S'il y a bien un taureau que la ministre de la Culture et de la Communication entend prendre par les cornes, c'est Amazon. Depuis son arrivée au ministère de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti n'a pas eu un mot gentil pour la firme - à l'inverse de son collègue Montebourg qui avait célébré l'inauguration d'un entrepôt de la société. Et fut même à l'origine d'une loi « anti-Amazon », rendue depuis caduque, toute chaude encore de son adoption, par le cybermarchand.