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Benito Mussolini

Extraits

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Sciences politiques

Mussolini socialiste : littérature et religion. Volume 1, Anthologie de textes, 1900-1918

L'anthologie en deux volumes des textes de Benito Mussolini sur la littérature et la religion est le fruit d'un travail de plusieurs années, mené par une équipe de traducteurs et de chercheurs à l'ENS de Lyon. On trouvera, dans ce premier volume, une sélection très variée d'écrits et de discours rédigés entre la fin de son adolescence et l'été 1918, au moment où il officialise sa rupture définitive avec le socialisme. L'objectif de cette anthologie n'est pas seulement de proposer au public français une traduction établie avec une rigueur autant philologique qu'historique, mais aussi de lui faire découvrir un corpus original de textes méconnus, choisis au sein de la très volumineuse production de Mussolini, et qui n'avaient, dans leur très grande majorité, encore jamais été traduits en français. Ces textes donnent à voir l'importance du fait littéraire et religieux dans la formation et dans la pensée politique de Mussolini et permettent notamment de repenser la place de la culture et des formes de liturgies politiques dans la conception du totalitarisme italien.

09/2019

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Littérature anglo-saxonne

Le maître des airs. Amour, héroïsme et antifascisme : disputer Rome à Benito Mussolini

Plongeant les lecteurs dans la Rome des années 1920-1930, à l'époque où Mussolini remodelait la capitale italienne à son image, Le Maître des Airs raconte l'histoire d'un héros improbable : Lauro de Bosis, fils d'un aristocrate italien et d'une beauté de la Nouvelle-Angleterre, qui s'est transformé en un Icare des temps modernes, prenant seul les commandes d'un petit avion pour démontrer que la prétendue maîtrise du ciel par le Duce n'était qu'un bluff. En 1931, Lauro de Bosis, poète et aviateur, parviendra à larguer au-dessus de Rome des milliers de tracts incitant la population italienne à la désobéissance, avant de s'abîmer en mer et de disparaître à jamais. Le tract s'ouvrait par ces mots : "Qui que tu sois, tu maudis certainement le Fascisme et tu en ressens toute la honte servile. Mais, par ton inertie, tu en partages la responsabilité". Entremêlant son récit d'épisodes de la vie d'autres artistes et intellectuels contemporains (horripilés par le fascisme, comme Hemingway, ou au contraire séduits par lui, comme Ezra Pound), Taras Gresoe nous offre le portrait d'un héros magnifique. C'est une histoire inspirante de résistance, un exemple qui, de jour en jour, se révèle plus essentiel pour notre époque.

04/2023

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Historique

Mussolini

Tous les chemins mènent à Rome. Au sortir de la Première guerre mondiale, Benito Mussolini prend la tête d'un mouvement révolutionnaire et violent, le fascisme, regroupant les déçus de la victoire " mutilée " italienne. Ils aspirent au retour d'une " Grande Italie ". Il prend la tête du gouvernement en 1922 et impose une " révolution fasciste " en refondant entièrement le système politique et économique. Son grand dessein est de créer une Italie nouvelle, organisée et puissante avec à sa tête, un chef infaillible, le Duce (le "guide"). Il s'attache en parallèle a faire de Rome le centre du pouvoir et la nouvelle citeé idéale, conforme aux idéaux du fascisme afin de faire de la ville une véritable vitrine du régime et une capitale impériale. Davide Goy et Luca Blengino, avec l'historienne Catherine Brice, retracent la mise en place du Fascisme du point de vue de Rome, littéralement rebâtie par un Mussolini modelant le visage de cette ville éternelle à l'image du fascisme conquérant.

11/2022

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Histoire internationale

Mussolini

Entre le Mussolini de ceux qui le prennent pour une marionnette de l'histoire, celui des nostalgiques du fascisme qui ressassent là propagande des années 20 et 30, des amateurs d'anecdotes qu'intéresse uniquement la vie sentimentale (agitée) du Duce et celui dont une érudition parfois accablante risque d'estomper les traits, la véritable personnalité de l'une des figures noires du siècle qui s'achève demeure pour beaucoup d'Européens une énigme. Comment saisir les sinuosités d'une carrière commencée à l'ombre de Garibaldi et Mazzini, de Proudhon, Marx et Nietzsche et achevée dans la fange de la République de SA ? Pourquoi un fils du peuple devenu militant ouvrier et journaliste, héraut de l'intervention dans la Première Guerre mondiale et numéro 2 du PSI, s'est-il métamorphosé en un nationaliste à tous crins ; comment l'agitateur s'est-il fait le promoteur d'un régime d'ordre, comment le futuriste a-t-il fini par prôner le retour à la Rome antique ? Pour quelles raisons un homme de longue date hostile à l'Allemagne et indifférent aux problèmes " raciaux " a-t-il pu être l'alter ego latin du Führer, jetant son pays dans une nouvelle guerre, mal préparée, et se faisant le complice du génocide ? Qui est cet anticlérical signant les accords du Latran, cet anticolonialiste conquérant l'Ethiopie, ce républicain offrant au roi le titre d'empereur, cet adepte de l'union libre exaltant la famille traditionnelle ? Etc., etc. Ces contradictions, ces revirements, ces reniements, Mussolini les a assumés et même voulus, car il s'est très tôt persuadé qu'il était à lui seul le salut de l'Italie, et cette certitude l'habita jusqu'à la fin ou presque. La passivité voire le soutien (au moins jusqu'au milieu des années 30) des Italiens firent le reste en le confortant dans cette idée.

10/1999

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BD tout public

Benito Mambo

Charles-Henri n'a qu'un rêve : devenir danseur de Mambo. Mais voilà, cette passion n'est pas du goût de son père, impitoyable magnat de la finance. Déchu, renié, Charles-Henri prend le nom de Benito et s'en va courir le monde. Sur son chemin d'exil, il rencontrera d'incroyables personnages : l'extravagant dieu du mambo, le capitaine d'un vaisseau volant, un perceur de tunnel porté sur la bouteille et surtout Angeline, l'amour de sa vie.

05/2014

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Policiers

Tchao Benito

«S'agissait d'aller tuer, dans un château perdu de la campagne irlandaise, un PDG milliardaire qui donnait dans le néo-fascisme outrancier et menaçait de rouvrir les vannes de la trop fameuse marée noire de jadis... Noble mission, direz-vous. Certes, certes. Sauf que ce n'était ni Mao ni Brejnev, et encore moins les gôchistes, qui m'avaient chargé de ce beau boulot. Mais la Mafia, tout simplement. Sous prétexte que, dans le temps, le gars Musso leur avait donné bien du tintouin, aux Mafiosi.»

03/1973

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