Il paraît difficile de concevoir un auteur que l’on aurait pris en grippe, sans qu’une mauvaise raison soit derrière. « Zola, je déteste », semble toujours une réponse un peu adolescente, formulée à l'emporte-pièce, parfois juste pour la forfanterie. On balaye l’ensemble de l’œuvre, pour un ou deux livres qui n’ont pas plu. Justement, la détestation, ça paye désormais…