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RTL Group, le diffuseur européen, a annoncé vendredi que son unité allemande s’apprêtait à faire l’acquisition de la maison d'édition Gruner + Jahr – déjà propriété de la maison mère, Bertelsmann, depuis 2014. Une fusion destinée à former un nouveau « champion cross-média », dans les domaines de la télévision, du streaming, des magazines, de la radio et du numérique. Le tout pour 230 millions d’euros.

En 2015, le groupe d’édition britannique Pearson souffrait d’une baisse des résultats, qui l'avait conduit à la vente du Financial Times au mois de juillet, acquis par le japonais Nikkei. Popriétaire à 47 % de Penguin Random House, l’éventualité de vendre des parts au groupe Bertelsmann, copropriétaire de PRH, était même envisagée. À présent, il semblerait que Pearson réfléchisse à la vente de Dorling Kindersley, sa maison spécialisée dans les livres illustrés. Bertlesmann, pendant ce temps, a l'oreille tendue.

Un trio de tête tout en nouveauté vient rafraîchir le classement des meilleures ventes de cette semaine. En première position, on retrouve le 18e tome de la série à succès Tokyo Revengers par Ken Wakui, écoulé à 27.425 exemplaires, suivis par le tome 22 de Demon Slayer, imaginé par Koyoharu Gotôge, qui aura séduit 23.915 aficionados. Puis Noa, le nouvel opus de la saga 9 de Marc Levy, s’installe en 3e position avec 22.610 opus vendus, le tout publié chez Robert Laffont.

Le groupe médiatique allemand Bertelsmann poursuit sur son insolente lancée : après une année 2015 couronnée de succès économique, 2016 s'annonce tout aussi bien partie. Le chiffre d'affaires de Bertelsmann, pour le premier trimestre 2016, s'établit à 3,95 milliards €, en hausse de 2,7 % par rapport à la même période de 2015.

Le groupe Bertelsmann, dans son dernier rapport financier portant sur les 9 premiers mois de 2014, fait état du chiffre d'affaires le plus élevé sur les 7 dernières années écoulées. Les recettes sur la période atteignent les 11,82 milliards €, ce qui représente une augmentation de 4,3 % en comparaison de l'année précédente (11,33 milliards €). La fusion Penguin Random House est citée parmi les facteurs ayant contribué à cette hausse.

L’éditeur allemand Bertelsmann vient de conclure un accord pour l’acquisition de WhiteCloud Analytics. Cette société de gestion de performance doit améliorer l’activité éducation de l’entreprise. Rattaché à Relias Learning, WhiteCloud apportera ses propres outils d’expertise, intégrés à l’avenir.

Aux États-Unis, la création d'un gigantesque groupe éditorial n'a pas fini de susciter des inquiétudes. Le rachat de Simon & Schuster par le groupe Penguin Random House, lui-même intégré au conglomérat allemand Bertelsmann, doit aboutir à une fusion aux conséquences encore imprévisibles. Mais plusieurs organisations américaines d'auteurs craignent d'ores et déjà la création d'un monopole, ou en tout cas de sérieux déséquilibres dans le monde du livre...

Selon les informations de l’agence Reuters, le groupe allemand Bertelsmann envisagerait de céder ses actifs dans le groupe M6. Les discussions engagées avec Vivendi et Altice Europe n’ont pas été confirmées, mais d’ores et déjà, la Bourse affiche une hausse de la valeur des actions du groupe. Au cours de ce deal, seraient donc en jeu les chaînes de télévision M6, ainsi que la radio RTL.

Le groupe d'édition Bertelsmann annonce la prise de participation au capital social de la société brésilienne Afya, spécialisée dans la formation médicale. Avec 25 % du capital et 46 % des droits de vote, Bertelsmann s'assure ainsi une présence renforcée dans le secteur, en Amérique du Sud.

