Croyez-le ou non, mais ma petite corne magique ne m’est d’aucun secours pour surmonter ce douloureux et vilain chagrin d’amour. Assise sur un cirrus floccus, sirotant mon verre de rosé pamplemousse, tout en pensant à mon taureau qui est reparti seul dans le sud-ouest*, j’énumère les techniques dont j’ai fait usage pour tenter de survivre à la pire épreuve que l’on pense endurer quand l’autre nous quitte.