C’est l’affaire de l’été. Ou plutôt, c’est la non affaire qui mobilise toute la presse culturelle, pressée d’attaquer la rentrée littéraire, pour passer à autre chose. Fort heureusement, dans une semaine, on n’en parlera plus. Houellebecq a refusé de parler aux journalistes du Monde, qui va donc publier une enquête sans jamais lui parler. La belle affaire ?