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Les femmes incapables d'écrire sur le sexe : elles n'aiment pas ça

Il n'y a pas que David Beckham qui aime les tatouages. Contrairement aux clichés qui ont la vie dure, il n'y a pas que les motards qui arborent des tatouages ;  les écrivains aussi aiment faire des dessins indélébiles sur leur peau. Petit tour d'horizon des écrivains tatoués. 

Aux États-Unis, Scholastic affirme dans son rapport fiscal que ses revenus ont augmenté de 5,6 % sur les trois derniers mois, bien que ses ventes à l’international — dont le Royaume-Uni — ont chuté à cause des taux de change défavorables. L'année dernière, le rapport fiscal révélait également une augmentation de son chiffre d'affaires. 

C’est l’une des grandes problématiques pour les artistes auteurs : qu’adviendra-t-il du prélèvement à la source, pour le paiement des impôts ? En effet, à compter du 1er janvier 2019, les revenus issus du droit d’auteur seront soumis à la réforme de l’impôt sur le revenu. 

D’après une enquête réalisée en 2023, les Italiens se tournent de plus en plus vers le marché des livres d’occasion, soit-il en ligne ou physique… Et c’est ainsi qu’un jeune de 35 ans laisse son emploi de projectionniste pour vendre des livres d’occasion à Florence...

La crise du COVID a très durement touché le spectacle vivant et comme tous les artistes, Thierry Rocher a vu toutes ses dates annulées depuis mars : pas de spectacles = pas de revenus. Aussi il a décidé de publier un livre réunissant l’ensemble des chroniques de la Revue de Presse de Paris Première de janvier 2019 à juin 2020, et celles du Coq des Bruyères, journal satirique sur Internet. Avec des citations pour « ouvrir » chaque mois : « Un chaud lapin se refroidit vite sans lapine », « Quand on a tort, être en groupe donne raison », etc. 

D'un côté, il y a donc l'augmentation de chiffres de ventes de livres numériques, des croissances à trois chiffres qu'annoncent les éditeurs. Et donc l'offre légale qui augmente. Surtout que l'on peut lire ses fichiers ebook sur n'importe quel type d'appareil...

Livre numérique, livre papier : quelle réalité des revenus ?

Le Boersenverein, la Fédération des éditeurs et libraires allemands, dresse un bilan de l'année 2023. Celui-ci est mitigé : derrière la bonne nouvelle de la hausse des revenus, une baisse des ventes, et un résultat positif qui s'explique donc par l'inflation, tout simplement.

Comment les jeunes écrivent-ils ? Aiment-ils l'écriture ? Pourquoi ? On ne manque pas de statistiques concernant la lecture chez les adolescents ; cette fois, c'est à leurs habitudes d'écriture que s'est intéressée la National Literacy Trust, qui vient de livrer quelques chiffres recueillis à partir d'un sondage réalisé auprès de 40 000 jeunes du Royaume-Uni âgés de 8 à 18 ans.

L'occasion était trop belle : les éditions Gallilmard Jeunesse ont demandé une étude à l'institut Ipsos, concernant les jeunes et leur relation aux livres. Dévoilée par Le Parisien, elle montrerait que 78 % des enfants interrogés aiment, ou mieux, adorent, la lecture. Un soupire de soulagement ultime ? Eh bien, les chiffres aident à se sentir mieux...

Bloomsbury dévoile ses résultats pour les 6 premiers mois de l'année 2014, et ils sont loin d'être excellents : l'éditeur a vu son chiffre d'affaires s'arrêter à 46,6 millions £, soit une baisse de 5 % par rapport à l'année précédente, quand il s'établissait à 49,2 millions £ pour la même période. L'ensemble s'expliquerait par une chute de 17 % du chiffre d'affaires du côté des publications adultes.

L'édition américaine a révélé que les publications jeunesse et jeunes adultes devenaient une niche profitable, quand les autres secteurs pâtissent du recul de l'édition. Le Groupe Quarto en fournit un bon exemple, avec des bénéfices estimés à 12,2 millions $ pour l'année 2014, en grande partie grâce à ses publications jeunesse. 

Les résultats financiers de HarperCollins continuent de rester opaques. Sa société mère News Corp vient de communiquer ses résultats pour le dernier trimestre 2011, sans pour autant dévoiler ceux de la maison d'édition.

