pandémie covid confinement

Eugene Wesley Roddenberry, créateur de l’univers de Star Trek, est plus connu sous prénom Gene. Huit ans après sa mort, survenue en 1991, la Fondation Roddenberry a vu le jour. Tous les deux ans, elle verse un million $ à quatre organisations « œuvrant pour améliorer l’humanité ».

Alors que la pandémie mondiale due au coronavirus ne fait pas encore partie du passé, plusieurs études s'intéressent déjà aux effets observés sur la recherche scientifique, et notamment sur la place laissée aux femmes. Selon les données réunies jusqu'à présent, les chercheuses ont moins publié depuis quelques mois, et la recherche sur le coronavirus semble être l'apanage des hommes.

Les manifestations littéraires reprennent, et les risques de contamination Covid avec elles. Un collectif d’une centaine d’auteurs signe une tribune pour rappeler les impératifs sanitaires et s'engage à ne plus participer aux événements qui ne mettraient pas œuvre des mesures simples.. Du bon sens et ce, pour la protection du plus grand nombre. Leur texte est ici publié dans son intégralité. 

« La vie présente est souvent sans mémoire du passé », nous dit un des narrateurs et c’est fort à craindre. Pendant le confinement, lié à la pandémie de Covid-19, dix auteurs des éditions Zinédi ont décidé de dire non à la sinistrose ambiante et d’écrire un feuilleton à plusieurs mains. Une sorte de cadavre exquis avec pour seule contrainte de ne pas faire disparaître le personnage principal.

De nombreux livres ont été placés en accès libre et gratuit par des maisons d'édition, pour inciter les lecteurs à rester chez eux sans pour autant manquer de lectures. Les livres audio ne sont pas en reste : grand·e·s habitué·e·s ou néophytes, la période est peut-être bien choisie pour se tourner vers ce support littéraire. Plusieurs éditeurs proposent de goûter avant de succomber...

Le confinement, c'est long, on le sait par expérience, l'ennui est présent, on tourne en rond (ou en carré). S'incruster dans le canapé avec du chocolat n'est pas la meilleure des idées. En revanche, nourrir votre cerveau peut vous donner de l'énergie. Voici les bons plans culture à connaître pour occuper votre semaine.

Pour éviter la propagation du covid-19, une série de mesures ont été mises en place par le gouvernement, qui invitent tout un chacun à rester chez soi autant que possible. À ce titre, tous les commerces jugés « non indispensables » ont dû fermer leurs portes, et nombre d'évènements culturels être annulés. Pour garantir au plus grand nombre un accès à la culture, le ministre de la Culture lance dès aujourd'hui, mercredi 18 mars, l'opération #CultureChezNous

En ces temps de pandémie mondiale, les familles européennes sont invitées à rester à la maison le plus possible pour éviter la propagation du coronavirus. Face à ces mesures de confinement, les éditions Dupuis ont ainsi décidé de venir en aide aux parents pour occuper enfants et adolescents. 

Voilà maintenant plus de trois semaines que le confinement dure et que les libraires ont fermé leurs portes. Même les lecteurs inconditionnels du livre papier ont dû se mettre à la lecture dématérialisée. La question pour les éditeurs est de savoir si ces habitudes prises en quarantaine vont perdurer après la fin de la crise.

L'année 2020, voulue celle de la bande dessinée, aura finalement pris une autre tournure : après des débuts pour le moins mesurés lors du Festival de la BD d'Angoulême, BD 2020 se retrouve limité dans ses moyens par le confinement total. La Cité de la bande dessinée ne compte pas abandonner pour autant, et propose l'opération « Toute la France dessine ! » sur les réseaux sociaux.

Comme l'ensemble des Français, les auteurs, illustrateurs, coloristes, traducteurs sont confrontés aux mesures de confinement pour lutter contre la propagation du coronavirus. Si l'on imagine assez aisément les personnes exerçant des métiers créatifs profiter des prochaines semaines pour travailler, les difficultés inhérentes au confinement les concernent aussi. Des solutions se présentent, des propositions sont lancées, partagées avec les internautes. Petit tour d'horizon, non exhaustif.

Une étude anglaise menée sur l’année 2020 met au jour plusieurs effets du confinement sur les habitudes de lecture des élèves du primaire et du secondaire. Durant les mois cloîtrés chez eux, sans aller à l’école, les enfants seraient plus à même de lire des livres plus longs et plus complexes. Mieux encore, la lecture serait une solide alliée contre la solitude.

Depuis deux jours, les pires scénarios circulent dans les médias, évoquant les multiples solutions que le président présenterait. Confinement national, fermeture des écoles, nouvelles restrictions sur les déplacements… moralité, l’allocution présidentielle focalise toutes les attentions. Après les mesures scolaires présentées en début de semaine, comment le pays va-t-il affronter ce qui a désormais toutes les caractéristiques de la troisième vague ?

Voilà de quoi apporter quelques arguments de plus à la campagne française : cette fois, nos voisins belges montrent l’exemple. Le confinement est déclaré dans le plat pays, mais les libraires et les bibliothèques maintiennent leur activité. Et accueilleront donc clients et usages.

