Bookscan

On est toujours mieux armé avec une vision globale mais très précise du marché. Le livre ne déroge pas à la règle. Antoine Gallimard a exprimé le souhait d'accéder à un outil permettant d'obtenir des chiffres précis sur les tendances des lecteurs, un outil aussi performant que BookScan.

Ce 29 juillet, l'institut Nielsen célèbre pour son baromètre des ventes, inaugure un outil pour l'industrie du livre au Brésil. C'est le dixième marché mondial que Nielsen va couvrir, en recueillant les ventes de livres imprimés directement chez les revendeurs. Avec une population d'après de 200 millions d'habitants, on comprend que le secteur dispose d'un fort potentiel. 

Jim King, vice-président de Nielsen BookScan s'en va

Lors de la conférence annuelle de l'Independent Publishers Guild's, tenue cette semaine près d'Oxford en Angleterre, plusieurs éditeurs ont soutenu que les éditeurs devaient devenir des experts sur les prix, et non plus s'appuyer principalement sur les analyses de Nielsen BookScan consacrées aux ventes de livres.

En début de semaine, c'est le Wall Street Journal qui annonçait un partenariat avec Nielsen BookScan, pour proposer chaque semaine une liste des meilleures ventes réalisées, en numérique.

Selon Nielsen BookScan, le marché des États-Unis ont diminué de 4,4 % sur l'année 2010, conformément aux chiffres arrêtés le 26 décembre, pour ce qui est des ventes de livres imprimés.

La dernière semaine de juillet a été marquée par un déclin de 32 % des ventes de livres papier aux Etats-Unis, en comparant le nombre de livres vendus cette même semaine en 2011, selon Nielsen BookScan.

La semaine passée, la nouvelle avait fait son petit effet : les ventes de livres numériques dans certains secteurs de l'édition dépassaient celles des ventes papier. Ainsi, selon Nielsen BookScan, romance et science-fiction s'en sortaient plutôt très bien...

Nielsen BookScan vient d'endosser le manteau du grand Satan : nous y sommes, la fin du Monde est proche, le livre est foutu, on va tous mourir. Surtout vous, d'ailleurs, parce que moi, j'ai pas vraiment l'intention de me laisser faire !

Nielsen BookScan vient de révéler son classement des 20 graphic novels pour adultes les plus vendus sur le mois de septembre dans les librairies américaines. Première constatation sur 20 titres 12 sont des manga. Et le premier titre américain classé est Habibi de Craig Thompson à la 4e place.

Le livre fait décidément partie des marchés culturels qui ont pu, selon les pays, se sortir assez bien de la première année de la crise sanitaire. En Irlande, les ventes de livres ont ainsi connu une croissance de 14 millions €, selon Nielsen BookScan, pour atteindre un niveau jamais vu depuis 2008...

Les chiffres sont bien là, et Nielsen BookScan est implacable : aux États-Unis, les ventes de livres imprimés ont diminué de 2,5 %, avec 501,6 millions d'exemplaires écoulés en 2013. La vente au détail et au travers des clubs, incluant Amazon, représente 81 % des exemplaires vendus en magasins, assure Publishers Weekly. 

Un rapport de Nielsen BookScan repris sur le Guardian, annonce que les ventes de livres imprimés ont perdu plus de 150 millions £ au cours des cinq dernières années. Alors que de plus en plus de lecteurs migrent vers le livre numérique, le secteur de la fiction adulte est en perte de vitesse depuis 2009. 

La vente de livres imprimés a poursuivi sa croissance, au cours de l’année 2016, constate Nielsen BookScan. Sur le territoire américain, la hausse est ainsi de 3,3 % en regard de 2015. Mais surtout, on peut parler de tendance, puisqu’il s’agit de la 3e année consécutive où l’on enregistre cette augmentation.

L'année 2020, marquée par des confinements et des mesures sanitaires au Royaume-Uni, n'aura finalement pas laissé d'empreinte si négative sur l'industrie du livre. Au contraire, même : selon des données de l'institut Nielsen BookScan, les ventes de livres imprimés, en volume, ont augmenté de 5,2 % sur l'année écoulée.

Bien mal acquis ne profite jamais, tout particulièrement quand il s’agit d’honorables classements des meilleures ventes de livres. Mark Dawson avait tenté de flouer la comptabilité du très british Nielsen BookScan. Il vient de prendre un revers de flamme — au moins a-t-il savouré son quart d’heure warholien de gloire.

