prix du livre d'économie

En comprenant mieux l’univers capitaliste dans lequel nous évoluons, il est à la fois possible d’étendre de façon astucieuse sa surface financière tout en réduisant ses dépenses, avec une vision plus juste de la gestion d’un budget. 

La 15e Journée du Livre d'Economie aura lieu au Ministère de l'Economie et des Finances le jeudi 12 décembre 2012. Organisée par l'Association Lire l'Economie, présidée par Luce Perrot, en partenariat avec le ministère de l'Economie et des Finances, cette journée est un lieu de rencontres et de débats ; cette année, autour du thème Quelle croissance demain ?

Remise du Prix des lecteurs du livre d'économie

Le Prix du Livre d'Économie, décerné le mercredi 13 décembre dans le cadre de la 25ᵉ Journée du livre d’économie à Bercy, a révélé ses finalistes : Marie Curie habite dans le Morbihan (Seuil), de l'économiste Xavier Jaravel, Le Piège Nord Stream (Les Arènes) du journaliste Marion Van Renterghem, et Quelle économie politique pour la France ? (L'Observatoire), du philosophe François Ewald et de l'économiste Yves Perrier. Cette récompense, décernée par les professionnels du secteur, vise à récompenser un ouvrage remarquable dans le domaine économique.

C'est toute une journée qui a été consacré au Prix du Livre d'Économie hier au ministère de l'Économie, sous la présidence du ministre Bruno Le Maire. Trois prix ont été décernés à quatre lauréats : Pierre Veltz pour La société hyper-industrielle : le nouveau capitalisme productif (Seuil), Jean Meilhaud pour Ils ont révolutionné le commerce (Éditions Le Papillon rouge) et Mathieu Burniat et Jean-Noël Lafargue pour Internet aux éditions Le Lombard.

Créé en 1999, le Prix du livre d'économie récompense chaque année un ouvrage sur l'économie paru dans l'année écoulée : trois finalistes ont été désignés, en attendant la révélation du lauréat le 6 décembre prochain. Deux autres prix accompagnent celui du livre d'économie : le prix lycéen « Lire l’économie » et le prix lycéen « spécial BD ».

Le Prix du Livre d'Économie 2020 a été décerné, ce mercredi 20 janvier, au ministère de l'Économie, des Finances et de la Relance. Il revient à Joëlle Toledano pour son ouvrage GAFA Reprenons le pouvoir !, publié par les éditions Odile Jacob. Deux autres récompenses ont été décernées à cette occasion.

A l'occasion de la 15e Journée du Livre d'Economie, jeudi, l'actuel ministre de l'Economie et des Finances Pierre Moscovici a remis le Prix du Livre d'Economie 2013 à Odile Benyahia-Kouider pour son ouvrage L'Allemagne paiera aux éditions Fayard.

Depuis 2010, le Prix lycéen « Lire l'Économie » vient récompenser un ouvrage d'économie parmi ceux parus au cours de l'année civile. Pour l’édition 2015, trois livres ont été sélectionnés : Les ennemis de l'emploi, de Pierre Cahuc et André Zylberberg (Flammarion), Un nouveau monde économique - Mesurer le bien-être et la soutenabilité au XXIème siècle, d’Eloi Laurent et Jacques Le Cacheux (Odile Jacob) et Les clés de la puissance, de Jean-Louis Beffa (Seuil).

La question du modèle économique pour les livres numériques - mais par extension pour l'édition - est toujours loin d'être figée. La mutation installée du secteur, au moins aux États-Unis, implique de nouvelles solutions et des expérimentations, comme l'avait démontré, dans la musique, le groupe Radiohead.

Le Prix du livre d'économie 2012 a été remis jeudi 6 décembre à Daniel Cohen pour son livre Homo Economicus (Albin Michel, 213 pages, 17,90). La cérémonie qui se déroulait au sein du ministère de l'Economie, a également été l'occasion de récompenser par le Prix lycéen « Lire l'économie » La fabrique de la défiance, de Yann Algan Pierre Cahuc et André Zylberberg (Albin Michel, 179 pages, 15,20 €).

Un économiste brillant, en prise directe avec la société américaine :

Le jury a tranché : le Prix du Livre d'Économie 2019, remis par l'association Lire la Société, a été décerné à Éric Chol et Gilles Fontaine pour leur livre Il est midi à Pékin, publié par les éditions Fayard. Une mention spéciale a été décernée, tandis que les prix remis par les lycéens ont eux aussi leurs lauréats...

Organisé par le ministère en charge de l'éducation nationale et le ministère de l'Économie et des Finances, en partenariat avec l'association Lire La Société, le Prix Lycéen — Lire l'Économie 2019 a désormais ses finalistes. Six ouvrages, deux catégories, qui seront départagés par les lycéens avant le 18 décembre, date de remise des prix. 

L’économie du livre est un thème qui nourrit beaucoup de fantasmes. La raison principale en est qu’il n’est pas toujours facile de trouver des informations claires. Dans cette chronique, nous allons nous attacher à donner des réponses précises et objectives aux questions qui se posent dans le secteur du Livre.

Seguin et Lagarde donnent le prix du livre d'économie à Dominique Nora

Le cabinet de conseil Kurt Salmon vient de formuler un certain nombre de recommandations à destination des éditeurs, après avoir établi un état des lieux du marché de l'édition. Les conclusions sont intéressantes : on y apprend que les éditeurs ont déjà mené beaucoup d'initiatives pour tirer profit de l'ebook sur le marché français

Le ministre de l'Éducation nationale ne coupera pas les cheveux qui le valent bien en quatre : à l'occasion de la 13e journée du livre d'économie, prévue le 7 décembre au ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, sera lancée le prix Lire l'économie.

Les défis sont plus légion qu’une faction de hoplites, mais l’industrie du livre en Grèce fait front. Plusieurs facteurs interviennent, pour expliquer une sensible embellie, tant du côté des professionnels que de celui des lecteurs. Tous deux accompagnés par de réelles avancées au niveau des politiques publiques. En somme, le marché se porte bien.

La région Alsace vient de mettre en place un fonds spécial dédié à l'économie du livre, rapporte e-alsace. Doté de 180 000 €, il devrait permettre de soutenir le développement des différentes filières du livre en Alsace.

Les librairies ferment, les chiffres d'affaires sont à leur pire niveau depuis six ans, tout cela dans un contexte économique plus que morose. Le Royaume-Uni n'apparaît pas sous son meilleur jour quand on le regarde sous le prisme du livre.

Qui cherche donc à détruire l’industrie du livre australien ? Richard Flanagan, salué comme l’un des meilleurs romanciers de sa génération, a frappé du poing sur la table lors du discours d’inauguration de l’Australian Book Industry Awards. Alors que le gouvernement fédéral tente de modifier l’actuelle législation protégeant les éditeurs, le romancier dénonce ce mouvement politique. Selon lui, les conséquences seront mortifères...

Pour cette nouvelle édition des Assises du livre numérique, le Syndicat national de l'Édition a décidé d'axer sa journée autour des enjeux et des innovations. Organisée au sein de l'Amphithéâtre Novotel Tour Eiffel, elle sera constituée de présentations, tables rondes et mises en avant des innovations par les éditeurs eux-mêmes.

. Les libraires tentent des pronostics, afin de commander de nouvelles piles en amont et de ne pas « rater » le train à la proclamation des médailles. Les prix prestigieux sont en sus dotés.

Piratage de livres : précis d'économie des DRM et de confort

L'étude menée par le Centre régional du livre de Bourgogne auprès de 600 professionnels, lancée voilà un an, a rendu ses conclusions. Avec 57 % de répondants, la synthèse proposée doit désormais servir « de base à un travail de concertation avec les professionnels du livre ». Et ce, dans l'option de faire émerger des aces prioritaires d'accompagnement.

#salTo18 – L’édition 2017 du Salon du livre de Turin aura généré 14,2 millions € d’impact économique direct. Et si l’on ajoute les retombées indirectes, les sommes tournent autour de 29,5 millions €. Une activité devenue essentielle dans le dynamisme de la ville, mais qui s’inscrit plus encore dans une collaboration à l’année avec les différents acteurs du livre et d’ailleurs.

Alors que l'édition semblait découvrir l'expression « modèle économique », durant le Salon du livre 2011, où il était impossible de suivre la moindre conférence sans l'entendre prononcée à plusieurs reprises, les temps s'apaisent, et l'expression entre dans les moeurs. Encore maladroitement employée, toutefois, certains confondant toujours l'économie du papier, avec celle du numérique. Mais au moins accepte-t-on de faire de l'argent dans un secteur culturel…