Bibliothèques privées

Les appartements de certaines célébrités, arborent des bibliothèques qui n’ont rien à envier aux établissements publics. Des collections regroupant jusqu’à 60 000 ouvrages, comme c’est le cas de celle de Karl Lagerfeld (illustration ci-dessous).

The Great Book Robbery, un documentaire paru plus tôt au cours de l'année a pointé le fait que les étagères de la Bibliothèque nationale de Jérusalem recèlent actuellement près de 6000 livres ayant appartenu à des Palestiniens, qui ont fui leurs domiciles au cours des événements de 1948. Des ouvrages en arabe, portant la mention propriété abandonnée, tandis que des documents israéliens se rapportant à la guerre feraient état de 70.000 titres, au total, qui auraient été saisis dans des bibliothèques privées du pays. Le patrimoine culturel comme prise de guerre ?

La Free Library of Philadelphia propose le prêt du Nook Simple Touch à ses usagers au moins quinquagénaires désireux de s'essayer à la lecture numérique. Cependant, la machine choisie prive les usagers aveugles de ce programme, puisque le Nook Simple Touch n'est pas accessible aux déficients visuels.

La bibliothèque privée d’Umberto Eco était un lieu de culture extraordinaire : elle contenait environ 50.000 volumes de titres contemporains et 1500 livres rares et anciens. Après sa mort, elle a été donnée à la bibliothèque Braidense de Brera et à la bibliothèque de l’université de Bologne. Et aujourd’hui, elle est à l’origine d’un film qui nous fait plonger dans un lieu unique, où l’esprit de son créateur demeure toujours vivant.

L’hiver est enfin là — et avec lui, ses températures de plus en plus cruelles. La nuit, tout particulièrement, n’épargne personne. Dans la ville de Grenoble, des familles albanaises se sont réfugiées dans la bibliothèque de l’Alliance afin d’échapper au froid, la nuit dernière. 

Les bibliothécaires pensent depuis longtemps leur gestion des données personnelles de leurs usagers : l'inscription et le prêt de documents obligent par exemple à réunir des informations sur les personnes. Mais l'irruption des technologies dans les établissements de prêt et les nouvelles relations aux usagers posent des questions jusqu'à présent inédites. Marion Chovet, pour son mémoire de fin d'étude du diplôme de conservateur, s'est penchée sur ces questions.

L’homme de 48 ans, qui avait construit une impressionnante bibliothèque personnelle de textes scientifiques et universitaires, tous volés pendant des années au réseau des bibliothèques publiques et universitaires de la Vénétie, a finalement été arrêté.

Arrivées à son domicile, les forces de l’ordre ont découvert près de 140 livres qu’elle a manifestement dérobés à la Fnac. Cette habitante de Chamalières (Puy-de-Dôme) a été interpellée en fin de semaine dernière, alors qu’elle s’adonnait à son vice, dans la Fnac de Clermont-Ferrand. Et fut prise la main dans le sac avec une douzaine d’ouvrages qu’elle tentait de faire passer à l’as.

Face à différents principes, un choix devient forcément cornélien : une bibliothèque du Queens, à New York, a préféré annuler une exposition photographique signée par Drew Kerr. Les administrateurs de la bibliothèque ont estimé que la censure des 32 clichés de voyageurs pris dans le métro de New York était préférable au risque d'exposer l'identité de certaines personnes, susceptibles d'être en difficulté avec la loi.

La Sofia, Société française des intérêts des auteurs de l'écrit, créée en 1999, fête donc ses 20 ans en 2019 et propose, le 10 septembre prochain, une journée d'échanges et de rencontres qui reviendra sur les missions de la société de perception et de répartition des droits.

Depuis les révélations autour des dispositifs de surveillance de masse mis en place par l'Agence nationale de sécurité américaine, la fameuse NSA, les Américains oscillent entre paranoïa et fatalisme. Les activistes du projet Tor ne baissent pas les bras : ces informaticiens libertaires mettent en place et entretiennent un réseau sécurisé et anonyme pour l'échange de données. Et vont investir les bibliothèques du pays.

