Akira Kurosawa Ran

La rétrospective consacrée à Akira Kurosawa ressort Le Château de l’araignée, une autre adaptation de William Shakespeare, à travers sa pièce Macbeth. Kurosawa s’était déjà inspiré du Hamlet de Shakespeare, avec Les Salauds dorment en paix. 

Akira Kurosawa est surtout connu pour ses films historiques, Les Sept Samouraïs en tête, mais le réalisateur japonais s'est aussi illustré dans une veine plus réaliste. Chien enragé décrit ainsi les bas-fonds de Tokyo à l'occasion d'une enquête inspirée par le maître Georges Simenon lui-même...

Dans le cadre de la rétrospective qui lui est consacrée, un nouveau film de Kurosawa ressort en salles. Après une adaptation de Hamlet (Les Salauds dorment en paix), le réalisateur prend une nouvelle fois le tragique shakespearien comme toile de fond, avec Le Roi Lear, tout en l'inscrivant dans un contexte bien particulier. La pièce a été traduite, en France, par Olivier Py aux éditions Actes Sud. 

Une grande rétrospective Akira Kurosawa est lancée depuis le 25 janvier 2017 : l'occasion de redécouvrir ses films, mais aussi ses inspirations et ses obsessions. En 1962, le réalisateur japonais adapte pour la première fois un roman de Shūgorō Yamamoto, Jours de Paix.

Rashōmon, film culte d'Akira Kurosawa sorti en 1950, est de retour au cinéma à l'occasion d'une restauration 4K inédite. L'occasion de redécouvrir ce chef-d’œuvre inspiré de deux contes d'Akutagawa Ryunosuke, Dans le fourré et Rashōmon.

Shūgorō Yamamoto est l'un des pseudonymes les plus célèbres de Satomu Shimizu, romancier japonais. Auteur de livres pour enfants et de romans policiers, il préfère de loin les œuvres historiques qu'il présente sous la forme de romans populaires. En 1965, avec Barberousse, Akira Kurosawa adapte son roman Akahige shinryotan.

Comme c'est le cas pour Entre le ciel et l'enfer, Les Salauds dorment en paix d’Akira Kurosawa ressort en salles dans le cadre d'une rétrospective. Un de ses films noirs les plus engagés contre la corruption qui minait le milieu des affaires dans le Japon de la fin des années 50. C'est l'occasion de revoir plusieurs oeuvres du réalisateur des Sept Samouraïs et de le voir revisiter le genre du thriller à sa façon. 

Cette semaine ressort en salles une flopée de classiques du japonais Akira Kurosawa, maître réalisateur des Sept Samouraïs. Mais ce n'est pas tout : Entre le ciel et l'enfer permet ainsi de découvrir un Kurosawa qui s'essaie au thriller avec un certain succès, en adaptant le roman Rançon sur un thème mineur d'Ed McBain, signé sous le nom d'Evan Hunter.

En 1952, avec Vivre, Akira Kurosawa réalise un film en partie inspiré du roman La mort d'Ivan Ilitch de Léon Tolstoï. Le film est de retour dans les salles en version restaurée le 25 janvier 2017, avec au casting Takashi Shimura, Shin'ichi Himori et Haruo Tanaka.

BONNES FEUILLES - Enfant sensible, rudoyé par ses parents, Tristan se réfugie dans ses rêves et pratique systématiquement le mensonge.

Kurokawa, qui signifie en japonais Fleuve Noir, appartient au groupe de maisons d’Univers poche. Spécialisé dans le manga, cet éditeur a récemment connu un délicat déboire, démontrant comme toujours la fragilité des outils sociaux — et le manque de maîtrise pour leurs utilisateurs sur ces solutions de communication.

La rétrospective Kurosawa permet cette semaine de découvrir ou redécouvrir les classiques du cinéaste japonais : en adaptant Les Bas-fonds, Kurosawa s'attaque à un classique du théâtre, mis en scène pour la première fois par Constantin Stanislavski en 1902.

Le partenariat a un je ne sais quoi d'improbable, mais livre un beau produit de la pop culture. L'univers d'Akira de Katushiro Otomo a investi le design du modiste nippon Comme des Garçons. Si Lacoste avait décliné Astroboy sur une collection streetwear colorée, l'anticipation sociale d'Otomo se cantonnerait au support papier.

Yan Lan est la lauréate du prix Simone Veil 2018 pour son livre Chez les Yan, publié chez Allary Éditions. Séverine Auffret obtient le Prix Spécial du Jury pour Une histoire du féminisme aux Éditions de l'Obervatoire. Le Prix Simone Veil 2018 – Prix de la Mairie du 8ème est décerné à Marion Van Renterghem pour Angela Merkel, l'ovni politique édité par Les Arènes.

