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époque victorienne

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Roman, nouveautés : les livres de Michel Houellebecq

Romancier, essayiste, poète, considéré par de nombreux critiques comme l’écrivain français le plus marquant de notre époque, il est lu dans le monde entier depuis Extension du domaine de la lutte (1994). Michel Houellebecq a reçu le prix Goncourt pour son roman La Carte et le territoire, en 2010.

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Uchronie biographique : les figures littéraires du passé plongées dans un monde moderne

Et si Samuel Beckett n’avait jamais connu Godot, né dans une Irlande changée « en tigre celtique » ? Qu’est-ce que Diderot aurait pu imaginer à l’époque d’internet et des réseaux sociaux ? Et Alphonse de Lamartine, aurait-il opté pour une carrière d’influenceur politico-poético-dépensier ? Excellentes questions…

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

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Dossier

Midam et Kid Paddle : l'appel du blork plus fort que tout

Savez-vous capturer un Blork ? Utiliser au mieux un copy 2000 ? Ce que devient l'argent une fois glissé dans le fente d'un bouffe-fric ? Kid Paddle est là pour répondre à toutes ces importantes questions existentielles, à une époque où jeux vidéo, ordinateurs et autres CD-ROM dirigent les loisirs des enfants... et des adultes.

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Dossier

La chronique des Bridgerton : la revanche de la romance

À plus d’un titre ! En 2009, J’ai lu publiait les premiers ouvrages de Julia Quinn dans la collection Aventures & Passions. Entre temps, Netflix décide de réaliser une adaptation de cette fresque : au total, près de 900.000 exemplaires vendus… Ces aventures amoureuses sur fond de marivaudage britannique, à l’époque de la Régence, dans les premières années du XIXe siècle ont conquis le public.

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Dossier

Prêt de livre en bibliothèque : l'avenir de l'ebook au sein de l'Europe

La question du prêt numérique de livres en France cache une autre interrogation : celle de l'exception au droit d'auteur, qui fut mise en place pour le livre papier. A cette époque, certains auteurs s'étaient opposés, considérant que le risque était trop grand. Aujourd'hui, plus personne ne remettrait en cause ce grand principe, d'autant plus qu'il est rémunérateur pour les auteurs.

Extraits

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Littérature française

Epoque épique

Qu'avons-nous fait de la terre ? Le temps d'une décennie ? Un univers de misère, Un désert qui s'agrandit. Notre planète si jolie, Qu'on appelait planète bleue, Pleine d'un monde perverti Et débordant de malheureux ! Chaque jour, des enfants succombent, Mais pourquoi les avoir conçus ? Ils ne connaitrons que la tombe Avant même d'avoir vécu ! On traque virus et microbes Issus de surpopulation. En vain, on soignera les hommes. La terre meurt de pollution.

04/2017

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Littérature étrangère

Un singulier garçon. Le mystère d'un enfant matricide à l'époque victorienne

Juillet 1895. Nathaniel et Robert Coombes, deux frères âgés de douze et treize ans, se retrouvent seuls pendant dix jours. Leur père, marin, vient d'appareiller pour New York. Quant à leur mère, ils assurent à tout le monde qu'elle est partie à Liverpool. Rapidement, la famille, les voisins, s'inquiètent de ne pas la voir revenir. La police arrive sur les lieux alors qu'une odeur pestilentielle envahit la rue. A l'étage, ils découvrent le corps de la mère en état de décomposition avancé. Interpellé, Robert admet avoir tué sa mère à coups de couteau. Libéré pour bonne conduite après la mort de la reine Victoria, Robert fait partie des contingents d'anciens prisonniers allant peupler les terres nouvelles d'Australie. Sa vie change alors radicalement. Sans que jamais rien ne filtre de son passé.

09/2016

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Littérature étrangère

La déchéance de Mrs Robinson. Journal intime d'une dame de l'époque victorienne

L’histoire commence en 1844 quand, après un premier mariage désastreux qui s’est terminé par la folie et la mort de son mari, Isabella, jeune femme de bonne famille, mère d’un enfant en bas âge, épouse sans joie l’ingénieur et industriel Henry Robinson, personnage qui se révèle vite acrimonieux et cupide. Le couple, qui aura deux enfants, s’installe à Edimbourg. Isabella y fait la connaissance d’Edward Lane, "fascinant" jeune homme de dix ans son cadet. Juriste puis médecin, celui-ci vit avec sa femme Mary et sa belle-mère, la sympathique et très sociable Lady Drysdale, qui tient l’équivalent d’un salon où elle reçoit les intellectuels de l’époque. Edward et Isabella, femme intelligente et curieuse quoique souffrant d’un ennui chronique, échangent sur les idées nouvelles et sur la perte de leur foi religieuse. Très vite, Isabella s’éprend de lui, passion dont elle tient fiévreusement la chronique dans un journal intime auquel elle confie également ses sentiments de frustration et de ressentiment face à un mari honni et à une existence fastidieuse, ses trois fils étant son seul réconfort. Lorsque Edward se montre réceptif, ou tout au moins assez bon pour répondre de temps en temps à ses lettres, elle est profondément heureuse. En 1854, à Moor Park, où le Dr Edward Lane propose la cure hydrothérapique à ses patients, ils finissent par échanger étreintes et baisers. Mais rien ne prouve que leur relation ait pris une autre dimension. En 1855, alors que sa relation avec Lane s’est de nouveau distendue, elle tombe malade, probablement de la diphtérie. L’entendant marmonner des noms d’hommes dans son délire, Henry ouvre son journal pour y découvrir la détestation qu’elle lui voue (non qu’il soit à proprement parler un bon mari, il a une maîtresse et deux filles illégitimes) et l’amour qu’elle porte à Lane. Dès qu’elle est rétablie, il lui annonce son intention d’engager une procédure de divorce. La seconde partie du livre est consacrée à cette décision et à ses suites. L’affaire est la onzième portée devant la cour des Divorces, tribunal laïc institué suite à une loi votée quelques mois plus tôt. On est fasciné de regarder magistrats, avocat, experts et journalistes se colleter avec la seule véritable pièce à conviction : ce journal, dérobé à Isabella par son mari. Les faits décrits sont-ils réels ou l’invention d’une mythomane ? Car assurément seule une démente peut coucher par écrit des choses aussi scabreuses. Edward Lane nie mordicus avoir fauté avec Isabella. La teneur du journal ne suffit pas pour l’incriminer et, par l’effet d’une contorsion de procédure, un seul des deux défendeurs doit finalement répondre de l’accusation d’adultère. A une époque où il était rarissime que les femmes obtiennent gain de cause, Isabella finit par gagner la procédure de divorce. Victoire en matière de droits des femmes, mais elle perd tout le reste : sa fortune, ses enfants…L’auteur a exhumé cette histoire extraordinaire des archives d’un temps où la question de la sexualité et du désir féminins angoisse une société victorienne régie par les hommes, un temps où la femme adultère est marquée du diagnostic de manie sexuelle, une forme de démence. Le récit, où Dickens et Darwin, entre autres, tiennent des seconds rôles, est ponctué de digressions sur les phénomènes de la société victorienne et d’anecdotes aussi éclairantes que divertissantes.

03/2013

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Littérature étrangère

Les fantômes des Victoriennes

Parmi les écrivains victoriens (1837-1901) qui se sont frottés au surnaturel, la majorité sont des victoriennes : paradoxe apparent car si une femme dirigeait le plus grand empire du monde, les Anglaises n'avaient encore aucun droit mais seulement des devoirs. La femme dépend de son père jusqu'au mariage (souvent de raison) et de son mari, ensuite, La seule femme libre, dans l'Angleterre victorienne, c'est la veuve - après un deuil éprouvant de trente mois, il est vrai. Le sexe est couvert par l'ombre et le silence. Un extrême suscitant souvent son contraire, l'obligation de neutralité, de dignité, de presque indifférence expliquera le goût inavoué mais très solide des Anglai(se)s pour le dramatique, l'horrible, le sanglant, l'atroce, sous tous ses aspects. Bien moins célèbres que leurs confrères masculins, les Victoriennes, non seulement ne leur sont en rien inférieures mais ajoutent dans leurs récits cette subtilité caractéristique des Anglaises qui ouvrent déjà la voie à ces fameux flux de conscience dont Virginia Woolf sera la maîtresse incontestée. Il s'agit de dire, à mots couverts, de ressentir, nuque baissée ; quoi de mieux alors que le prétexte d'un genre dont le moyen, faire trembler, permet surtout de faire vibrer les régions secrètes, voire impudiques de l'âme, finalité de ces "ghost stories". Ce volume contient : Elizabeth Gaskell, L'Histoire de la vieille nurse ; Mary Braddon, Le Visiteur d'Evelyne ; Amelia Edwards, Salomé ; Rhoda Broughton, L'Homme au nez ; Elizabeth Lynn Linton, Le Destin de Madame Cabanel ; J.H. Riddell, La Vieille Mrs. Jones ; Vernon Lee, L'Amant fantôme ; Edith Nesbit, Les Hommes de marbre ; Clemence Housman, Fourrure Blanche ; Violet Hunt, La prière ; Margaret Oliphant, La fenêtre de la bibliothèque.

05/2000

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Policiers

Femmes fatales. Anthologie de nouvelles policières victoriennes

On les appelle les Reines du crime mais leur règne ne date pas d'hier... Héritières du ténébreux royaume du roman gothique, ces Anglaises au caractère bien trempé ont pris les armes au cœur du XIXe siècle pour rivaliser avec leurs confrères. Mary Elizabeth Braddon, Mrs Wood et quelques autres ont très vite confirmé leur aptitude à faire frémir le lecteur de toutes les manières possibles. Sous leur plume est né le roman d'énigme, mais aussi le suspense psychologique le plus efficace, préparant la venue de la génération moderne des grandes prêtresses du récit criminel : Agatha Christie, P. D. James, Ruth Rendell. Découvrez-les à travers un choix de textes qui méritaient d'être enfin retrouvés.

10/2004

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Cinéma

Belle époque

1900... Dans le train de nuit qui le ramène d'Italie, Lucien Lachenay, industriel connu mais néanmoins galant homme, sauve, au péril de la sienne, la vie d'Alice Avellano que son mari devenu fou se préparait à étrangler. Tombé éperdument amoureux de la jeune femme, Lucien se heurte à un roc de vertu. Le roc accepte de souper avec lui mais, avec l'intervention inopinée d'un jeune ouvrier anarchiste, ce premier tête à tête tourne au drame. Selon Alphonse, l'avènement de la société sans classes passe obligatoirement par l'élimination physique de tous les patrons. Pourquoi ne pas commencer par Lucien Lachenay ? C'est le point de départ du dernier scénario écrit par François Truffaut en collaboration avec son ami Jean Gruault. C'est aussi, douze ans après la disparition de Truffaut, leur premier feuilleton télévisé - et leur premier roman. Les auteurs nous y promènent, en compagnie de Marcel Proust, Gaston Calmette, Joseph Caillaux, Harry Fragson et quelques jolies femmes, à travers les méandres d'une intrigue qui mêle passion amoureuse, amitié, trahison, jalousie, vengeance aux grandes et petites manœuvres de la politique, de la concurrence commerciale et de l'espionnage industriel - jusqu'au seuil de la Première Guerre mondiale où les conflits individuels vont se résoudre d'eux-mêmes dans la catastrophe générale. La "Belle Epoque" s'achève, c'est le vingtième siècle qui commence.

11/1996

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