Une bibliothèque dépense 102.000 € en détectives privés pour traquer les impayés

La lutte contre la diffusion illégale des livres exige une certaine ténacité, un fait que les éditeurs du monde entier redécouvrent constamment. Alors que Z-Library et LibGen sont sous le feu des actions en justice, s'installe Anna’s Archive, une nouvelle pirate qui ne vise rien de moins que l'exhaustivité...

La bibliothèque a décidé d'ouvrir un forum pour les professionnels de la littérature jeunesse : musées, bibliothèques, maisons d’édition, entreprises privées, associations.

Le plus grand réseau social au monde comptait en mai 2013 1,15 milliard d'utilisateurs, avec 680 millions d'actifs. Dans la série des chiffres qui continuent de donner le vertige, on y recense 250 milliards de photos, et 4,75 milliards d'éléments de contenus publiés - photos, commentaires, statuts, liens, etc. Ajoutant 4,5 milliards de J'aime et 10 milliards de messages privés quotidiennement.

Les écoles privées ne connaissent pas la crise

Rappelant son attachement au livre, l’enseigne Fnac annonce la création d’une série de rendez-vous littéraires privilégiés : Pages privées, ce seront des rencontres littéraires VIP de la marque. Voici que se profilent 22 occasions de passer un moment avec des auteurs, partout en France, « en toute intimité et dans un cadre d’exception ».

Vous connaissez la chanson. Chaque semaine, les rédactions de ActuaLitté et Numerama croisent leur fil d'actualité pour vous proposer une revue de presse rassemblant le meilleur de l'information. Alors, profitez-en bien !

À l'occasion du Salon International du Livre rare et des arts graphiques deux bibliophiles exposent leurs collections privées. L'évènement se déroulera du 23 au 25 septembre au coeur du Grand palais éphémère à Paris.

Le déclin de l'université profite aux écoles privées

Les femmes privées d'érotisme et plus si affinités

Public Collectors cherche à faire connaître les collections privées

DOCUMENTAIRE JEUNESSE - “Les hommes n’ont jamais eu besoin d’être extraordinaires pour apparaître dans les livres d’Histoire”. Répétez cette phrase à voix haute, vous en saisirez encore mieux la portée. Alors que certains droits et libertés sont remis en cause à l’heure actuelle dans le monde, Femmes au fil du temps propose une Histoire au féminin, et parle des femmes ordinaires dans leur vie quotidienne.

L’histoire se répète, inlassablement, pour les monuments publics, autant que pour les espaces privés. En France, la maison de Colette souffre de restrictions budgétaires du fait de la désertion contrainte du public. Outre-Manche, le musée consacré aux sœurs Brontë connaît les mêmes déboires. Et, victime de la pandémie, cherche de l’argent.

L'Association des librairies marocaines accuse des écoles privées de concurrence déloyale en exerçant des activités commerciales consistant à vendre directement des manuels et des fournitures scolaires.

Pearson, groupe éditorial britannique présent sur plusieurs continents, fait partie de ces incontournables dans le domaine éducatif. Aux États-Unis, dans l'État de New York, la multinationale est accusée d'avoir enfreint le Video Privacy Protection Act, en permettant à Meta, le propriétaire de Facebook, de collecter des données sans consentement.

Les Néo-Zélandais aficionados d'Apple grognent, et on peut les comprendre. Si l'iPad est disponible depuis juillet sur l'île, l'iBookstore n'est toujours pas au point.

Une liberté de choix entre public et privé

Malala Yousafzai éprouve l'adage : nul n'est prophète en son pays. Et moins encore lorsque les responsables de l'action éducative au Pakistan, son pays d'origine, annoncent la censure de son livre. Les écoles privées du pays affirment que l'ouvrage ne respecte pas suffisamment le Coran, et considèrent qu'il s'agit d'une propagande favorable à l'Occident.