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Bruno Foucher Institut français

Dossiers

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Dossier

Le Grand Prix de l'Académie française

Prix annuel, créé en 1914, le Grand Prix de l'Académie française vient récompenser l’auteur du roman que l’Académie a jugé le meilleur de l’année. Doté de 10.000 € depuis 2016, il est habituellement décerné à la fin du mois d'octobre, au cœur de la rentrée littéraire.

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Dossier

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF)

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF) est une association créée en 1873 par le Cercle de la librairie pour être au service des éditeurs en facilitant leur développement à l'international, l'exportation des titres, mais aussi les achats de droits de traduction. Aujourd'hui, cette mission est sensiblement la même.

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Dossier

Milan Kundera par ses livres : la passion française

Milan Kundera est né le 1er avril 1929 à Brno, en Tchécoslovaquie (aujourd'hui République tchèque). Il est l'un des écrivains les plus importants et les plus influents du 20e siècle. Ses écrits, qui abordent des thèmes tels que l'amour, l'existence et l'identité, sont connus pour leur complexité et leur profondeur philosophique.

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Dossier

Le théâtre du XVIIe au XXIe siècle - Programme de français 1ère

Pour la classe de Première en voie générale, le curriculum de français présente quatre domaines d'exploration. Pour l'année académique 2023-2024, le sujet "Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle" a été renouvelé.

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Dossier

Philippe Curval, le touche-à-tout des lettres française

Philippe Curval est né à l'aube des années trente, a côtoyé les surréalistes, a fréquenté de nombreux écrivains comme Boris Vian ou Topor, participé à la naissance de la première librairie de science- fiction, de la première revue de science-fiction. 

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Dossier

De l'auteur à la création : le rapport Racine, une nouvelle politique publique

141 pages de constats, d’observations, de commentaires, découlant des différentes auditions menées ces derniers mois : le rapport de Bruno Racine fait office de pavé dans la mare, lancé depuis les hauteurs de la tour Montparnasse. Et le ministre de la Culture, Franck Riester, se laisse encore quelques semaines avant de présenter les mesures qui en découleront.

Extraits

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Beaux arts

François Boucher. L'odalisque brune

Premier peintre du roi Louis XV et directeur de l'Académie royale de peinture et de sculpture, François Boucher (1703-1770) mène une des plus brillantes carrières artistiques du siècle des Lumières. Sollicité tant par l'administration royale que par les cours étrangères, il fournit modèles et décors qui inspirent l'Europe entière. En 1765 une gravure équivoque divulgue au public la composition d'une de ses oeuvres érotiques les plus audacieuses : une belle jeune femme brune, voluptueuse et dénudée, étendue sur un sofa d'inspiration turque. Les draperies abondent, comme pour désigner le processus de "dévoilement" en cours sur la toile. L'oeuvre semble évoquer autant un imaginaire du harem que l'univers des romans licencieux. L'Odalisque brune compte parmi ces peintures secrètes dont le XVIIIe siècle libertin s'est montré friand. Peinte en 1745 pour un amateur discret, elle est le fruit de ce siècle curieux de tout et épris de liberté autant que de licence. Le présent ouvrage s'attache à décrypter le contexte de la création ainsi que les significations multiples de cette toile originale, séduisante et ambiguë qui témoigne du goût des masques et des fantasmes orientaux des hommes des Lumières.

05/2019

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Imagiers, premiers dictionnair

Mon imagier à toucher Petit Ours Brun

Mon imagier à toucher Petit Ours Brun, un grand livre coloré avec 15 matières à toucher pour stimuler la curiosité et l'éveil sensoriel des tout-petits. Le poil du chat est doux, la serviette de toilette est rêche, la confiture est collante. . . il y a tant à explorer !

