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Littérature française

Bouvard et Pécuchet

Comme d'habitude, tout commence par un chapeau. Dans celui de Bouvard, il est inscrit "Bouvard". Dans la casquette de Pécuchet : "Pécuchet". Deux petits employés parisiens qui ne se connaissent pas et ont choisi, par hasard, pour s'asseoir, le même banc. De cette rencontre inopinée naît un projet faramineux : étudier, compulser, recopier tous les livres - tout le savoir du monde. Astronomie, philosophie, mathématiques, rien n'échappera à l'aveugle curiosité des deux maniaques. Mais rien n'en sortira non plus, que le gros rire de Gustave Flaubert - qui livre là son ultime camouflet à la face de la Bêtise...

06/2019

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Littérature française

BOUVARD ET PECUCHET

Un après-midi d'été, Bouvard et Pécuchet se rencontrent sur un banc. Ils découvrent qu'ils ont les mêmes centres d'intérêt, et décident de se lancer ensemble dans l'agriculture ; n'ayant aucune connaissance sur le sujet, ils échouent rapidement. Les deux amis se penchent alors sur les sciences, puis sur la littérature, la politique, l'amour et la philosophie. Mais ils vont d'erreur en erreur et d'échec en échec. Une farce cynique, qui se moque allègrement de ceux qui prétendent tout savoir alors qu'ils ne savent rien. La pièce est représentée au Théâtre de la Ville à partir du 26 septembre 2017 dans une mise en scène de Jérôme Deschamps avec Jérôme Deschamps, Lucas Hérault, Micha Lescot et Pauline Tricot.

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Petits classiques parascolaire

Bouvard et Pécuchet

Quand la quête encyclopédique tourne à la farce... Un auteur : Flaubert, créateur de formes romanesques Une œuvre : L'épopée drolatique de la bêtise humaine à travers la recherche absurde de deux bonshommes. Un genre :Le roman parodique.

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Critique littéraire

Bouvard, Flaubert et Pécuchet

Las de la canaillerie moderne, dévoré de chagrins et de nostalgies, Flaubert entreprend en 1872 le roman d'une union indéfectible. "L'amitié de deux hommes, écrit-il, tout ce qu'il y a de plus beau sur la terre". Ce que nous conte Bouvard et Pécuchet, au-delà des lieux communs de la bêtise ou du commentaire, ce n'est pas seulement une suite, plus ou moins farce, de tentatives et de déboires, un défaut de méthode, et toute la distance de l'imprimé au monde, mais un coup de foudre suivi d'un établissement : soit le ménage campagnard de deux retraités, anciens employés, d'une fidélité à toute épreuve, heureux de s'instruire et de persévérer ensemble. Telle est l'arête du livre. Le jour où, vieillards, ils décident de se remettre à la copie, prenons garde qu'il ne s'agit pas d'une reconduction pure et simple. Car cette dernière vie, ils l'entament de concert et côte à côte, comme l'indique le double pupitre de leur invention.

12/1990

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Critique littéraire

La France d'Alphonse Boudard

Alphonse Boudard mérite le détour. Au terme d'une vie fort riche, que beaucoup pourraient lui envier malgré les épreuves traversées, il a connu tellement de choses si différentes: la guerre, les bordels, les voyous, la prison, la maladie, le succès et les lettres, l'amour... Expert ès comédie humaine, Alphonse a aussi fait son miel de ces personnages loufoques, croisés durant son sacré périple, dont il raffole. Après avoir tant vécu, et tant écouté, il nous restitue cet étonnant bestiaire humain dans sa longue suite romanesque, ces "vacances de la vie" ou "chroniques de mauvaise compagnie". Le tout dans une langue savoureuse, gorgée de trouvailles et de vie. L'oeuvre d'Alphonse est toute entière une ode à l'amitié, au rire, à la liberté, à la vie, indestructibles malgré les coups du sort. Pierre Gillieth nous la restitue ici, aidé par les confidences de Gisèle Boudard (l'épouse d'Alphonse) et par la correspondance privée de l'auteur avec ses amis Michel Déon et Bartolomé Bennassar.

11/2011

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Humour

Bouvard de A à Z

Soucieuse de proportionner la longueur de ses textes à la hauteur de sa taille, la nature a offert à Philippe Bouvard le sens du raccourci. Du premier âge où il a balbutié " Phiphi aime papa" au grand âge où il a écrit "Il n'y a que l'argent qui aide à oublier qu'on n'est pas riche", il a multiplié pensées et maximes, aphorismes et apophtegmes dans le double dessein d'économiser le papier et de ne pas abuser de l'attention de ses lecteurs. Grâce à sa déformation d'esprit qui tend à substituer à une logorrhée souvent relâchée une concision plutôt ciselée, il a parsemé de milliers de petites phrases des oeuvres tragiquement incomplètes. S'inclinant devant le seul ordre qu'il respecte - l'alphabétique - ce volume a le mérite de proposer ses meilleures formules en meublant les esprits sans encombrer les bibliothèques.

09/2014

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