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Arthuis

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BD tout public

Arthus Trivium Tome 3 : La jeune captive

Les missions confiées aux disciples de Nostradamus sont une fois de plus périlleuses... Arthus se rend à Cucuron, accompagné de César, le fils aîné du maître. Mais le mystère qu'il doit élucider débouche sur une énigme plus troublante encore ! Angulus et Angélique sont partis à Paris, à la recherche d'une jeune fille disparue. Dans l'atelier d'un célèbre peintre de cour, un tableau énigmatique semble donner accès à un monde sinistre et terrifiant...

10/2017

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12 ans et +

Arthus Bayard et les maîtres du temps. Penicillium notatum

Arthus Bayard a perdu ses parents dans un accident d’avion lorsqu’il avait cinq ans. Depuis, Bérengère et Thibault Saint-Ange, amis de longue date des Bayard, l’élèvent comme leur fils. Ils ont aussi une fille, Lalie, du même âge qu’Arthus. Les parents étant absorbés par leurs affaires, les adolescents sont placés sous la responsabilité d’une gouvernante écossaise, Loreena, descendante éloignée de l’éminent scientifique Alexander Fleming, et d’un homme à tout faire froussard et maladroit, Tomaso. Un dimanche matin, alors que la famille Saint-Ange se recueille sur la tombe de Paul et Clémence Bayard, une force mystérieuse s’empare d’Arthus : il se met à trembler de toutes parts. Lalie lui prend la main pour essayer de le calmer, mais se retrouve soudain transportée avec lui dans le Paris de 1912. De retour dans le présent, incrédules, les deux adolescents demandent l’aide de Loreena et Tomaso. Hélas, quand le don hors du commun du garçon se manifeste à nouveau, les adultes sont également impuissants. Ils atterrissent ainsi tous les quatre au beau milieu d’un bal costumé du début du XXe siècle, entourés d’artistes de l’époque : Proust, Cocteau, Nijinski… Mais la fête tourne court lorsqu’Arthus découvre qu’elle est le théâtre d’une terrible machination… Très vite, nos héros sont entraînés dans une série d’aventures dont les surprises et rebondissements sont nombreux. Au cours de leur lutte improvisée contre l’infâme Chronos, ils croisent la route de l’explosif Bonnot et du flegmatique Conan Doyle, qui leur apporte une aide plus qu’élémentaire. La petite bande file ensuite tambour battant et bien malgré elle dans des époques et des lieux différents, où Chronos attend Arthus de pied ferme pour l’ultime confrontation. Tomaso claque des dents, Lalie pique des colères, Loreena joue des pieds et des poings, et Arthus se rapproche du terrible secret qui l’entoure.

10/2013

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Photographes

Legacy de Yann Arthus-Bertrand. Une vie de photographe-réalisateur

Pendant 3 décennies, j'ai survolé la planète pour ramener des photographies. Elles témoignent, à leur manière, de l'état du monde. Les plus fortes d'entre elles vous sont présentées dans cette exposition. Je souhaite cependant qu'ensemble nous explorions le monde plus en profondeur que ce que la surface de l'image montre. La recherche de la beauté a motivé ce travail artistique qui ne garde d'un lieu que le moment immortalisé par l'appareil. Capturer une image ne prend qu'un instant. Or, si elles émerveillent, chacune de ces images raconte une histoire qui va bien au-delà d'une fraction de seconde. Nous vivons une époque de grands bouleversements écologiques et sociaux. La photographie permet de dévoiler et de comprendre les grandes transformations du monde et de ses habitants : êtres humains, animaux, végétaux et aussi minéraux.

06/2022

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Economie

Mondialisation. La France à contre-emploi

Enfin, un tabou se brise. Il est maintenant admis que les délocalisations à répétition ont entraîné la France sur la pente d'une désindustrialisation catastrophique. En effet, la mondialisation, loin d'être comme ailleurs un " accélérateur de croissance ", agit en France comme une pompe aspirant des emplois de plus en plus qualifiés vers les pays émergents et refoulant dans les rayons de nos hypermarchés des produits toujours moins chers. Tout cela sous l'œil bienveillant des pouvoirs publics, qui refusent de comprendre que le consommateur est aussi un salarié et que, en cassant les prix, la grande distribution casse aussi des emplois. Oui, la France, où les banques prêtent plus facilement pour consommer que pour investir et produire, est aujourd'hui à contre-emploi dans tous les sens du terme. Et non, la mondialisation n'est pas " une chance pour la France "... Sauf, nous dit Jean Arthuis dans ce livre décapant, si un président déterminé à inverser la spirale infernale rompt avec la politique " virtuelle " faite d'hypocrisie et de pieux mensonges, conditionne l'accès à notre marché à des contreparties véritables et brise le carcan administratif et fiscal dans lequel un Etat devenu parasitaire enserre nos entreprises, les acculant, toujours plus nombreuses, à la délocalisation... ou à la faillite. Sauf si l'Europe entend enfin exister politiquement et assumer les prérogatives que ses membres lui ont confiées. Un coup de sang argumenté et documenté, à la veille d'échéances cruciales pour le pays, par un homme politique atypique, connu pour sa pugnacité et son franc-parler, qui ne se résout pas au déclin économique de son pays.