Trouvant qu'il croît de façon trop mesurée ces derniers temps, le groupe de médias allemand Bertelsmann a fait savoir qu'il souhaitait investir massivement dans le numérique. Cette entité, qui possède notamment Random House, vise également à se développer encore plus à l'international.

Avec la crise qui secoue l'Europe, le groupe allemand de médias Bertelsmann se montre malgré tout assez optmiste sur l'année 2013. Se tournant vers l'avenir, le président du directoire du groupe, Thomas Rabe, souhaite aussi mobiliser des capitaux en haussant le niveau de ses investissements, rapporte l'AFP.

Arrivé en 2008 à la tête du groupe allemand Bertelsmann, Hartmut Ostrowski s'apprête à laisser sa place, en janvier 2012, à l'actuel directeur financier, Thomas Rabe. M. Ostrowski se consolera avec une place au sein du conseil de surveillance du groupe de médias.

Le groupe d'édition Bertelsmann a particulièrement bien fini l'année 2014 : il faisait état d'un chiffre d'affaires de 11,82 milliards €, ce qui représentait une augmentation de 4,3 % par rapport à l'année précédente (11,33 milliards €). Les bons résultats vont participer à une extension des marchés de Bertelsmann, qui porte son regard sur le Brésil, la Chine et l'Inde.

 Le groupe de médias allemand Bertelsmann annonce une vague d'investissements en Chine, pour appuyer ses filiales dédiées aux contenus pédagogiques et aux services. Profitant de la vente récente de deux holdings, mais également d'une ouverture plus importante du marché chinois, cet acteur majeur de l'édition entend bien tirer son épingle du jeu commercial.

Le groupe d'édition scolaire Pearson et la société allemande Bertelsmann sont entrés en discussions pour rapprocher leurs divisions éditoriales, Penguin et Random House, vient d'annoncer le Financial Times ce 18 octobre. Une réponse aux défis stratégiques qui se posent à tous, et plus spécifiquement dans le domaine numérique. 

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Plusieurs dizaines de millions de dollars seront prochainement consacrés par le groupe allemand pour le rachat d’une société dédiée à l’apprentissage numérique, Relias Learning. Cet investissement doit encore être approuvé par les autorités antitrust, mais l’ensemble devrait être résolu d’ici la fin de l’année. 

Déjà propriétaire à 53 % du groupe Penguin Random House, l’Allemand Bertelsmann s’est mis à la recherche d’un partenaire pour racheter les 47 % restants qui sont aux mains du groupe britannique Pearson. Il faut dire que ce dernier enchaîne les mauvais résultats et veut se retirer d’un géant de l’édition dont la vente de ses parts pourrait lui rapporter très gros.

On parlerait presque de Pearxit, dans le cas présent, bien que la décision n’ait rien de politique. Le patron du géant de l’éducation, Pearson, vient d’annoncer qu’il allait prendre sa retraite, bien méritée. Ce qui a pour conséquence de vendre les 25 % que le groupe avait encore dans l’entreprise Penguin Random House. Un renoncement définitif, mais acté depuis plusieurs années au secteur de la littérature.

Le PDG du groupe Bertelsmann, Thomas Rabe, a été reconduit dans ses fonctions pour un troisième mandat, comme l'indique un communiqué du conseil d'administration du groupe médiatique. Rabe devrait ainsi rester en poste jusqu'au 1er janvier 2027.

Le groupe allemand de médias Bertelsmann anticipe une croissance de son chiffre d'affaires pour 2013 sans pour autant entrer beaucoup plus avant dans les détails. Le contexte économique restant difficile en Europe, l'équation sera complexe.

Bertelsmann se montre plutôt serein quant à l'avenir même si l'année 2013 sera, à plus d'un titre, une année charnière pour le groupe allemand qui anticipe l'impact du rapprochement de sa filiale britannique spécialisée dans l'édition, Random House, avec celle du groupe Pearson, Penguin.

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