Saga de Mark Greaney relativement inconnue en France, The Gray Man bénéficie prochainement d'un regain d'intérêt, à la faveur d'un film Netflix réalisé par Anthony et Joe Russo. L'éditeur L'Archipel propose d'ailleurs une traduction du premier livre, par Philippe Vigneron, en librairies depuis le 16 juin dernier. Et la production, elle, ne laisse pas vraiment indifférent : entre fidélité et déception, les internautes débattent.

Le projet ressemble à un serpent de mer : tous ceux qui s'attaquent à Néo-Tokyo semblent dépérir, et même Hollywood, avec ses moyens tentaculaires, ne semblent pas arriver à débuter son propre film. Quelque part dans les méandres des studios, quelque chose coince dans le développement. Heureusement, les fans ne manquent pas, y compris les plus inconditionnels. Et c'est ici qu'intervient The Akira Project.

Il semblerait que l'adaptation live du manga Akira de Katsuhiro Otomo soit bien sur les rails. En effet, le site Acting Auditions présente une proposition de casting pour le film Akira et dévoile quelques informations sans pour autant citer ses sources.

Sur un chemin de montagne escarpé, une longue file de casques jaunes avance entre les arbres, au milieu d'une magnifique forêt.

Le réalisateur japonais Akira Kurosawa décédé en septembre 1998, avait laissé dans ses cartons un projet ambitieux. Il souhaitait porter une adaptation du Masque de la mort rouge, le livre d’Edgar Allan Poe. Mais son film ne vit jamais le jour, même si les travaux préparatifs avaient débuté.

Au cours du Salon du livre de Paris, l'éditeur Kurokawa, particulièrement sensible aux catastrophes, qui ont déferlé sur le Japon avait décidé de mettre en place une initiative de solidarité. Des messages de soutien, adressé au Japon. Simple, mais efficace.

La maison d'édition Kurokawa a improvisé sur le Salon du livre, une opération de soutien aux victimes des catastrophes qui se sont abattues sur le Japon.

BONNES FEUILLES – Ceux qui œuvrent dans l’ombre le connaissent sous le nom de Gray Man. Tueur à gages implacable devenu une légende pour sa discrétion et sa terrible efficacité, il enchaîne les missions et parvient toujours à abattre sa cible avant de disparaître... 

Né le 5 avril 1955, Akira Toriyama est à l'origine d'une des plus importantes licences du manga japonais, Dragon Ball. Depuis la sortie du premier épisode, publié le 20 novembre 1984 dans le Weekly Shōnen Jump, Dragon Ball s'est décliné en anime, films, jeu vidéo... Un succès qui ne se dément pas, année après année.

Que l'on se tourne vers le manga ou l'anime de Katsuhiro Otomo, c'est indéniable : la moto de Kaneda dans Akira est l'un des véhicules les plus iconiques de la culture moderne. Deux fans ont voulu rendre hommage à l'œuvre de Katsuhiro Otomo en remixant des scènes de l'anime en images de synthèse.

Après avoir comblé les visiteurs du Festival de la BD d’Angoulême, l’exposition consacrée à Katsuhiro Otomo sera présentée à la galerie Glénat, du 8 au 26 juin prochains. En compagnie d’une quarantaine d’auteurs ayant pris part au projet, il sera possible de redécouvrir les hommages rendus au créateur de la mythique série Akira. 

Le projet éditorial relève du plus strict délire : redessiner le célébrissime manga, Akira, en utilisant les personnages de la plus invraisemblable série américaine : nos cousins étatsuniens, la famille Simpson. Bartkira n'est qu'une sorte de grande farce, qui ne manque pas d'humour.

On ne présente plus Katushiro Otomo, créateur du monumental Akira qui fit le tour de monde et réinventa la bd japonaise, comme en son temps Tezuka. Comme il n'est pas nécessaire de rappeler qu'il n'avait pas mis la main à un manga depuis longtemps. Ce devrait être de l'histoire ancienne.

Dans le film d'animation qui a révolutionné l'approche du manga, Akira, il est un véhicule qui restera mythique, c'est la fameuse moto de Kaneda. Cette sorte de monstre mécanique ultra moderne et puissante, a désormais un pendant dans le monde réel. À l'initiative d'un Japonais qui a mis sept ans d'investissement pour la réaliser. 

La rengaine reste la même à chaque adaptation cinématographie d'un succès littéraire, de BD ou de manga. James Bond, Largo Winch... À chaque fois qu'il s'agit d'incarner un personnage de fiction sous les traits d'un acteur, les fans veulent avoir leur mot à dire. Au tour d'Akira d'en faire les frais.

Ah, décidément, les affaires de plagiat sont la marque de ce début d'année. Loin des affres en France de PPDA et de sa biographie d'Hemingway, pompée manifestement sur un ouvrage paru en 1998 chez Gallimard, c'est du côté de marvel que la nouvelle nous parvient.