02/2007

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Photographie

Living Colors

Living Colors est tout simplement un dispositif qu'a imaginé la photographe française Isabelle Arthuis pour classer et présenter ses images du monde par couleur et le résultat est à la fois captivant et magnifique. Née en 1969 au Mans et formée à l'Ecole des Beaux-Arts de Rennes, Isabelle Arthuis se partage entre la France et la Belgique. Elle poursuit un travail sur l'image, à la fois comme un moyen de saisir le monde et d'y participer activement. En relation avec l'espace, ses oeuvres, comme des traces du réel, relèvent d'un incessant mouvement. Les expériences de ses voyages, de ses séjours et de ses rencontres l'amènent à explorer différents modes de production et de présentation des images. Ses photographies en noir et blanc ou en couleur, d'un format allant de celui d'une carte postale à la taille d'une affiche publicitaire, trouvent leurs sources formelles principalement dans le cinéma et la peinture, l'image se construit en relation avec les contextes et en résonance avec les histoires dont ils relèvent. Depuis dix ans, elle a bénéficié de nombreuses expositions à l'étranger : en Belgique (Bruxelles, Liège) mais aussi au Brésil (Rio de Janeiro), en Suisse (Fribourg), en Autriche (Vienne, Salzbourg), au Luxembourg, en Allemagne (Francfort), en Grèce, Monte Negro, Pologne. A côté de cette activité internationale importante, Isabelle Arthuis n'en est pas moins présente sur la scène artistique française que ce soit dans les collections publiques (FRAC Bretagne, MAMVP, Musée des Beaux-arts de Brest), les fracs et centres d'art. De nombreux critiques d'art et commissaires d'expositions défendent son travail : Denys Zacharopoulos, Hans-Ulrich Obrist et Laurence Bossé ("Traversées", MAMVP, 2001), Eric Corne ("Voir en peinture", le Plateau, 2003), Jean-Marc Huitorel, Judicaël Lavrador, François Aubart, Bernard Marcellis, Cécile Bourne, Bruno di Rosa, etc.

01/2012

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Economie

S.O.S Finances publiques. Osons les vraies réformes !

Deux ans après l’éclatement de la bulle du crédit qui a déclenché la crise financière mondiale, la France, comme la plupart des pays (dés)industrialisés, prend enfin conscience d’avoir à affronter un défi majeur : une dette budgétaire et sociale qui, après 27 ans de déficits cumulés, se monte à presque 2000 milliards d’euros et se creuse de presque 100 milliards d’euros supplémentaires tous les ans. Les agences de notation, le FMI, la communauté financière internationale nous observent : saurons-nous réagir comme les Anglais, qui ont entamé une cure d’amaigrissement sans concessions ? Ou suivrons-nous le chemin de la Grèce, de l’Irlande et demain du Portugal, qui se retrouvent sous la tutelle du FMI et renoncent à leur souveraineté nationale ? Jusqu’à présent, le gouvernement français s’est montré timoré : il se refuse à employer les mots honnis de rigueur ou d’austérité ; il « rabote » les budgets ici ou là ; il réforme les retraites a minima ; il morigène les collectivités territoriales trop dépensières ; il ratiocine à l’infini sur l’ISF, les niches fiscales et le bouclier du même nom. Et pendant ce temps, il emprunte plus de 800 millions d’euros par jour pour payer ses dépenses courantes et rembourser notre dette, comme un ménage surendetté pris au piège du crédit revolving. Cela ne peut plus durer, affirme Jean Arthuis avec la conviction d’un homme qui plaide depuis des années pour une plus grande rigueur budgétaire. Il nous présente ici un plan de redressement des finances publiques audacieux, équitable, structurel, et à effet rapide. Il comporte sept mesures cohérentes, argumentées et chiffrées qui vont de l’instauration de la TVA sociale à une réduction du « mille-feuille administratif » en passant par la retraite à points et un strict encadrement des dépenses publiques. Nul doute que nombre de lecteurs feront la grimace en calculant mentalement ce que cela leur coûterait personnellement (et politiquement s’il s’agit d’élus). Mais a-t-on le choix, en vérité ? Que peuvent proposer les futurs candidats à l’élection présidentielle de 2012, quelle que soit leur couleur politique, si ce n’est de la sueur et des larmes ? Alors autant nous administrer à nous-mêmes la potion amère, plutôt que de subir l’humiliation d’un diktat !

03/2011

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