Les bibliothèques et autres centres d'archives, gardiens du patrimoine, s'efforcent depuis plusieurs années de conserver et de communiquer toute la mémoire du monde, ou presque. Pour des raisons de temps et de budgets non extensibles, les établissements mettent au point un planning précis des numérisations à effectuer, avec en priorité les documents les plus fragiles. C'est le cas au sein de la Bibliothèque royale de Belgique, qui lancera prochainement sa seconde phase d'action.