Cette année 2022 que l’on espérait normale dans l’industrie du livre finira comme redoutée : étrangement. En Italie, les données de Nielsen BookScan que communique l’Associazione italiana editori font état d’une baisse – entre 1,1 % et 1,8 % en regard de 2021. Année historique, l’an passé donne presque des regrets…

Si en France, le Syndicat des éditeurs assure que finalement, l'année 2012 n'a pas été si mauvaise que cela, les chiffres de vente de livres papier outre-Atlantique font particulièrement grise mine. Selon les données de Nielsen BookScan, ce sont 9 % de baisse qui ont été constatés, le même que celui des années précédentes, 2010 et 2011. 

Une étude de Nielsen Bookscan dévoilée par l'Irish Publishing News estime qu'après la fusion entre Penguin et Random House, le nouveau groupe aura une part conséquence du marché irlandais, avec plus de 22 % des parts. Car la nouvelle entité englobera Penguin Ireland et Transworld Irland, respectivement filiales de Penguin et de Random House (au travers de Transworld).

Les éditeurs américains peuvent pousser un soupir de soulagement, selon la société NPD BookScan, spécialisée dans le traitement des données relatives à l'industrie du livre. Au 5 juin 2020, les ventes de la catégorie littérature adulte ont augmenté de 1,5 % par rapport à l'année précédente, malgré le confinement et les troubles causés par l'épidémie du coronavirus.

La Foire du livre de Londres bat son plein, et les études présentées se multiplient, entre deux déclarations fortes apostrophant l'industrie du livre, et vaticinant à tout crin. Ainsi, la dernière analyse en date, réalisée par Nielsen BookScan et Kantar Worldpanel démontre que les consommateurs qui entrent dans le marché du livre numérique achètent bien plus. Problème : ils achètent plus chez Amazon...

L'une des grandes forces d'Amazon dans son service d'édition est de proposer aux auteurs les résultats de vente de livres, en leur donnant l'accès aux chiffres Nielsen BookScan. Depuis lundi, l'édition tremble en pensant qu'Amazon va définitivement se positionner comme un éditeur. Et sa réaction a été de se calquer sur le modèle du grand méchant marchand.

Tous les ans, Brian Hibbs, spécialiste du secteur, analyse le marché de la bande dessinée à travers le prisme du rapport de BookScan, du groupe américain Nielsen, qui fournit des données sur l'industrie du livre. Le constat pour 2014 est sans appel : ce sont les bandes dessinées destinées aux enfants et les femmes auteures qui se placent en tête du classement.

Le marché britannique du livre numérique, en cette fin d'année 2012, représente désormais 7 % des ventes totales de livres dans l'archipel, d'après l'étude BookScan régulièrement proposée par Nielsen, et relayée par The Bookseller. Le Royaume-Uni compterait 4 millions de nouveaux lecteurs ayant adopté l'ebook, alors que les concurrents et les offres commerciales se sont multipliés.

L'auteur le plus riche du monde est aussi, sans surprise, celui qui vend le plus de livres. Aux États-Unis, du moins : le service NPD BookScan a partagé ses résultats en matière de relevé des ventes d'ouvrages outre-Atlantique, imprimé et numérique confondus. James Patterson en sort premier haut la main, devançant Stephen King, David Baldacci, J.K. Rowling ou encore John Grisham.

Les listes de meilleures ventes de livres sont des petites habitudes au sein de la presse américaine, aussi bien pour les amateurs de livres que pour ceux d'économie. Le Washington Post pensait bien faire et gagner en précision en incluant aux données de NPD Bookscan celles d'Amazon — Jeff Bezos étant propriétaire du journal depuis 2013. Sauf que des problèmes techniques ont faussé les résultats depuis... mai 2018.

Des chiffres comme on n'en avait pas vu depuis le milieu des années 90. La semaine dernière, une étude Bookscan (institut Nielsen) faisait état de 715 millions $ de recettes pour le secteur. Rien que pour la seule année 2012, la hausse des ventes atteignait 35 millions. Une somme d'autant plus réjouissante qu'elle ne prend pas en compte le format numérique ni les achats menés par les bibliothèques.

Le livre Girl Online, premier roman de Zoe Sugg, aka Zoella, la jeune star de Youtube, fait un véritable carton en librairies britanniques selon Nielsen BookScan. Un succès probablement prémédité du côté de l'éditeur, Penguin Random House, et désormais estimé à plus de 78.000 exemplaires vendus dans le Royaume-Uni, en une semaine à peine. Un record, dans la catégorie premier roman, qui dépasse ceux de JK Rowling ou de Dan Brown.