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Bossuet

Extraits

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Critique littéraire

Langue morte. Bossuet

Des vies, mais telles que la mémoire les invente, que notre imagination les recrée, qu'une passion les anime. Des récits subjectifs, à mille lieues de la biographie traditionnelle. L'un et l'autre : l'auteur et son héros secret, le peintre et son modèle. Entre eux, un lien intime et fort. Entre le portrait d'un autre et l'autoportrait, où placer la frontière ? Les uns et les autres : aussi bien ceux qui ont occupé avec éclat le devant de la scène que ceux qui ne sont présents que sur notre scène intérieure, personnes ou lieux, visages oubliés, noms effacés, profils perdus.

09/2009

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Revues

Revue Bossuet N° 12/2021 : Bossuet et l'Angleterre

Contributeurs : Christian Belin, Emma Gilby, Sophie Hache, Jonathan Koch, Pierre Lyraud, Michaël Moriarty, Nicolas Pelleton, Jean-Louis Quantin, Anne Régent-Susini, Gesa Stedman, Laurent Thirouin, Clément Van Hamme et Steven N. Zwicker.

12/2021

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Autres éditeurs (A à E)

Bossue

Dans un village à l'orée des bois, vivent deux soeurs, Ada la bossue et Cha la cruelle. Un soir, désespérée par la perfidie de son aînée, Ada s'enfuit. Dans la forêt profonde, elle y fera une rencontre inattendue et mystérieuse, qui bouleversera l'ordre des choses...

01/2022

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Religion

Bossuet. Echo de Tertullien

S'il est toujours enrichissant de voir deux grands esprits se rencontrer sur les thèmes essentiels qui les font l'un et l'autre vibrer, il n'est pas moins instructif - et il est édifiant - de voir l'un d'entre eux à ce point fasciné par l'autre que, tout spontanément, il en vient à couler sa pensée dans la sienne, retenant même sa formulation, tant elle l'a profondément marqué. Cette impression de vraie grandeur et de modestie à la fois, on ne peut pas ne pas l'éprouver, presque chaque fois que Bossuet évoque Tertullien ; ce qu'il fait jusqu'à deux cent cinquante fois dans ses seules Œuvres oratoires ! Qui faut-il le plus admirer : l'inspirateur ou l'inspiré ? A vrai dire ils ne font vraiment qu'un ; et Bossuet n'eût pas été entièrement lui-même sans Tertullien. C'est ce dont les textes ici réunis fourniront la preuve de chaque page.

10/1980

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Religion

Bossuet en ses ascendances

Circumduxit eum (Dominus) et docuit et custodivit quasi pupillam oculi (Deut. XXXII. - 10). Le Seigneur l'a conduit par la main, l'a enseigné, l'a préservé, comme la prunelle de son œil ! C'est en ces termes lyriques du livre du Deutéronome que Jacques Bossuet, qui lisait la Bible, en attendant la délivrance de sa bru, salua la naissance de son petit-fils, Jacques-Bénigne, le 27 septembre 1627, à Dijon. Paroles assurément prophétiques, si l'on considère l'éclat dont Bossuet allait illuminer son siècle et la postérité. Mais ne traduisaient-elles pas aussi, et très fidèlement, les prévenances dont le ciel avait pris soin d'entourer cet enfant prédestiné, en le faisant naître à cette époque, en terre bourguignonne, de souche si exceptionnellement vigoureuse ? Nul homme, dans le plan divin, ne devient, comme il ne nait tout entier. Ce qu'il est, s'il le doit en partie à lui-même et à son comportement personnel, comme à son temps et aux événements déterminants qui ont traversé son existence, il n'en est pas moins redevable aux ressources latentes de sa nature, héritées de ses ancêtres, en sa terre natale, de telle sorte que son génie et sa vie ne s'expliquent pleinement qu'à la lumière de ses origines. A ce titre, c'est déjà travailler à deviner et à comprendre Bossuet que d'étudier sa préhistoire et de remonter la double lignée de ses ancêtres. Il nous livre, en ses ascendances, une préparation de lui-même.

01/1965

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Littérature étrangère

Le bosquet

En trois tableaux et trois voyages, ce roman dessine des itinéraires italiens, loin des sentiers battus. Le premier trajet qu'emprunte la narratrice, seule, avait été planifié à deux. Mais M. , l'être aimé, est décédé deux mois plus tôt. Nous sommes en janvier, et les brumes enveloppent les collines autour d'Olevano, près de Rome, où une maison avait été louée par le couple. La narratrice a emporté quelques vêtements du défunt, mais on lui dérobe la valise juste avant son arrivée. Elle essaie de prendre ses marques malgré tout, se promène dans les oliveraies, va jusqu'au cimetière de la petite commune, se renseigne sur les gens enterrés sur place. Un autre souvenir d'Italie lui revient. Elle est adolescente, son père est amoureux de la langue italienne et du pays. Une effrayante dispute entre ses parents précède alors un incident sur la plage, quand le père nage si longtemps et si loin de la côte que tout le monde le croit noyé. La petite fille pense qu'elle devra rester en Italie et se débrouiller avec les quelques mots que le père lui a appris... Puis la narratrice adulte entreprend un autre voyage en explorant la région du delta du Pô. Elle cherche le jardin des Finzi-Contini à Ferrare, longe des canaux déserts et découvre des stations balnéaires abandonnées. Elle visite une nécropole étrusque, et devant les mosaïques de Ravenne, repense à son père et à ses explications. Les choses rapportées, les anecdotes et péripéties se déploient sous nos yeux dans des nuances infinies pour dire les couleurs, les odeurs d'un bosquet, d'une colline, d'une plage, d'un canal, d'un olivier, du ciel. En creux, ce texte d'une infinie richesse, sublimant les paysages et les lieux traversés par une langue inouïe de précision, raconte le deuil, l'absence et l'amour.

02/2020

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