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Atena Farghadani prison

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Littérature française

Awena

En cette année 1034, nul ne pénètre dans la forêt qui longe la route vers Morimond par crainte d'y perdre la vie. on raconte qu'à la tombée de la nuit, des sons lugubres vous glacent le sang, mais un homme doit y pénétrer afin d'accomplir son destin.

02/2019

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Science-fiction

ArenA

Le jeu : Deux cantons, 20 candidats ; Le but : Eliminer physiquement l'équipe adverse ; Les règles : Aucune, tous les coups sont permis ; 1945 : Quelques mois après la fin de de la seconde guerre mondiale, les pays touchés pansent leurs plaies et essayent de prendre un nouveau départ. La suisse, petit pays épargné par la guerre du fait de sa neutralité devient, quant à elle, sujette à d'incessants conflits internes. En effet, possédant quatre régions culturelles et autant de langues, les différentes populations se méfient rapidement de leurs voisins, s'accusant mutuellement à tort ou à raison, d'avoir collaboré avec des responsables nazis ou fascistes. En 1946, les plus hauts dignitaires des puissances mondiales se réunissent et décident que chaque année, un jeu mortel sera organisé dans lequel s'affronteront des Candidats de différents cantons du pays, ceci pour punir le peuple suisse qui a préféré s'entredéchirer au lieu de maintenir la paix. 2016 : Le canton de Neuchâtel est choisi pour participer au jeu annuel. Parmi les Candidats, un jeune homme, Chris Sartoris, est guidé par la vengeance. Il sera aidé dans sa tâche par une jeune femme au passé trouble, mais pour parvenir à ses fins, il devra d'abord triompher de ses adversaires, les terribles zurichois qui n'ont jamais connu la défaite.

02/2021

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Littérature étrangère

Athéna

" Quand je suivis cette (ô combien !) parfaite étrangère, je n'avais pas d'autre idée en tête que de savoir où elle allait. [...] Elle portait une robe noire à manches courtes et des talons ridiculement hauts sur lesquels elle marchait d'un pas chancelant mais rapide, son sac serré contre son sein, son cou mince projeté vers l'avant et sa tête baissée, de sorte qu'à chaque claquement de ses talons, elle semblait contempler le bord d'un précipice béant. Très pâle, avec une frange de cheveux noirs coupés au carré (ma Lulu !), des épaules étroites portées haut et des jambes très fines... sous le soleil de cette journée chaude, elle était étrange dans tout ce noir... une veuve de fraîche date se rendant chez le notaire pour la lecture du testament. " Morrow, historien de l'art, accepte d'authentifier huit tableaux de maître d'une provenance obscure. Dans la maison presque vide qui les abrite, il rencontre une mystérieuse femme brune, A. Tous deux vivent une passion violente, aussi violente que les scènes mythologiques des tableaux, illustrant un désir meurtrier. Mais dès qu'ils ne sont plus seuls, A. disparaît, comme si elle avait jailli d'une toile pour se jouer de Morrow... Mi-conte philosophique, mi-polar, un puzzle brillant sur la confusion de la vie et de l'art.

10/2005

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Historique

Athéna

Que seraient les héros sans les dieux ? Une douleur insoutenable se déclare soudainement dans le crane de Zeus. Les battements de son coeur résonnent jusque dans ses tempes... La souffrance le traîne aux frontières de la folie et, pour se libérer de cette interminable torture, le roi olympien fait appel à Héphaïstos. Que son frère mette fin à cet immonde calvaire, qu'il lui fende le crâne et par ce geste achève son tourment ! L'impact, aussi terrible soit-il, laisse vite place à l'étonnement car, dans l'ouverture béante apparaît un être : c'est Athéna. Ainsi débute l'histoire de la plus sage des déesses. Suivront quelques événements fondateurs de son mythe, de ses démêlées avec Arachné, en passant par l'adoption d'Erichthonios, la débâcle avec les Gorgones et encore tant d'autres... Après s'être consacrée aux grands héros, la collection " La Sagesse des Mythes " s'attache dorénavant à présenter les dieux et déesses sans qui Ulysse, Hercule, Jason ou Persée n'auraient jamais pu briller. Athéna, déesse de la guerre, de l'artisanat et protectrice des efforts héroïques s'avère être la passerelle idéale pour ouvrir ce nouveau pan divin de la collection.

03/2021

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Littérature Allemande

Prison

"S'il est interdit de monnayer des heures d'amour, il devrait être interdit d'acheter des heures d'amour. Mais l'expérience nous montre que l'être humain ne peut pas vivre sans heures d'amour. Il faudrait donc organiser l'amour autrement. "Amour organisé" c'est affreux à entendre. Et pourtant, on y revient toujours. Le tribunal est une affaire d'hommes et châtier le sexe faible exige moins d'efforts que demander des comptes à des hommes trop jaloux de tenir secrets leurs penchants les plus forts. Je voudrais que les hommes abusés puissent voir le sourire de mépris qui se peint sur le visage de leurs séductrices quand, devisant tout bas dans les couloirs du pénitencier, elles éventent les secrets de leurs accusateurs. Dans la cour de la maison d'arrêt, j'ai vu le sourire souverain sur les visages des femmes et des filles qui font le trottoir ; filles victorieuses qui ont l'élégance de se déclarer vaincues. Cette courtoisie doit être bien dangereuse, pour qu'on les enferme entre des murs épais."

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Réalistes, contemporains

Prison

Comment la France traite-t-elle ses prisonniers ? Face à cette question, il y a ce qui est dit, et ce qui se passe ; il y a la lumière, mais beaucoup de zones d'ombre. Ces zones d'ombre, Fabrice Rinaudo a voulu les explorer. A travers quatre contes cruels, il a choisi de montrer ce qui ne se montre pas. Ses personnages, qu'ils soient braqueurs, dealers, cambrioleurs, ou simples gardiens de prison, doivent affronter une réalité brutale où la violence, la détresse et la corruption cohabitent malgré tout avec la débrouille et la solidarité. Accompagné par Sylvain Dorange et Anne Royant aux dessins, Fabrice Rinaudo nous ouvre les portes d'un milieu clos, sombre, presque secret. Sans concession, il nous dévoile un univers à part entière, ses différents acteurs, ses mécanismes mais aussi ses paradoxes, son absurdité, sa folie. Finalement, un constat : la privation de liberté ne réinsère pas. Elle sanctionne, brime, humilie, déshumanise. La prison, cette Ogresse, ne protège personne.

10/2022

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