Barnes Nobles USA

La chaine de librairies Barnes & Noble, qui opère aux États-Unis, s'est séparée de son directeur général, Demos Parneros, qui avait pris le poste en avril 2017. D'après le communiqué envoyé par la firme, le DG se serait rendu coupable de « violations du règlement de la société », sans plus de précisions.

USA Today ajoute Barnes & Noble et Sony aux best-sellers ebooks

Selon des sources du Wall Street Journal, Barnes & Nobles aurait mis en vente sa branche Sterling Publishing, spécialisée dans la publication de titre de non-fiction.

Le chiffre d’affaires de la plus grosse chaîne de librairies des États-Unis sur la même période est d’environ 1,4 milliard. Elle n’y a donc « que » environ 4 % de pertes sur le premier trimestre fiscal 2012, qui s’arrêtait en juin 2011.

Des rumeurs circulaient sur la mise en vente de Sterling Publishing par Barnes & Nobles (voir notre actualitté). Selon le site Publishers Weekly, cette mise en vente de Sterling Publishing n'aurait pas abouti en temps et en heure.

La plus grosse chaîne de librairies des États-Unis semble avoir des problèmes de trésorerie et accumule les retards de paiement depuis quelques semaines. L’entreprise, qui avait dû se résoudre à fermer les portes de pas moins de 400 de ses magasins, accuse elle aussi le coup (coût ?)  du confinement.

La presse allemande se fait le relais de ce qui pourrait bien être une information bouleversifiante. Le libraire Barnes & Noble, soucieux d'exporter sa marque et son savoir-faire, tout autant que de relever son chiffre d'affaires, envisage d'arriver sur le marché allemand sous peu. Très peu. 

En terme de résultats de ventes, Barnes & Noble a habituellement donné l'image d'une entreprise des plus compétitive sur le marché des tablettes et autres liseuses. Pourtant, il semblerait désormais au premier coup d'oeil que leurs affaires soient en perte de vitesse, à moins que l'entreprise n'ait plutôt décidé de faire place nette en prévision de l'arrivée sur le marché de son nouveau produit.

John Lewis est le premier détaillant situé hors des États-Unis à conclure un accord avec Barnes & Noble dans l'optique de distribuer le Nook. À compter du mois d'octobre, 37 magasins du géant britannique offriront une place de choix sur leurs étals afin de commercialiser le lecteur sur le marché du Royaume-Uni. L'appareil sera disponible parallèlement sur le site internet de John Lewis.  Si le partenariat a été rendu public ce mardi, les conditions commerciales n'ont pas été divulguées.

Sans prévenir, le directeur exécutif de la chaîne de librairies américaine Barnes & Noble, William Lynch, vient d'informer les clients et investisseurs qu'il quittait son poste, et par la même occasion la société. Les informations sont parcellaires, mais l'échec de la stratégie du numérique du revendeur, dépassé par tous ses concurrents, a probablement joué dans la décision.

Pour beaucoup, la version 16 Go de la Nook Tablet n'avait rien de plus que le Kindle et ses 8 Go d'espace de stockage. Pourquoi ? Tout simplement parce que Barnes & Noble avait eu la mauvaise idée de réserver 12 des 13 Go de stockage réel aux contenus achetés sur le Nook Store. Un faux-pas que Barnes & Noble permet de corriger en se rendant dans une librairie de la chaîne, pour un débridage en règle.

Les analystes de Wall Street ont beau avoir de sombres perspectives sur l'avenir des librairies, cela n'empêche pas les sociétés d'investissement de parier sur ces dernières.

L'annonce récente de la maison d'édition américaine Barnes & Noble d'un déploiement imminent de son offre de lecteurs ebooks et de tablettes à l'international a immédiatement fait envisager un contrat très probable avec le libraire britannique Waterstone.

« O tempora, O mores », s'indignait Cicéron face à Catilina. Eh bien, outre-Atlantique, le chien de garde de la morale conservatrice, l'organisation à but non lucratif et reposant sur une foi inébranlable (hem !) en la justice divine, vient de présenter son rapport des plus grands diffuseurs de pornographie. Morality in Media s'est fait un devoir de défendre le peuple contre toute manifestation de ce genre. Et ça bosse dur...

Comme le rapportait ce mercredi The Digital Book World, le PDG de la maison Barnes & Noble s'est exprimé dernièrement face aux caméras de la chaîne Bloomberg TV. L'occasion pour  William Lynch d'affirmer la bonne tenue du bilan de la firme cette année, avec des résultats supérieurs aux attentes.

