Recherche

Canard enchaîné

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Actualité et médias

Prises de bec. Les portraits du Canard Enchaîné

Impossible d'imaginer un livre plus salvateur pour se soigner contre les méfaits de l'époque ! Ces "Prises de bec", rubrique phare du Canard enchaîné, illustrent à merveille l'art de la satire exercé depuis plus d'un siècle par le plus célèbre des palmipèdes. Ces chroniques hebdomadaires, à la fois impertinentes et informées, nous racontent la vie politique et intellectuelle de la France et du monde depuis huit ans dans un style jubilatoire et d'une réjouissante liberté de ton. D'Emmanuel Macron à Joe Biden en passant par Benoît Hamon, Erdogan, Boris Johnson, Donald Trump et bien d'autres encore, ces portraits, illustrés par le dessinateur Kiro, mettent à nu les personnages dont l'auteur s'empare. La vérité profonde de ces hommes et femmes en quête de renommée éclate au grand jour sous cette plume amusée, jamais cruelle mais pleine de verve. L'auteur utilise ses talents de journaliste pour les saisir sur le vif dans leur vérité du moment et traquer aussi en eux les traits définitifs. Anne-Sophie Mercier nous fait sourire ou rire ; par son acuité journalistique, elle nous informe sur la farandole des ambitions dans la vie publique. Le Canard incarne ainsi le meilleur de la satire lorsqu'elle est animée par le goût de la liberté et du dire-vrai sans s'embarrasser des convenances ou des complicités qui trop souvent conduisent à dissimuler la vérité. A lire sans masque et à gorge déployée.

11/2020

ActuaLitté

Illustration

Peut-on rire du tout ? 35 ans de dessins au Canard enchaîné

Le 7 janvier 2015, deux terroristes entrent dans la rédaction de Charlie Hebdo... Ce qui était alors considéré comme acquis par l'immense majorité, ne l'est plus tant que ça. Soudainement, la liberté d'expression s'avère avoir un prix... Jusque-là Cabu et Wozniak, se contentaient de comparer, et de rire des régulières lettres grossières de lecteurs mécontents concernant leurs croquis irrévérencieux. Un autre temps. Mais quatre ans auparavant, Cabu s'était déjà posé la question en publiant Peut-on (encore) rire de tout, joyeux brûlot caricatural d'une centaine de pages où l'artiste défendait l'impunité intellectuelle. Deux semaines après la tragédie, Wozniak lui répond, en dessin évidemment. Et demande " Peut-on rire du tout ? "... Wozniak regroupe ici 35 ans d'analyses faussement naïves sur notre société et ses dérives. 35 ans de dessins et de caricatures parus dans Le Canard Enchaîné et dans Les Dossiers du Canard Enchaîné. Mais aussi 35 ans d'inédits et d'impubliables. Force est de constater que l'actualité se répète inlassablement, finalement seuls changent les noms des malchanceux qui en font la Une. Les méfaits d'hier sont toujours ceux d'aujourd'hui. Les dessins survivent à leurs événements. Des années Mitterrand à nos jours, une vision acidulée, caricaturale et encore brûlante rassemblée en une dizaine de thématiques : Immigration, Vie sociale, Religions, Guerres, Argent, Climat-Ecologie, Femmes, Police-Justice, Santé-Covid...

10/2021

ActuaLitté

Humour

Le Canard Enchaîné, 100 ans. Un siècle d'artistes et de dessins

Le Canard Enchaîné naît en pleine Guerre mondiale, dans un climat de propagande et de bourrage de crâne : tout le monde prétend dire la vérité, il affiche son choix de mentir… Difficile de faire rire dans une période tragique, mais il y réussit pleinement, avec son art de l'antiphrase, de la satire et de la dérision. Ses fondateurs : un journaliste, Maurice Maréchal, et un dessinateur, Henri-Paul Gassier. Après cinq premiers numéros parus à l'automne 1915, le Volatile doit interrompre son vol, faute d'avoir trouvé suffisamment de lecteurs. Mais le 5 juillet 1916, nouveau départ, nouvel envol, définitif celui-là, dans l'esprit libertaire et insoumis qui est le sien depuis un siècle désormais. Seul journal français, à ce jour, à n'accepter aucune publicité et à ne vivre que de ses lecteurs, il a connu un succès croissant au fil des décennies. Assis sur un trésor de guerre conséquent, il s'est donné les moyens de sa liberté, pour déjouer toutes les tentatives de récupération ou d'intimidation. En un siècle, le Volatile n'a épargné personne. Autorités politiques, militaires, religieuses, diplomatiques, académiques, tout le monde en prend pour son grade. Sa force : faire rire. Sa puissance : ne dépendre de rien ni de personne. Cent ans, et seulement quatre directeurs (Maurice Maréchal, René Tréno, Roger Fressoz, Michel Gaillard) ! Signe de stabilité, et d'un esprit d'équipe soudée, qui a traversé des crises, connu des départs plus ou moins fracassants, des clivages politiques, mais a su garder ses ennemis de toujours : l'esprit de sérieux, les académismes, les magouilles et les affaires, les turpitudes et les hypocrisies, les lâchetés et les forfanteries. Il y eut aussi la dénonciation à la fois ferme et sarcastique des totalitarismes, des fascismes, des guerres. Il y eut l'interruption de publication, la seule en un siècle, de juin 1940 à septembre 1944, sous l'Occupation. Il y eut des périodes de censure (pendant les deux conflits mondiaux, ou les " événements "), des tentatives d'écoute (les fameux micros !) et d'enfumage. Il y eut des procès. Il y eut, aussi, la disparition tragique de collaborateurs comme Cabu, si présent, si inspiré, un jour de janvier 2015. Les politiciens le craignent, mais ne ratent pas un numéro. " Que dit le Volatile cette semaine ? ", demandait le général de Gaulle, l'une des nombreuses têtes de turc du Canard enchaîné. Avant lui, il y eut Barrès, Millerand, Lebrun, Daladier. Après lui, Pompidou, Giscard, Mitterrand (un peu moins), Chirac (beaucoup), Sarkozy (encore plus). Quant à Hollande, c'est " Pépère " : tout un programme… . De quoi est fait le livre L'histoire du Canard Enchaîné se déroule à travers un large choix de plus de 2000 articles et dessins, organisés chronologiquement et thématiquement, présentés par de brèves notices pour les restituer dans leur contexte. C'est évidemment la politique française qui donne la scansion de cette histoire et son découpage en périodes. Mais il y a plein d'autres choses. Le colonialisme, le fascisme, la cause des femmes, les affaires politico-financières, les guerres, les media, les mondiaux de foot, etc. Patrick Rambaud, compagnon de route et proche ami du journal, retrace avec le "Roman du Canard" (une centaine de pages du livre) une histoire haute en couleurs, faite de personnages saillants et souvent truculents, dans des époques restituées avec force détails révélateurs. 100 ans de Palmipède et quelques chiffres Le Canard Enchaîné, c'est près d'un demi-million d'exemplaires vendus chaque semaine, et un public, régulier ou irrégulier, très attaché à ce titre, ressenti comme une particularité française et une protection contre la bêtise et contre l'arrogance des puissants. Le livre s'adresse à ce lectorat, mais tout autant à un public curieux de revisiter un siècle d'histoire à travers le prisme souvent si drôle et éclairant de la satire.

10/2016

ActuaLitté

Humour

Le Canard enchaîné, 101 ans. Un siècle d'articles et de dessins

Né dans le fracas de l'été 1916, en pleine Première Guerre mondiale, Le Canard enchaîné fait clairement le choix, dès son premier numéro, de rire et faire rire de ce qui est à pleurer : " Mon premier mouvement, quand je vois quelque chose de scandaleux ", répétait son fondateur Maurice Maréchal, " est de m'indigner, mon second mouvement est d'en rire. C'est plus difficile, mais autrement plus efficace. " Bataillant contre toutes les censures, contre les " bourrages de crâne ", les intolérances, les abus de pouvoir, et les mensonges d'état, le journal, fidèle à cette ligne, a traversé gaillardement un siècle d'histoire en n'épargnant aucune autorité. Il est resté indépendant n'appartenant qu'à ses salariés. " L'hebdomadaire satirique paraissant le mercredi " ne vit depuis cent ans que de ses lecteurs. Sans publicité, il a su sauvegarder, sous trois Républiques, les moyens d'une indépendance économique et donc d'une liberté qui font aujourd'hui figure d'exception. Cette liberté de moyens et de ton confèrent à l'hebdomadaire que de Gaulle nommait " Le Volatile " sa force et sa crédibilité, y compris auprès des puissants qui, chaque semaine, y sont brocardés. C'est de cet " esprit Canard ", désormais séculaire, que plus de deux mille articles et dessins réunis dans ce livre retracent l'histoire. De son côté l'écrivain Patrick Rambaud, chargé d'assurer la chronique d'un siècle de Canard, a choisi d'en faire un roman, riche d'anecdotes savoureuses et de personnages hauts en couleur.

10/2017

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Zuckerman enchaîné

Nathan Zuckerman s'est attiré par ses écrits l'opprobre de sa famille, juive et traditionnaliste. Tout jeune dans L'écrivain fantôme, il quête l'amour paternel d'E. I. Lonoff, un écrivain confirmé. Mais il est distrait de cette entreprise par la jeune Amy Bellette. Ni les fantasmes qu'elle déclenche, ni la célébrité n'auront raison de sa culpabilité : dans Zuckerman délivré, Nathan a quinze ans de plus et il a "réussi", mais il est toujours harcelé - par le demi-fou Alvin Pepler, qui le met dans des situations truculentes, et par le souvenir de son père qui meurt en le traitant d'apostat. Il essaie la boisson, prend la décision de n'être plus rien, et il est encore là, personnage principal de La leçon d'anatomie, condamné par la douleur à vivre couché, proie des femmes qui le soignent, des médecins et du critique Milton Appel. L'humour de Philip Roth ne désarme pas dans L'orgie de Prague, épilogue de son cycle romanesque, où l'on retrouve Nathan chargé par Sisovsky, éternelle image du père, de ramener un manuscrit de Tchécoslovaquie, et jouet, là-bas, d'événements tragi-comiques.

03/2010

ActuaLitté

Humour

Sur l'album de la Comtesse. 2800 contrepèteries du Canard enchaîné, 70 dessins indédits

Ce troisième tome des Mémoires de la Comtesse M. de la F. rassemble les contrepèteries parues dans le Canard Enchaîné de juillet 1979 à avril 1987, dont certaines sont l'oeuvre de lecteurs. En huit ans, Marianne V a fait l'apprentissage de l'Alternance et de la Cohabitation. Elle a connu la fin du Giscardisme, ses "diams" et ses chasses, emportés par l'arrivée des Gauches, le 10 mai, l'état de grâce, la rigueur, les dévaluations, les renifleurs, l'affaire Greenpeace, la revanche de l'Argent, la Crise étudiante de 1986. Alors que se profilent d'autres perspectives présidentielles, la France est dans l'attente. C'est le moment de bien rire avant l'élection. Tonton et Valéry, Jacquou et Fafa, Gros Quinquin et Babarre sont les principaux acteurs de ce psychodrame contrapétique sur lequel plane le souvenir du grand Luc Etienne, Comtesse du Canard de 1957 à 1984. Mais cet ouvrage est aussi une plongée dans les arcanes du Contrepet : on apprend à classer, traduire, déguster, inventer, enchaîner les contrepèteries, analyser les pulsions contrepétulantes. C'est encore une collection de petites notes rappelant, contrapétiquement, péripéties oubliées ou personnages fugitivement célèbres, sorte de mini-Album bis. Ce sont enfin des textes et discours inédits, le tout du cru de l'actuelle Comtesse, coupable de plus des trois quarts des contrepèteries de ce recueil et dont bien des lecteurs ont goûté le Manuel de Contrepet, l'art de déCaler les Sons (chez le même éditeur).

06/2019

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté