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étrusque

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Romans historiques

L'Etrusque

Au Ve siècle avant J.C., Lars Turms fait le point de sa vie en compagnie de son Ange gardien, et découvre qu'il n'attend qu'une seule chose : mourir pour épouser cet Ange qui se trouve être du sexe faible et dont la beauté dépasse toutes les beautés terrestres. En attendant ce moment, toute sa vie commence à défiler devant ses yeux : ne connaissant ni son père, ni sa mère, il se voit parcourir tous les pays méditerranéens en compagnie du seul amour de sa vie, Arsinoé, une vierge sacrée nymphomane qui, tel un fil d'Ariane, le guide droit vers sa destinée. Et ce n'est qu'à la fin de son périple initiatique dans la ville sacrée des Etrusques que Turms découvrira pourquoi les dieux lui ont choisi un chemin de vie si difficile. Si vous lisez ce livre dans un avion, il vous transportera à Delphes au Ve siècle, directement auprès de l'Oracle. Si vous le lisez dans un bus, vous vous retrouverez à bord d'un bateau de pirates sur la Méditerranée sentant la brise marine vous effleurer le visage. Si vous le lisez dans le métro, aussitôt vous vous envolerez pour visiter les esprits des forêts étrusques. Et si vous le lisez dans un fauteuil ou dans votre lit, alors là tout peut arriver car la puissance évocatrice de ce livre dépasse l'entendement... Mika Waltari, l'auteur du célèbre "Sinhoué l'Egyptien " nous a en effet légué un chef d'oeuvre immortel, " Turms l'Etrusque ", un roman encore plus puissant et encore plus mystérieux que Sinhoué, et qui nous emmène avec un bonheur inégalé dans le monde fascinant de l'Antiquité.

03/2010

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Littérature étrangère

Le temple étrusque

Les conseillers municipaux d'une petite ville d'Italie dénuée de toute attraction touristique décident d'y faire élever un petit temple étrusque. Personne cependant ne sait à quoi peut ressembler un temple étrusque, et l'indispensable main-d'oeuvre étrusque fait manifestement défaut. Pressés de suivre les habitants de la ville que la canicule chasse, qui vers la mer et qui vers la montagne, les conseillers désigneront comme maître d'oeuvre un jeune postier venu réparer le téléphone, Atanassim, qui les convainc sans peine qu'Oscar, Astor et Ménius, trois nègres campant dans les bois proches, pourraient faire de très présentables Étrusques. Les travaux commencent dans la ville désertée. Atanassim multiplie sur le papier tous les dessins imaginables du futur monument, le trou s'approfondit, devient cratère, et, d'écroulement en écroulement, la ville est bientôt entièrement détruite... Composé de dix-huit rapides chapitres au centre desquels prend place une majestueuse paraphrase de l'Épopée de Gilgamesh, ce roman de Wilcock n'est rien de moins, sous la forme d'une sotie froidement délirante, qu'une tentative de mythologie de certains traits du monde actuel. On a souvent nommé Swift, Kafka ou Borges à propos de l'auteur. La démesure humoristique de ce dernier livre en même temps que la précision extrême d'un style narratif où le moindre détail surprend par son insolite justesse font également penser, cette fois, à Jarry aussi bien qu'à Raymond Roussel.

04/1985

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Poches Littérature internation

Le sourire étrusque

Un vieux paysan calabrais malade arrive chez son fils, à Milan, pour y subir des examens. Il déteste la vie dans le Nord, cette ville hostile et son ciel gris, mais c'est là qu'il découvre son dernier amour : son petit-fils, Bruno, qui porte le nom que ses camarades partisans lui avaient donné au temps du maquis. Dans ce roman plein de tendresse, d'humour et d'émotion, l'approche de la mort, la vieillesse offrent encore de formidables moments de bonheur et d'apprentissage, qui mènent à la plénitude et à la sérénité si bien représentées par le fameux sourire étrusque.

06/2012

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Lecture 9-12 ans

Le vase étrusque

Jeune, fier, ambitieux, mais sensible, Auguste Saint-Clair est amoureux d'une jeune femme très séduisante. Mais rongé par le doute et la jalousie, il soupçonne sa bien-aimée d'avoir reçu un cadeau d'un autre homme : ce vase étrusque qui le nargue sur la cheminée... Malgré toutes les preuves d'amour, Saint-Clair va souffrir au point de commettre l'irréparable...

01/2006

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Histoire ancienne

La civilisation étrusque

Les Etrusques continuent à évoquer un monde énigmatique. C'est qu'ils ont laissé une double image d'eux-mêmes : sereine, comme ces couples bien nourris, allongés sur leurs lits funèbres pour l'éternité, ou inquiétante, comme ces horribles grimaces qui ornent d'inoubliables fresques. C'est aussi que les Grecs, qui redoutaient leur puissance, les ont dépeints comme de dangereux pirates aux mœurs dépravées, et que ces légendes ont traversé les siècles. Les anciens habitants des collines de Toscane conservent bien des mystères, car même si leur écriture peut être déchiffrée, leur langue reste en large partie incompréhensible. Mais ce peuple, auquel les Romains empruntèrent tant, est de mieux en mieux connu. Sa civilisation, d'une richesse et d'un faste surprenants, est sans équivalent dans le monde antique. Non moins surprenante est l'histoire de sa découverte. Depuis la Renaissance, en effet, collectionneurs, savants, chasseurs de trésors et amateurs d'antiquités n'ont cessé de fouiller les innombrables tombes de Toscane dans l'espoir de trouver les secrets de ces Etrusques si différents des autres peuples de l'Antiquité.

06/1999

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Beaux arts

Les Etrusques

La civilisation étrusque naît à la fin de l’âge du bronze, dans les régions de l’Italie qui correspondent aujourd’hui à la Toscane et à une partie du Latium. Elle s’étendra au cours des siècles suivants à la Campanie septentrionale et à la région du Pô. Elle finira par être totalement absorbée par Rome. La fascination qu’elle a exercée dès l’époque romaine tient à l’aura de mystère qui l’entoure, due à l’absence complète de sources écrites directes, et à des découvertes extraordinaires, qui attestent une grande richesse artistique. C’est ainsi qu’en 1553, la construction des remparts d’Arezzo entraîne une trouvaille étonnante : une sculpture que l’on a appelée la Chimère, fabuleuse créature à tête de lion et queue en forme de serpent, sur le dos de laquelle surgit une tête de chèvre. Nombre de monuments et objets seront progressivement mis à jour, en particulier des tombeaux qui recèlent des peintures murales révélant bien des aspects de cette culture. Ces vestiges, auxquels il convient d’ajouter les témoignages des Anciens, qu’il s’agisse de Diodore de Sicile, d’Homère, de Tite Live ou de Strabon, nous apprennent que le monde étrusque se caractérise par son urbanisation, qui ira jusqu’à la création de cités-État, puis de dodécapoles, système fédérant entre elles douze villes. Ils nous montrent également des savoir-faire raffinés en matière d’artisanat – céramique, bucchero, orfèvrerie – et dans d’autres domaines comme la métallurgie ou l’exploitation de mines. L’abondance de sanctuaires est le signe d’une forte religiosité, marquée par le culte des ancêtres ; elle nous renseigne sur les rituels et sur le panthéon. Enfin, les Étrusques marqueront l’histoire de leur temps en dominant les mers. La civilisation étrusque est sans doute la plus brillante des civilisations de l’Italie avant les Romains. Elle rayonna pendant sept siècles entre le VIIIe et le IIe siècle avant Jésus-Christ et connut son âge d’or au cour du VIe siècle, il y a maintenant plus de 2 500 ans.

03/2010

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