements, comme les smartphones. À l'instar de l'E-Card, un petit écran visiblement venu de Chine.

Les États d'Arizona et de Californie, aux États-Unis, ont mis en place un programme pilote qui vise à remplacer les plaques d'immatriculation traditionnelles par des dispositifs électroniques utilisant une technologie d'encre électronique similaire à celle des lecteurs ebook. Reste à voir si ce type d'affichage est suffisamment solide et fiable pour un tel usage...

La société RoadAds interactive présente en vidéo un concept révolutionnaire pour l'affichage de publicités : les panneaux évolutifs, basés sur une technologie d'écrans à encre électronique placés sur les camions. 

Une figure de proue du blog-techno-geeko-numérico-livresque (tout cela en un seul, oui), va quitter le navire. Paul Biba, rédacteur en chef, prend le large de TeleRead. Une belle aventure, évidemment, qui aura commencé en juillet 2007, avec son tout premier post. 

Le chairman et CEO de la société E Ink Holdings, Scott Liu, vient d'annoncer qu'il démissionnait des postes actuellement occupés. Dans l'intervalle Felix Ho, vice-chairman, va assurer l'intérim pour les deux responsabilités.

Alors que d'un côté, l'évolution des écuras à encre électronique se tourne immanquablement vers des offres couleurs, l'autre grand pan de la partie matérielle des lecteurs ebook reste le processeur.

Prenez un siège, et patience. Voici une conversation d'une vingtaine de minutes avec Sriram Peruvembra, directeur marketing de la société E Ink, qui fournit des écrans à plusieurs acteurs (Amazon, Sony, etc.)

Les derniers résultats communiqués par la firme E Ink étaient plutôt décevants pour les investisseurs, et pas franchement mirobolants pour le leader du marché. Le troisième trimestre aura finalement permis à la société de redresser la barre, et de repasser dans le positif. E Ink prévoit même un millier d'embauches pour subvenir à la demande.

La firme E Ink Holding est sans conteste leader dans l'approvisionnement des constructeurs en écran à base d'encre électronique. Alors qu'une technologie Pearl 2 doit voir le jour prochainement, et que les écrans souples semblent au coeur des développements, les résultats financiers de la société font jaser, commenter et surtout donnent lieu à toutes les spéculations.

Foin des études alarmistes qui annoncent la fin des lecteurs ebook, le PDG de E Ink Holdings, Scott Liu, assure que la demande de la part des vendeurs est toujours forte. Voire même qu'elle devrait continuer de croître pour 2013. 

La société E Ink Holdings, qui réalise les écrans de lecteurs ebook pour plusieurs firmes (Barnes & Noble, Amazon, Sony...) vient d'annoncer des résultats financiers en perte de vitesse, pour le premier trimestre 2012. Une première historique, depuis dix trimestres alignés.

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L'encre électronique, une croissance multipliée par 10 dans 3 ans

Auteur de Autobiographie d’une courgette, le roman adapté en film d’animation et de multiples fois couronné, Gilles Paris a collaboré avec l’illustratrice Aline Zalko, pour un roman d’apprentissage. Entre école, enfance et douleurs, Inventer les couleurs, c’est la relation entre un père et son fils qui se dévoile.

L'aéroport de San Diego vient de se doter de quelque 2000 écrans à encre électronique, ce que l'on trouve d'habitude sur les lecteurs ebook. Ces tuiles, alimentées par énergie solaire, permettront d'animer la façade d'un des bâtiments du complexe.

Les recherches sur l’encre électronique débutent à la fin des années 1990 au sein de la société E Ink pour offrir un meilleur écran aux liseuses en attendant le papier électronique. E Ink présente le prototype de son écran en 2002 et le commercialise en 2004. Un projet un peu différent est la technologie Gyricon développée par Xerox. Radicalement novateur lui aussi dans un domaine connexe, le projet @folio voit le jour en France dès 1996 mais reste malheureusement à l’état de prototype faute de soutien financier.

La société E Ink Holdings détient aujourd'hui la plus grande partie du marché de l'encre électronique. Ce support d'affichage, particulièrement prisé pour les lecteurs ebook, connaîtrait un engouement fou pour la fin de l'année 2012, avec une demande des clients, grand public ou professionnels, réellement florissante. Or, une vilaine étude vient de tomber, qui fait voir la vie non plus en nuances de gris, mais en vilain noir...