Recherche

Breivik

Extraits

ActuaLitté

Criminalité

Utoya

"L'écriture d'Utoya relève du génie" Augustin Trapenard Je m'appelle Anders Behring Breivik. J'ai 32 ans. Je suis norvégien. J'ai tué 77 fois. Aujourd'hui, je voudrais m'excuser. M'excuser de ne pas avoir exécuté davantage de traîtres. Essayiste et romancier à succès, Laurent Obertone nous livre ici une expérience vertigineuse : vivre dans la tête du tueur la genèse, la préparation et l'exécution du plus grand massacre à main armée jamais commis par un homme seul. "Une plongée fascinante dans le cerveau du tueur" Le Point "Incroyable, inlâchable" Le Figaro "Un livre impressionnant et glaçant, terrifiant et nauséeux mais indéniablement abouti" Valeurs Actuelles

01/2023

ActuaLitté

Sociologie

Le rire des bourreaux. Essai sur le plaisir de tuer

Qu'est-ce qui nous glace et nous sidère dans le rire du bourreau ? Et pourquoi refusons-nous de le prendre au sérieux ? C'est ce que fait ici Klaus Theweleit qui, dans la lignée de ses travaux sur la masculinité violente, explore le sens de ce rire, signe ostensible du triomphe, démonstration d'une puissance invulnérable. Des SS à Anders Breivik, des génocidaires hutu au Rwanda aux assassins de l'Etat islamique, les meurtriers de masse expriment surtout une joie obscure : par l'exercice de la violence muée en performance - mélange d'enseignement, de théâtre et d'exécution d'un crime - le tueur accède à un statut d'assassin divin. Il se rira ensuite de toute autre espèce de juridiction et, sur le banc des accusés, opposera aux magistrats le rictus ou les éclats démoniaques de celui qui a déjà jugé ceux qui le jugent.

03/2019

ActuaLitté

Travail social

Radicalisation. Le reflet sombre d’une société vulnérable

Un livre de dialogue avec des jeunes bruxellois sur la radicalisation. En collaboration avec des jeunes bruxellois. Les causes de la radicalisation. La société en transition comme fil rouge La "radicalisation" est un terme vague qui ne rend pas justice au phénomène complexe auquel il se réfère. Par ailleurs, les discussions sur le thème de la radicalisation sont de nature à susciter des conflits et de la polarisation. Comment introduire des nuances dans les conceptions stéréotypées et les images préconçues d'un ennemi ? Ce livre répond à cette question. Les auteurs reviennentsur la période douloureuse des attentats de Paris et de Bruxelles : l'époque de l'attrait de la guerre civile en Syrie, du siège de Molenbeek et de la fermeture temporaire d'un club de boxe. Mais par-dessus tout, ils ont écrit un livre de dialogue avec des jeunes bruxellois. Les dialogues ne se concentrent pas sur la radicalisation en tant que telle, mais la considèrent comme le reflet sombre d'une société vulnérable. L'on y entend discuter les jeunes sur la différence entre Nelson Mandela, Anders Breivik et Salah Abdeslam. Ils évoquent un enseignement discriminatoire, des violences policières et les blessures infligées par l'injustice.

03/2023

ActuaLitté

Littérature étrangère

Vous n'êtes pas venus au monde pour rester seuls

Une voiture approche et le temps semble s'arrêter dans la petite ville de Foldnes, en Norvège. Nous sommes le 29 juillet 2011, une semaine après le massacre perpétré par Anders Breivik sur l'île d'Utoya où soixante-neuf personnes, des jeunes pour la plupart, furent abattues. Sella observe ses voisins dans le véhicule : la mère au volant, le père à côté, les deux garçons à l'arrière et une place restée vide. Ils rentrent chez eux sans leur fille, leur soeur, assassinée au cours de l'attaque. Sella et son mari vivent depuis longtemps près de cette famille qu'ils ne connaissent pas. Pourtant, eux aussi ont perdu un enfant il y a plusieurs années. Leur fils adoptif, d'origine philippine, était parti à dix-huit ans sur les traces de ses parents biologiques. Il ne rentra pas. Dévastée par cette disparition, Sella aimerait aujourd'hui être présente pour ses voisins, mais peut-on être solidaire de la douleur de l'autre ? Vous n'êtes pas venus au monde pour rester seuls interroge le sens du deuil collectif, du deuil intime et du deuil par procuration. Evjemo installe une atmosphère hyperréaliste au service d'une histoire dont le terrorisme n'est pas l'objet mais le coeur. Une fiction sur l'état de nos sociétés post-attentats. Un texte important, poignant.