La contrefaçon d'œuvres sur internet présente un véritable danger, souligne le ministère de la Culture, au sortir d'une réunion du Conseil des ministres. La lutte contre le piratage, « au-delà de la réponse graduée », va désormais passer par un plan destiner à frapper les sites au porte-monnaie, en priorité. Objectif : la mort des sites de streaming, de téléchargement ou de référencement d'œuvres contrefaites.

C'est un fait désormais connu : les industries culturelles et créatives (ICC), loin de souffrir de la dématérialisation, ont pu trouver dans ce nouveau mode de diffusion une source de revenus inégalée. Disparition des intermédiaires, nouveaux modèles économiques et distribution facilitée offrent de nouveaux moyens pour une production culturelle inégalée.

Pas vraiment banal que de se retrouver devant les livres de compte d'un auteur - et moins banal encore de les voir aussi bien tenus ? F. Scott Fitzgerald, l'auteur de Gatsby le magnifique, qui s'approche des salles de cinéma, a été mis à nu comme jamais. 200 pages de comptes et d'événements clés de sa vie ont été numérisés, et mis en ligne, pour les amateurs et les universitaires. 

Avec un résultat pour le mois d'avril qui accuse un léger contrecoup, inutile de crier au loup. La société E Ink Holding continue de bien se porter et la société basée à Taiwan n'est pas sur le point de mettre la clef sous la porte.

La société E Ink, anciennement Prime View International, vient de dévoiler un chiffre d'affaires en réelle explosion pour l'exercice de l'année 2010, dévoile le DiGiTimes.

Et si lire procurait à manger ? Voilà la nouvelle opération lancée par les éditions Pocket en collaboration avec les Restos du cœur. La maison a en effet réuni « 13 auteurs pour 13 nouvelles » qui seront publiées le 6 novembre prochain. Le but ? Pour chaque ouvrage acheté, environ trois repas seront distribués par l'organisation caritative.

“Respecter nos préférences collectives”

La première édition du Printemps de la traduction a rassemblé la semaine dernière la communauté des traducteurs et de nombreux lecteurs curieux de rencontrer ces « auteurs derrière l’auteur ». Dix lieux de la capitale ont accueilli lectures, ateliers, joutes de traduction et un pique-nique littéraire, avant-goût du festival Vo-Vf, la parole aux traducteurs qui se tiendra le premier week-end d’octobre à Gif-sur-Yvette.

La liste des ouvrages retenus pour le Prix Décembre 2017 compte donc dix romans. Dévoilée ce 27 septembre, elle annonce également une remise de la récompense le 7 novembre prochain. Mais avec le décès de Pierre Bergé, mécène de ce prix, la situation devient plus obscure.

INFOGRAPHIE : Après la période scolaire, les vacances et particulièrement celle d’été sont le moment idéal pour se lancer dans la lecture de romans, documentaire ou albums passionnants. Une étude canadienne menée par les éditions Scholastic étudie le rapport des jeunes lecteurs, et de leurs parents, à la lecture. Et contrairement à ce que l’on pense, tout le monde y trouve son compte.

Inaugurant la Foire de Londres, le groupe Nielsen a fourni quelques éléments sur les ventes de livres numériques. Avec un recul de 4 % sur 2016, pour la deuxième année consécutive, le marché fait grise mine. L’analyse du groupe serait que la jeune génération serait en quête d’un répit numérique, leur vie digitale étant déjà assez bien remplie.

Les enfants aiment lire, que l’on se rassure. Du moins ceux de 7 à 11 ans, que le magazine J’aime Lire a sollicités, avec leurs parents, dans le cadre d’une enquête. Les résultats sont nets : la lecture n’est pas un sport de combat — et cette fois, enfants et parents ont été sollicités pour répondre.

Les professeurs stagiaires seraient globalement insatisfaits de leur nouvelle formation, inaugurée pendant l’année 2010-2011.

Un sondage réalisé par BVA, l’institut d’études de marché et d’opinion, pour Doméo et la presse régionale, tente de rétablir (enfin) la vérité : non, les Français ne lisent pas que l’été, et oui, ils préfèrent un livre à la télévision. Et pour cause, plus de 7 Français sur 10 déclarent aimer lire. Et ça ne s’arrête pas là…

Une étude présentée par Cross Scope passe au crible le marché japonais de la lecture. Selon les résultats, 94 % des lecteurs préféreraient encore lire des ouvrages imprimés. De quoi brandir un échec colossal du livre numérique sur l’Archipel ?