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Burnside

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Histoire et Philosophiesophie

PIONEERS OF REPRESENTATION THEORY: FROBENIUS, BURNSIDE, SCHUR, AND BRAUER

The year 1897 was marked by two important mathematical events: the publication of the first paper on representations of finite groups by Ferdinand Georg Frobenius ( 1849-1917) and the appearance of the first treatise in English on the theory of finite groups by William Burnside (1852-1927). Burnside soon developed his own approach to representations of finite groups. In the next few years, working independently, Frobenius and Burnside explored the new subject and its applications to finite group theory. They were soon joined in this enterprise by Issai Schur (1875-194 1) and some years later, by Richard Brauer (1901-1977). These mathematicians' pioneering research is the subject of this book. It presents an account of the early history of representation theory through an analysis of the published work of the principals and others with whom the principals' work was interwoven. Also included are biographical sketches and enough mathematics to enable readers to follow the development of the subject. An introductory chapter contains some of the results involving characters of finite abelian groups by Lagrange, Gauss, and Dirichlet, which were part of the mathematical tradition from which Frobenius drew his inspiration. This book presents the early history of an active branch of mathematics. It includes enough detail to enable readers to learn the mathematics along with the history. The volume would be a suitable text for a course on representations of finite groups, particularly one emphasizing an historical point of view.

01/1999

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Littérature étrangère

L'été des noyés

Dans une île du nord de la Norvège, un endroit désert, magnifique et spectral où l'été est miraculeusement doux et radieux, Liv vit avec sa mère, une artiste peintre qui s'est retirée là en pleine gloire pour mieux travailler. Son seul ami est un vieil homme qui lui raconte des histoires de trolls, de sirènes et de la huldra, une créature surnaturelle qui apparaît sous les traits d'une femme à l'irrésistible beauté, pour séduire les jeunes gens et les conduire à affronter les dangers et la mort. Noyades inexplicables et disparitions énigmatiques se succèdent au cours des nuits blanches de cet été arctique qui donne aux choses un contour irréel, fantasmagorique. Incapable de sortir de l'adolescence et de vivre dans le monde réel, Liv erre dans ce paysage halluciné et se laisse dangereusement absorber dans la contemplation des mystères qu'il recèle. Voici un livre d'une intense poésie. Lyrique. Féerique. Dérangeant. Comme souvent chez Burnside, on est à la limite - difficile à appréhender - entre ce qu'on sait et ce qu'on rêve. On est aussi dans un grand thriller.

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Poches Littérature internation

Scintillation

D’un côté, l’Extraville préservée où se rassemblent les puissants. De l’autre, l’Intraville, celle des exclus, des laissés-pour-compte. Cette dernière n’offre guère de perspective à ses habitants. Les adultes y sont plongés dans l’apathie, les jeunes sont violents, les disparitions n’inquiètent personne… Seul Léonard, incurable optimiste et amoureux de littérature, va tenter d’échapper à la torpeur ambiante pour faire bouger les choses.

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Littérature étrangère

Un mensonge sur mon père

Mon père a passé sa vie a dire des mensonges et, parce que je ne savais pas faire autrement, je les ai répétés. Mon monde était un tissu de mensonges, grands et petits, sur tout. L'infarctus qui l'a emporté l'a surpris au pub à Corby entre le bar et le distributeur de cigarettes. C'était un enfant trouvé, un fabulateur, un buveur morose et menaçant à la main leste, il n'avait pas revu son fils depuis des années. L'extraordinaire histoire de cette relation manquée est aussi l'évocation d'une enfance perdue et saccagée. C'est aussi l'histoire du monde du père, un monde où les hommes se définissaient par les quantités d'alcool qu'ils pouvaient boire et le degré de souffrance auquel ils pouvaient résister. Des hommes construits sur la culpabilité et le machisme. Symbole de tout ce qui n'allait pas, John était devenu le destinataire de la haine de soi paternelle sous la forme d'une violence furieuse et, pire, d'une humiliation mesquine et cruelle. Il a appris à mentir à son père, puis plus tard sur son père. Poussant le langage à ses limites, voici un texte inoubliable sur deux hommes perdus: le père et le fils. Sur la façon de pardonner sans rien oublier.

01/2009

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Littérature étrangère

Les empreintes du diable

Une nuit d'hiver, il y a très longtemps, alors que la neige venait de tomber, le diable a traversé le village de pêcheurs de Coldhaven en laissant la trace de ses pas dans les rues et sur les toits. Michael a toujours vécu à Coldhaven et il s'y est toujours senti étranger, mais lorsque Moira, une de ses anciennes petites amies, décide que son mari violent est le diable et qu'elle se tue avec ses deux plus jeunes enfants en épargnant son aînée Hazel, elle met en marche un terrible engrenage qui va tout changer. Séduit et fasciné par la jeune Hazel, Michael va se laisser entraîner dans un voyage au bout duquel il sera forcé de faire face à ce qu'il est, d'affronter les démons de son passé. Dans un style qui a la force limpide des contes traditionnels, l'auteur nous raconte l'histoire d'un homme marqué par la peur et la culpabilité et nous révèle ce que peut cacher une vie ordinaire. John Burnside écrit là un roman d'une beauté aussi mystérieuse et terrifiante que les traces de pas sur la neige.

01/2008

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Littérature étrangère

Le bruit du dégel

Kate, étudiante à la dérive, fait des "enquêtes" cinématographiques dans les rues désertées des banlieues pavillonnaires. Son père vient de mourir brutalement et elle noie son chagrin dans la défonce. Au cours d'une de ses déambulations, elle rencontre Jean, une vieille dame en pleine forme qui coupe son bois et prépare des thés délicats. Jean propose un étrange marché: elle veut bien raconter ses histoires, mais à condition que Kate cesse de boire. Tandis que Jean déroule le mirage du rêve américain et règle ses comptes avec quelques fantômes, Vietnam, guerre froide, mouvements contestataires, Kate affronte enfin son deuil impossible et retrouve une place dans le monde. Avec sa prose magnétique et tendre, John Burnside rend le monde aux vivants et rappelle que seules les histoires nous sauvent.

08/2018

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