Les messages de soutien à la librairie se multiplient depuis les déclarations d’Emmanuel Macron, de toute la profession. Un commerce non essentiel, fermé, quand des concurrents directs tels que Fnac accueilleront des clients. Injustice ? Certes : une fois de plus, la crise dévoile toute la fragilité de nombreux acteurs de la chaine du livre. 

Réalisée par Opinion Way, une nouvelle étude met en lumière l'intérêt grandissant des Français pour les contenus audio. En 2020, la crise sanitaire a contraint les Français à rester chez eux, les incitant à tester de nouvelles activités. L'écoute de contenus audio s'est alors très nettement développée dans les foyers. Sur les 55 % des Français ayant déjà écouté un contenu audio, plus de deux sur cinq ont déclaré avoir commencé à s'y intéresser pendant ou après le confinement de mars 2020.

Aux États-Unis, le marché éditorial bouleversé par la pandémie réserve quelques surprises. Un récent rapport du groupe NPD books met en lumière le succès fulgurant du genre de la romance durant le confinement. 

Ce 21 juillet 2020, l’Association des éditeurs espagnols a publié une étude consacrée aux habitudes de lecture et aux pratiques des consommateurs pendant le confinement. D’après les données recueillies, le livre a connu une véritable embellie durant ces dernières semaines à domicile, permettant à la population de se divertir et de s’évader.

Les données convergent, après 8 semaines de confinement, pour conclure à l’essor du livre numérique. La plateforme Vivlio établit un second panorama des ventes et des résultats pour le territoire français. Au menu, diversité des ouvrages dévorés, et un véritable succès pour le format ebook.

Entre deux courses et trois activités physiques, à domicile, les Français ont profité de leur temps libre pour faire des ventes. Un sondage YouGov pour eBay montre que 78 % de la population a fait du tri dans ses affaires, pour les revendre. Et 50 % de la population est passée par Internet, assez logiquement.

« Les désastres écologiques en cours sont plus flagrants que jamais. Leurs liens directs avec l’organisation socio-économique de notre monde ne sont plus à prouver. Et l’impératif de se tourner vers une société éco-responsable est l’urgence de notre temps.

Profiter d’internet pour parler différemment des livres, voilà tout un projet. Et surtout de livres que l’on ne peut pas découvrir en librairie, en bibliothèque ni ailleurs. Tout au mieux, une version numérique permettrait d’en découvrir le contenu. Pourtant, à l’instar d’autres éditeurs, la maison Chandeigne s’est aventurée dans des expériences 2.0, pour faire passer le confinement. 

Déconfinement et déconfiture. Ces deux mots présentent les trois mêmes premières syllabes. Il en va ainsi dans notre étymologie issue de ce cher latin, « de » comme « hors de » et « con » pour « ensemble » ou « avec ». L’un est un néologisme créé en 2020, l’autre apparaît dans des écrits du XIIe siècle…

Depuis l'annonce du confinement, de nombreuses initiatives ont vu le jour pour remercier le personnel soignant en première ligne face à la pandémie du Covid-19 : collectes de fonds, dons en tout genre, vidéos de chant, messages, ou simplement applaudissements, à sa fenêtre ou au balcon, le soir à 20h. La maison d'édition Dupuis a décidé de s’associer à ce mouvement de gratitude avec son arme la plus puissante : la bande dessinée.

La pandémie de Covid-19 aura fait vivre à l'ensemble de la population l'expérience du confinement, de la privation de liberté et des difficultés qui les accompagnent. Parmi ces dernières, l'accès aux livres et à la lecture. Pour les détenus des prisons françaises, ce droit reste très difficile à faire appliquer, les progrès sont timides et le statu quo souvent de mise. La crise sanitaire, évidemment, n'améliore pas les conditions.

Agnès Buzyn a joué un rôle central lors des premiers temps de la pandémie de Covid-19 en France, en tant que ministre des Solidarités et de la Santé, poste qu'elle a occupé de mai 2017 à février 2020, un mois avant l'instauration historique du 1er confinement. Durant cette période, où elle fut au coeur de la tempête, elle a tenu entre janvier et juin 2020 un journal, à paraître ce 27 septembre.

À l’occasion de la Journée mondiale du livre, ce vendredi 23 avril, Rakuten revient sur les faits marquants d’une année hors norme bousculée par la pandémie de Covid-19. Avec une hausse notable des transactions au cours de la période et une forte évolution de certaines catégories de livres liées aux activités à domicile, l’effet des confinements sur la vente de livres en ligne est significatif. 

Les librairies ferment, mais les idées circulent, n’en déplaise à l’ancien PDG de TF1, récemment décédé. Comprendre ce qui arrive à notre petite planète devient indispensable, estiment les éditions Ecosociété. Elles organisent donc une série de capsules vidéos où autrices et auteurs se succèdent, pour aborder la crise sanitaire.

Les informations sur la durée de vie du coronavirus diffèrent, malheureusement. On considère qu’il est cependant en mesure de survivre 5 jours sur des surfaces en carton. Mais quid de la couverture pelliculée d’un livre de poche, ou de celle d’un grand format ? Eh bien… les études manquent.

Malgré la fermeture des librairies, un peu partout dans le monde, l’année 2020 reste marquée par les ventes de livres imprimés. Une étude, réalisée par Statista’s Advertising & Media Outlook, montrerait ainsi que le livre numérique ne s’est pas totalement substitué au papier. Pourtant, la croissance de l’ebook reste incontestable.