Recherche

Bérénice Bejo marraine

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Science-fiction

Marraine

Il était une fois, une bonne fée qui se penchait sur le berceau des nouveau-nés afin de les inonder de bienfaits pour les siècles des siècles. Et comme le dirait si bien Ric, l'un de ses petits protégés : trop bonne, trop conne ! Mais quelle mouche a piqué Marraine Perrault pour qu'elle prenne pareils filleuls sous son aile ? Entre Peau d'Ane la mère maquerelle, Aurore la top-modèle siliconée, Cendrillon la veuve noire et Riquet l'alcoolique notoire, on ne peut pas dire que l'affaire soit une réussite. Pour couronner le tout, ses pupilles risquent fort de se dresser entre elle et ce bellâtre slave qui lui est - littéralement - tombé dessus dans un centre commercial new-yorkais. Parviendra-t-elle à se débarrasser de ces obligations qui l'accablent depuis si longtemps pour enfin trouver chaussure à son pied ? Pas si facile, quand on fait un petit 36...

10/2019

ActuaLitté

Sociologie

Comment vivre avec le regard des autres. Entretien entre Hugo Marchand et Bérénice Béjo

"Ca m'est arrivé plusieurs fois de passer un mauvais moment, de me dire que c'était nul, et une fois la représentation terminée, je me rendais compte que les gens ne s'en apercevaient pas."

11/2023

ActuaLitté

Lycée parascolaire

Bérénice

L'ouvrage fournit toutes les clés pour analyser la tragédie de Racine. Le résumé détaillé est suivi de l'étude des problématiques essentielles, parmi lesquelles : - Titus et Bérénice - Le système des personnages - Bérénice : une pièce tragique ? - Rome et l'Orient - Le langage poétique. Disponible aussi en DVD Copat. (Lien -> http : //www. editions-hatier. fr/livre/le-meilleur-du-theatre-racine-berenice-dvd)

09/2001

ActuaLitté

Littérature française

Bérénice

Bérénice a 17 ans quand elle rencontre dans son lycée le père Kenelm, un jeune prêtre irlandais. Elle qui n’a jamais existé pour ses parents, qui a été abusée par ses grands frères quand elle était enfant, croit trouver en Kenelm celui qui pourra la comprendre, l’aider et l’aimer. Elle lui écrit, lui rend visite, le provoque, le poursuit d’un amour exalté auquel il ne sait répondre et qui le trouble profondément. Et quand il s’aperçoit de la conduite erratique et désespérée de Bérénice il est trop tard pour la sauver. Un drame qui tient de Racine et de Bernanos, de l’amour impossible et des tourments spirituels quand l’exaltation, la sensibilité, le désir cherchent à s’incarner, mais aussi un récit très contemporain de deux solitudes, de deux marginaux, l’un devenu prêtre sans l’avoir vraiment choisi, l’autre portant des blessures dont elle ne peut guérir seule.

10/2012

ActuaLitté

Théâtre

Bérénice

Bérénice appartient à l'histoire romaine et orientale. Son action est sans violence, son dénouement n'est pas dicté par la passion. Ce n'en est pas moins une tragédie : un personnel de princes et de rois fait son malheur en une série de discours réglés. C'est le personnage le plus dépendant, le moins libre, qui donne son nom à la pièce ; Titus, qui congédie la femme qu'il aime, fait sans cesse un effort douloureux sur lui-même, jusqu'au transport d'héroïsme final. Le sujet de la pièce est le renvoi de Bérénice, qui ne fait aucun doute : il est dicté par la tradition romaine. L'action se réduit à retracer les souffrances que cette nécessité entraîne : tout l'art de Racine, ici, est dans le suspens, dans le retard, dans l'attente de l'aveu et de l'adieu.

ActuaLitté

Littérature française

Bérénice

Nous sommes dans la France de l'après-1968. Bérénice, fraîche journaliste politique à l'air d'enfant, s'approche du pouvoir. De trop près ? Charles Maubrac, ministre gaulliste dont la courte taille est compensée par l'énergie intense qu'il déploie à conquérir les cœurs, veut la séduire. En serait-il vraiment amoureux ? Robert Monfort, le premier secrétaire du parti socialiste, fin manœuvrier, la fascine par son éloquence de jouisseur. Se moquerait-il de sa proie trop naïve ? Entre ces deux fauves qui s'entre-dévorent, Bérénice, la fausse ingénue, joue de l'orgueil des hommes, se brûle sous les ors des palais nationaux, apprend le langage de la raison d'Etat. Est-on libre d'aimer qui l'on souhaite quand on commande au pays ? Bérénice, malgré elle, malgré eux, se sacrifie, demeure dans l'ombre, mais bien des années et une cohabitation plus tard, elle aura sa revanche... Christine Clerc a écrit ici un roman à clefs, tout en portraits cruels : choses vues sur la scène du théâtre des vanités que fut toujours le monde politique. Le lecteur reconnaîtra sans peine, dans le silence de l'Elysée, un président qui se meurt en fin de règne, un gaulliste à l'ambition fiévreuse, un leader socialiste concupiscent, un Corse comploteur, une aristocrate à la parole assassine, et d'autres encore, les comparses d'une tragi-comédie dont Bérénice reste la plus émouvante figure.

05/2000

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté