Bill Gates Maylis de Kerangal

Chaque année, avant que Mark Zuckerberg ne fasse de même, Bill Gates confie au public la liste de ses lectures de l'été. Non pas qu'il ne lise pas le reste de l'année, hein, mais Bill est quelqu'un d'occupé, et la période estivale est pour lui un moment de littérature et de découvertes. Parmi celles-ci, en 2017, Réparer les vivants de Maylis de Kerangal, recommandé par Melinda Gates elle-même.

Atout Livre est partenaire cette année du

Et une nouvelle fois, l'auteure récolte les lauriers. Avec son ouvrage Réparer les vivants, Maylis de Kerangal, publiée chez Verticales, remporte le prix des Lecteurs L'Express/BFMTV 2014. 

Ce matin à Réau en Seine-et-Marne, derrière les murs du Centre Pénitentiaire sud francilien, l'humeur était à l'évasion littéraire. Pour la première fois un jury de détenus, mixte, composé de 5 hommes et autant de femmes, a eu l'honneur de remettre le Prix Paris Diderot, Esprits libres à l'écrivaine Maylis de Kerangal pour son roman Réparer les vivants. Une initiative culturelle et participative réussie. Comme l'a si bien résumé l'un des jurés : « Je suis content qu'on ait ainsi été responsabilisés et je pense qu'on a été au rendez-vous. »

Pour cette 6e édition, les internautes et le jury du Prix Orange du Livre ont élu Maylis de Kerangal pour son roman Réparer les vivants, éditions Verticales. Christine Albanel, directrice exécutive en charge de la RSE, des Evénements, des Partenariats et de la Solidarité d'Orange, et Erik Orsenna, écrivain, membre de l'Académie Française et président du jury du Prix Orange du Livre, ont dévoilé mardi 27 mai le résultat du vote des internautes et du jury pour l'édition 2014.

Pour sa première édition, le prix étudiants France Culture-Télérama est revenu à Maylis de Kerangal pour son roman Réparer les vivants (Editions Verticales, 280 pages, 18,90 €), rapporte l'AFP. Successeur du Prix du livre France Culture-Télérama créé en 2006, le prix « Roman des étudiants France Culture-Télérama » sera remis à l'auteur lundi.

Le Prix Médicis a été décerné mardi 2 novembre à Maylis de Kerangal pour Naissance d'un pont publié aux éditions Verticales.

Poursuivons ce vendredi insolite avec une création originale, d'Isabelle Delatouche. Elle n'est pas « artiste, non pas vraiment », mais avec l'Anthologue, cette « installation d'art numérique », elle souhaite proposer quelques notes, quelques phrases de littérature, dans ce monde de brut. De ‘brut' en blanc, elle nous explique mettre son outil « au service de la littérature contemporaine que j'aime ». En avant !

Aurélie FIlippetti l'avait assuré sur France Inter cette semaine, la culture et le sport gagneraient à se rejoindre. Invitée pour le 7/9, la ministre avait évoqué le sujet, sans probablement savoir que l'actualité lui donnerait raison à ce point. En effet, dans le cadre de Marseille-Provence 2013, où la ville phocéenne deviendra un pôle culturel européen, le club de foot, l'Olympique de Marseille, est devenu partenaire.

Quelques mois après Réparer les vivants, un autre livre de Maylis de Kerangal se retrouve au cinéma : Corniche Kennedy, de Dominique Cabrera, est l'adaptation du roman homonyme publié en 2008 par les éditions Verticales.

Eh bien nous y voilà. Les nouveaux lauréats du jour pour le prix Médicis sont désormais connus... Depuis quelques minutes les auteurs viennent d'accéder à la consécration ultime dans les catégories suivantes : roman français, étranger et essai.

Il a fait découvrir à de nombreux lecteurs les enjeux de la transplantation cardiaque : Réparer les vivants, de Maylis de Kerangal, vient de recevoir le très prestigieux Wellcome Book Prize, qui salue chaque année un livre « qui évoque avec brio les thèmes de la santé et de la médecine ». C'est la première fois qu'une auteure française, mais aussi qu'un roman traduit, remporte le prix.

L'auteure Maylis de Kerangal a reçu le Prix des Vendanges Littéraires, qui lui sera décerné dans le cadre du festival du même nom, organisé à Rivesaltes les 5 et 6 octobre prochains. Son livre Kiruna, écrit à l'occasion d'une résidence et publié par les éditions La Contre Allée, mais aussi Un monde à portée de main (Verticales), ont tous deux été remarqués.

En Italie, le Premio Gregor von Rezzori est un prix littéraire qui consacre chaque année une oeuvre étrangère traduite en italien. Son lauréat 2014, pour la huitième édition, n'est autre que le roman Naissance d'un pont publié par l'écrivaine française Maylis de Kerangal en 2010. Le livre a déjà été récompensé en sa version originale des prix Médicis et Franz Hessel. Il raconte le chantier de construction d'un pont autoroutier dans une ville fictive de Californie.

Du 1er au 3 février 2019, Jardins d’hiver, festival littéraire aux Champs Libres à Rennes, ouvre ses portes pour une deuxième saison. La programmation donne carte blanche aux auteurs et à tous les chemins artistiques qui mènent à la littérature. Maylis de Kerangal a été annoncée comme invitée d'honneur de l'événement.

Chaque année, le Man Booker International Prize, un des plus importantes récompenses littéraires au monde, salue « une réussite dans le domaine de la fiction, au niveau mondial » en sélectionnant des livres en anglais ou disponibles en traduction anglaise, dans le monde entier. La première sélection vient d'être révélée, et — cocorico — deux auteures françaises en font partie.

Pour sa 14e édition, Lire en Poche, le salon du livre de Gradignan met une fois de plus les petits plats dans les grands. Cette année, « Émotions fortes » garanties, sous le parrainage de Maylis de Kerangal. Rendez-vous à prendre du 12 au 14 octobre prochains.

Succédant à Patrick Chamoiseau, Maylis de Kerangal devient la nouvelle titulaire de la chaire d'écrivain de Sciences Po, a annoncé l'établissement d’enseignement supérieur et de recherche. Quatrième titulaire de cette chaire, elle a commencé ses enseignements ce mois de septembre 2020.

Chaque été, c'est la même chose : les recommandations de lecture, pour la plage ou ailleurs, fleurissent, et chacun y va de son petit conseil. Dans le genre, Bill Gates reste quand même plus suivi que la plupart des quidams, probablement en raison de son poids économique. Dans ses recommandations pour 2014, Gates avait glissé Business Adventures, « le meilleur livre d'économie » qu'il n'avait jamais lu. La main invisible de l'économie a fait le reste...

Il a pris un petit coup de vieux, ce bon Bill. Faut avouer que, depuis qu'il s'est retiré de Windows et Microsfot, pour se consacrer à la Fondation Bill et Melinda Gates, on lui en veut moins de ce système d‘exploitation passablement... perfectible. Ses activités sont aujourd'hui centrées sur la lutte contre l'illettrisme, et l'aide aux pays en développement. Mais de temps à autre, un bon bouquin, il n'a rien contre. 

Depuis 2011, Bill & Melinda Gates, à la tête de la fondation du même nom, publient une lettre annuelle qui fait le point sur les grandes lignes que devrait connaître l’innovation durant l’année qui débute. Et, pour 2015, c’est l'e-learning qui leur semble avoir tout particulièrement le vent en poupe, rapporte educadis.

Toujours en panne d’inspiration pour vos lectures estivales ? On a encore une liste de titres à vous proposer, et pas des moindres, puisque c’est celle de Bill Gates, le cofondateur de Microsoft. Et en bonus, dans sa vidéo de présentation, chacun des titres est présenté par un petit chiot. Comme ça, si vous n’êtes pas convaincu pas le titre, vous le serez peut-être par l’animal…

L'ancien grand patron de Microsoft, Bill Gates, aujourd'hui milliardaire altruiste luttant en faveur de l'éducation et de l'alphabétisation, s'est dernièrement fait remarquer. Dans le bon sens : selon lui, le système éducatif américain devrait assurer une formation commune pour tous, impliquant une maîtrise avancée d'une ou deux matières. Mais surtout, « tout le monde devrait apprendre le langage machine », assure-t-il. Autrement dit, apprendre à coder...

L’ancien grand patron et cofondateur de Microsoft, Bill Gates, s’est prêté au jeu des questions-réponses, posées par le New York Times. Puissance financière à lui tout seul, il est également un grand lecteur et revendique une cinquantaine d’ouvrages par an. La lecture est un véritable enjeu, « l’un de mes principaux moyens d’apprentissage », assure-t-il, et ce, « depuis que je suis gamin ».

A travers sa fondation, Bill Gates a déjà dépensé un demi-milliard de dollars pour l'éducation. Mais, depuis quelque temps, l'informaticien de génie s'est attelé à un autre projet : réformer le principe qui structure les programmes scolaires américains, rapporte Rue89, reprenant une information du New York Times.

Internet va supplanter l’enseignement supérieur. Une curieuse prédiction mais qui a l’honneur de provenir de Bill Gates, invité d’une conférence organisée par Techonomy vendredi dernier.

Upheaval: Turning Points for Nations in Crisis, de Jared Diamond

Froid glacial, musiques sirupeuses, décorations diverses : plusieurs indices annoncent les fêtes de fin d'année. Les recommandations littéraires de Bill Gates en font partie, tant le fondateur de Microsoft est fidèle à cette tradition. Cette année, toutefois, le milliardaire a fait une place pour quelques librairies américaines...

Tarantino retravaille la séquence animée de Kill Bill