10/2022

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Histoire de France

L’Institut français de Naples. Les premières années

Créé en 1919, l'Institut français de Naples est l'un des tout premiers instituts français, implanté à peine plus de dix ans après l'Institut français de Florence. La présence officielle de la culture française en Italie du Sud se renforça durant l'entre-deux guerres, sous l'ère du fascisme, à travers la création et le développement de cette institution. Le choix de Naples pour implanter un institut s'explique par le fait que la ville constituait une place cosmopolite, attractive culturellement, économiquement et stratégiquement, dotée d'institutions locales capables de répondre aux défis lancés par un institut étranger. La faiblesse de l'enracinement français parmi les communautés étrangères montrait la nécessité d'une organisation institutionnelle des échanges intellectuels entre la France et l'Italie. Sur fond de guerre, entre 1914 et 1919, une nouvelle orientation de la propagande intellectuelle française se dessina. A sa création, l'Institut fut un temps considéré comme une nouvelle institution pour une paix nouvelle. Les pouvoirs publics français l'avaient envisagé comme un moyen de s'assurer une zone d'influence sur les régions méridionales italiennes et en Méditerranée. Son développement fut considérable entre 1919 et 1921. Le charisme des professeurs, l'intérêt croissant manifesté par les services officiels français et la nature même du fascisme méridional furent des facteurs favorables à ce succès, patent jusqu'en 1925, en dépit de la pression de la "? dictature légale ? ". A partir de 1925 cependant, menacé par un fascisme triomphant et radicalisé, l'Institut finit par apparaître comme une institution inadaptée, en raison de la précarité des relations politiques franco-italiennes et devant les exigences d'un nouvel équilibre mondial. Malgré la réorganisation des Instituts d'Italie en 1938, l'établissement, démuni, connut une lente agonie avant d'être mis sous séquestre par les autorités italiennes en 1940.

10/2019

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Terreur

L'institut

C'est le milieu de la nuit à Minneapolis. Des intrus entrent dans la maison de Luke Evans, jeune surdoué de 12 ans, assassinent ses parents et le kidnappent. Luke se réveille à L'Institut, dans une chambre qui ressemble à la sienne, sauf qu'elle n'a pas de fenêtre. Dans le couloir, d'autres portes derrière lesquelles se trouvent d'autres enfants dotés de talents particuliers : télépathie et télékinésie. Cette section, c'est le Front Half. Si les enfants réussissent les tests, ils gagnent des jetons pour accéder aux distributeurs et aux ordinateurs, et le droit de passer au Back Half, avant de rentrer enfin chez eux. Enfin, c'est ce que la sinistre directrice Mme Sigsby leur promet. En réalité, aucun d'entre eux n'a jamais réussi à sortir de L'Institut... Mais Luke n'a pas l'intention de se laisser faire. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Jean Esch.

08/2021

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Poches Littérature internation

Institut Benjamenta

"Nous apprenons très peu ici, on manque de personnel enseignant, et nous autres, garçons de l'Institut Benjamenta, nous n'arriverons à rien, c'est-à-dire que nous serons plus tard des gens très humbles et subalternes". Dès la première phrase, le ton est donné. Jacob von Gunten a quitté sa famille pour entrer de son plein gré dans ce pensionnat où l'on n'apprend qu'une chose : obéir sans discuter. C'est une discipline du corps et de l'âme qui lui procure de curieux plaisirs : être réduit à zéro tout en enfreignant le sacro-saint règlement. Jacob décrit ses condisciples, sort en ville, observe le directeur autoritaire, brutal, et sa sour Lise, la douceur même. Tout ce qu'il voit nourrit ses réflexions et ses rêveries, tandis que l'Institut Benjamenta perd lentement les qualités qui faisaient son renom et s'achemine vers le drame. "L'expérience réelle et la fantasmagorie sont ici dans un rapport poétique qui fait invinciblement penser à Kafka, dont on peut dire qu'il n'eût pas été tout à fait lui-même si Walser ne l'eût précédé", écrit Marthe Robert dans sa très belle préface où elle range l'écrivain, à juste titre, parmi les plus grands.

06/2006

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Littérature française

L'Institut

Quel regard porte un écrivain sur ses années étudiantes ? Pour le savoir, on a donné carte blanche à dix-huit auteurs passés sur les bancs de l'Institut d'études politiques de Grenoble, en leur demandant d'écrire une nouvelle autour de leurs années Sciences Po. Fictions, témoignages, souvenirs, ils se sont prêtés au jeu avec bonheur. Au fil des pages et au rythme des générations qui se sont succédé depuis 1948 dans l'école, on y découvre des intrigues improbables, on y croise des personnages délirants, on y noue des amitiés indéfectibles, on y voyage, on y rêve, on s'y découvre et on s'y perd. Ces dix-huit nouvelles forment un cocktail littéraire délicieux, mettant en lumière cette période douce-amère, sans retenue, qui est celle de l'insouciance des premiers coups de foudre et des grandes promesses de la vie dans laquelle ces écrivains mordent à pleines dents — et nous avec eux.

10/2018

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