08/2017

ActuaLitté

Psychologie clinique

La fabrique du terroriste solitaire. Une investigation clinique

La question du terroriste solitaire fait polémique. Longtemps appelé "loup solitaire", il n'a généralement rien d'un ermite. Qu'il se soit radicalisé par des contacts directs ou sur Internet, qu'il ait un passé de délinquant ou soit diplômé de l'enseignement supérieur, ce terroriste qui organise et commet seul son action, au nom d'une idéologie extrémiste, constitue un véritable défi pour les services de renseignement et pour la sécurité dans une démocratie. A ce jour, en France, aucun ouvrage n'a essayé de comprendre très concrètement le parcours de ces individus. Aucun n'a étudié dans le détail leurs particularités psychologiques. Réunissant toutes les sources disponibles, Patricia Cotti présente dans ces pages l'histoire de quelques-uns de ces assaillants et criminels solitaires, islamistes ou d'extrême droite : Anders Breivik (Oslo, 2011), Tamerlan Tsarnaev (Boston, 2013), Dylann Roof (Charleston, 2016) et Abdallah El-Hamahmy (Paris, 2017). Dans quel environnement ont-ils grandi ? Quelles relations ont-ils nouées avec leurs proches ? Comment ont-ils basculé dans l'extrémisme puis pris la décision d'un passage à l'acte ? Quels processus psychiques accompagnent leur engagement vers le crime et la mort ? Ecrit en termes clairs, ce livre s'adresse aux professionnels psychologues et psychiatres, magistrats et avocats, éducateurs, policiers, personnels des services de probation et d'insertion. Il passionnera aussi les lecteurs intéressés parla psychologie des extrêmes, la psychopathologie et la criminologie.

03/2021

ActuaLitté

Psychologie, psychanalyse

Cultures, métissages et paranoïa

Choc des cultures. D'un côté, le désir affirmé d'un métissage généralisé, d'un multiculturalisme conquérant, d'une créolisation du monde, conçus comme antidote au racialisme nazi, à la glorification des identités ethniques, à la haine des droits de l'homme, ce puissant dissolvant égalitaire des communautés. De l'autre côté, la nécessité de maintenir les différences, d'établir des frontières, de considérer us et coutumes hérités, mais en récusant radicalement toute idée de hiérarchie culturelle : le barbare, c'est celui qui croit en la barbarie. Pourtant, l'homme occidental s'est souvent octroyé le droit d'imposer aux autres ses valeurs, celui de coloniser, voire d'esclavagiser. La conquête sud-américaine, le destin des peuples noirs, en fournissent de trop parfaites illustrations. Psychiatrie coloniale mais aussi Frantz Fanon et l'école de Fann. Modernité : le combat pour la liberté individuelle absolue, pour des identités fluides, choisies, sans racines. Archaïsme : les appartenances communautaires et ethniques, même acceptées démocratiquement, qui procurent sécurité et reconnaissance ? La psychanalyse est-elle d'ailleurs valable pour tous les âges et continents ? Le mépris affiché pour certaines cultures - mais peut-on tout tolérer - entraîne sentiments victimaires de honte, d'abandon, de dépression mais aussi de révolte. La Nation républicaine, née de la Révolution française, permet-elle d'assurer la synthèse entre identité collective, au détriment des particularités, et liberté individuelle ? La paranoïa risque de surgir à tout instant lors de ce parcours. Breivik et Merah passent à l'action meurtrière, à mille lieues d'une utopique fraternité universelle.

03/2014

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté