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Littérature française

Traité des maladies secrètes de l'homme et de la femme. 27e édition

Notice historique et généalogique sur la maison Bonnin de la Bonnière de Beaumont, marquis et comtes de Beaumont, marquis de la Chartre sur Loir, seigneurs Des Chastelliers, Beauvais, Le Fresne, Savary, Rezé, Rortre, Fontenay, Beaumont la Ronce..., pairs de France...Date de l'édition originale : 1897Sujet de l'ouvrage : Bonnin de la BonninièreLe présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site hachettebnf.fr

05/2013

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Propriété littéraire et artist

Droits culturels. Les comprendre, les mettre en oeuvre

Issus des droits humains et devenus une référence à l'échelle internationale, en particulier depuis la Déclaration de Fribourg en 2007, les droits culturels sont inscrits explicitement dans plusieurs lois françaises depuis 2015. En cela, ils commencent à être considérés par les collectivités publiques comme un paradigme utile pour penser et déployer les politiques publiques. Même si les débats se sont apaisés, les droits culturels continuent de faire l'objet de réserves ou de critiques : ils seraient propices au communautarisme, au relativisme culturel, à une dérive populiste, etc. Dans la première partie de ce livre, plusieurs spécialistes s'emploient à déconstruire ces a priori en exposant une solide argumentation qui propose une contradiction et montre leur apport aux enjeux contemporains. La seconde partie du livre est consacrée à un certain nombre d'expérimentations qui ont placé les droits culturels au coeur de leur démarche. Aussi bien des politiques publiques que des actions émanant d'acteurs culturels ou de la société civile.

06/2022

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Histoire de France

La Grande Guerre au petit écran. Les imaginaires télévisuels de la Première Guerre mondiale

La guerre de 14-18 correspond à un champ télévisuel tellement familier qu’on en arriverait presque à le qualifier de "marronnier" si l’aspect mémoriel ne demeurait pas aussi fort dans l’esprit du public. Pour autant, commémoration ne sous-entend pas forcément réitération. Au fil des décennies s’est constituée une mémoire télévisuelle fondée sur la modulation complexe de thématiques et de formats pluriels, articulés ou non autour de la date emblématique du 11 novembre. L’ouvrage ici proposé entend explorer l’itinéraire selon lequel s’est en grande partie forgée la mission mémorielle de la télévision, partagée entre le patrimoine, l’émotion et la restitution historique du passé, et plus précisément la dimension très particulière du premier conflit mondial, toujours partagé entre édification héroïsante et répulsion pacifiste. C’est ce cheminement visuel collectif qui sera ici retracé, par les ruptures ou les correspondances du double corpus des fictions (diffusées toute l’année) et des ressources documentaires produites autour des 11 novembre successifs. La dimension scolaire ne sera pas oubliée. D’ores et déjà, la rareté des scènes de tranchées dans les feuilletons ou téléfilms, la relative abondance des fictions dans lesquelles la guerre est présente depuis la société civile de l’arrière comme "rumeur lointaine et invisible" du champ de bataille constitue un phénomène surprenant, à corréler avec la surreprésentation des images de tranchées dans l’offre documentaire. La plongée dans les archives permet également la redécouverte de curiosités oubliées, comme cette surprenante mise en abîme dans La Maison du passeur des frères Prévert (1966), dans laquelle un metteur en scène choisit comme lieu de tournage la maison d’un ancien combattant (Raymond Buissières), lequel s’imagine que le conflit reprend. La ou les mémoire(s) des hommes, des événements, des batailles, des symboles, des sociétés civiles seront interrogées par le traitement éditorial toujours spécifique de la télévision, afin de mettre au jour certains ressorts de la production de mémoire commune et ainsi permettre au lecteur une mise à distance critique des dispositifs passés ou à venir. Cette restitution des tensions et des enjeux liés à la commémoration de la "grande" guerre et de ses acteurs, anonymes et célèbres, permettra de décrypter certains stéréotypes et d’expliquer les principaux clivages historiographiques, obscurs aux yeux du grand public.

04/2014

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