C'est sur Berlin que Barnes & Noble a jeté son dévolu pour y implanter une première SARL européenne, avec à sa tête Eugene DeFelice, l'un des vice-présidents de B&N. Poursuivant ses perspectives d'ouverture au marché de l'ebook européen, Barnes & Noble prévoit un partenariat local, probablement la meilleure option pour éroder les 43 % de parts de marché détenus par Amazon.

La chaîne de librairies Barnes & Noble n'a pas vraiment connu d'eaux calmes lorsqu'il s'agissait de naviguer avec le numérique. En 2012, sa filiale Nook, consacrée aux équipements et aux contenus numériques, devenait une entité propre, afin d'attirer de potentiels investisseurs. L'éditeur Pearson en faisait partie, à hauteur de 5 %, mais B&N vient de racheter ses parts dans la société.

Barnes & Nobles a confirmé son projet de déployer son offre uniquement en ligne à l'international, excluant toute ouverture de magasins de « brique et de mortier » à l'étranger, lors d'une conférence à Londres hier, rapporte The Bookseller. 

Comme nous vous l'avions annoncé, Barnes and Nobles sort son prochain lecteur ebook, sans créer de grande surprise. On restera donc dans l'écran 6 pouces, à encre électronique, et sans grand chose de vraiment épatant...

Fermer ou ne pas fermer ses librairies de brique et de mortier en situation de crise ? Telle était la question que se posait sérieusement la chaîne Barnes & Noble,

Barnes & Noble a joué la carte de la mémoire contre le Kindle Fire d'Amazon (16 Go contre 8 Go), moyennant 50 $ supplémentaires sur le prix de vente total. Une ambition certaine qui a séduit les consommateurs, puisque leurs ventes ont enregistré une hausse de 70 % : mais la firme entend faire mieux dès demain en lançant un Nook flambant neuf. Une sorte de version mini au prix réduit, pour concurrencer Amazon sur son propre terrain.

Barnes & Noble était présent au salon de Francfort pour dévoiler sa nouvelle filiale, constituée avec l'aide du géant de l'informatique Microsoft. Dans le hall 6 du salon des expositions de la ville allemande, les visiteurs pouvaient découvrir sur le stand Nook and Nook Development la nouvelle entité créée par Barnes & Noble : Nook Media.

Les dirigeants de Barnes & Noble ne coucheront sûrement pas sur la paille demain soir. Même si le trésorier gagne désormais plus que PDG de la chaine, qui a vu son salaire chuter de 90 % cette année.

Depuis plusieurs mois, Barnes & Noble, la chaîne de librairies américaines, annonçait les préparatifs pour séparer ses activités. D’un côté, il y aurait la dimension scolaire, avec la création de B & N Education Inc., et de l’autre tout le reste. Eh bien, ce 3 août, la fission est effective.

Leonard Riggio, actionnaire de premier plan des librairies Barnes & Noble, vient d’acquérir un million d’actions, ce 11 septembre. Achetées au prix moyen de 12,59 $, le calcul définissant la douloureuse est assez simple à effectuer. Désormais, ce dernier dispose de 8,594 millions de parts pour une valeur estimée à 108,204 millions $. 

Suite au dépôt de plainte d'un investisseur devant la Cour suprême du comté de New York, accusant la chaîne de librairies d'information financière de mauvaise qualité, Barnes & Noble tombe sous le coup d'une enquête de la Securities and Exchange Commission. L'avocat new-yorkais David Shaev, lui-même actionnaire de l'entreprise de commerce au détail, a nommé plusieurs responsables de la firme en tant que défendeurs au cours du procès.

Le dernier grand revendeur de livres outre-Atlantique, chaîne de librairie Barnes & Noble, a dû réagir rapidement, après que le Wall Street Journal a fait état d'une délicate information. Fermer ou ne pas fermer des librairies, et surtout, accélérer le mouvement de fermeture, sont autant de questions qui agitent actuellement la société. 

Malgré des tentatives pour concurrencer Amazon et Google, le libraire américain Barnes & Noble a annoncé des résultats moins encourageants que prévu. Son cours en Bourse s'en est ressenti, avec une baisse de 10%. William Lynch, le patron de la firme, estime que les résultats vont repartir dans le bon sens avec les fêtes de fin d'année. Cette période est toujours marquée par une forte hausse des ventes, à l'instar du Black Friday Weekend où B&N a vu ses ventes doubler.