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Dictionnaires français

Collection C. Charier

Collection C. Charier Date de l'édition originale : 1905 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2021

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Littérature française

Hors du charnier natal

Ayant décidé d'écrire la biographie romancée d'un anthropologue russe, un certain Nikolaï Mikloukho Maklaï (1846-1888); l'auteur retrace le parcours de cet aventurier qui s'exila volontairement en Nouvelle-Guinée et finit par faire l'objet d'un culte étrange. Mais ce qui aurait pu donner lieu à un " petit bijou ciselé" prend vite avec Claro une autre tournure. L'entreprise littéraire vacille sous les heurts d'une voix soudain plus personnelle. Chaque élément de la vie de Mikloukho-Maklaï se double alors d'un règlement de comptes. Dès qu'il commence à prendre chair, à s'animer, l'auteur brise le processus d'incarnation pour livrer au lecteur, rageusement ou froidement, un récit parallèle, aussi intime que sujet à caution. Biographie accidentée d'un misanthrope aux semelles de vent, Hors du charnier natal est à la fois un récit à double-fond et une confession rageuse. Entre l'auteur et son sujet, l'écriture s'avance, têtue et coriace, prête à donner autant de coups qu'elle en reçoit. S'engageant dans le récit comme si c'était une partie de roulette russe, Claro lâche le mort pour le vif et retourne sans vergogne l'autofiction contre elle-même.

01/2017

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Vie chrétienne

André Charlier, 1895-1971. Mémorial

Il y a cinquante ans, le 8 août 1971, André Charlier mourait à l'âge de 75 ans, dans la maison de retraite de la rue des Martyrs à Paris. Les textes qui composent ce Mémorial (extraits pour la plupart de brochures d'hommage), se veulent un témoignage de fidélité à la mémoire de celui qui fut pour leurs auteurs un frère, un ami, un maître ou un père spirituel. A propos d'André Charlier : Après avoir été blessé et fait prisonnier en Allemagne pendant la Première Guerre mondiale, André Charlier se tourna finalement vers l'enseignement. Devenu Directeur de l'Ecole des Roches de Maslacq, transférée ensuite à Clères, sa grande oeuvre sera la formation de la jeunesse. Son ami Paul Claudel voit en Charlier, beaucoup plus qu'un éducateur, un maître spirituel : "le maître idéal suivant l'Esprit de Dieu et le coeur chrétien" .

06/2021

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Du XVIe au XIXe siècle

Le charnier de la République

Durant la Révolution française, l'épisode connu depuis comme "la Grande Terreur" (14 juin 1794 au 27 juillet 1794), a été marqué par l'exécution à Paris, place du Trône renversé - aujourd'hui place de la Nation -, de plus de 1300 personnes en six semaines. Ces exécutions en masse ont nécessité le creusement de fosses communes pour recevoir les corps des victimes, véritables charniers institutionnalisés dont les pouvoirs publics ont tenté en vain d'effacer la mémoire, avant qu'ils deviennent un cimetière privé, le cimetière de Picpus. Nombreux sont ceux qui ont été mis à mort pour leur fidélité à la religion et à la foi de leurs ancêtres : par exemple, les bienheureuses carmélites de Compiègne pour lesquelles est actuellement en cours une procédure en vue de leur canonisation équipollente.

03/2023

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Littérature française

Les Charrier du Pas de Pierre

1837-1900. Jeanine Picard raconte ici avec authenticité la vie des Charrier, enfants de petits paysans, obligés de quitter leur famille avec un modeste trousseau pour aller travailler chez les autres. La misère, les moqueries et l'humiliation, le poids de l'église mais aussi les contes auprès du feu, les rires des enfants et leur insouciance, l'auteur témoigne ici de la vie paysanne dans tout le bocage Bas-Poitevin au temps des dissidences et de la création de la Petite Eglise.

06/2019

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Religion

André Charlier, le prix d'une oeuvre

"Je remercie Dieu de ce qu'Il m'ait fait comprendre que je ne devais pas être un compositeur ni un écrivain. Mon mode d'expression était certainement la musique, mais il est non moins certain que je ne devais pas en user". Cette confidence d'André Charlier à ses trois filles lève le voile sur la vie d'un converti, baptisé à l'âge de dix-huit ans, qui désira dès l'adolescence "accomplir une oeuvre inspirée de Dieu... faire quelque chose de beau pour Dieu". Après avoir été blessé et fait prisonnier en Allemagne pendant la Première Guerre mondiale, André Charlier se tourna finalement vers l'enseignement. Devenu Directeur de l'Ecole des Roches de Maslacq, transférée ensuite à Clères, sa grande oeuvre sera la formation de la jeunesse. Son ami Paul Claudel voit en Charlier, beaucoup plus qu'un éducateur, un maître spirituel : "le maître idéal suivant l'Esprit de Dieu et le coeur chrétien". Et Monseigneur Henri Brincard résume ainsi cette oeuvre de formation de la jeunesse : "un élan de toute l'âme vers "la Lumière"". John Keith, un jeune américain venu étudier pendant quelques mois à Clères, confiait y avoir trouvé "une Ecole simple et non pas prétentieuse", où l'on se "trouve face-à-face avec Dieu". L'instrument de cette rencontre avec Dieu était André Charlier lui-même, comme Antoine de Lévis-Mirepoix l'explique dans la Préface. Mais cette oeuvre exigea d'André Charlier qu'il renonce, après la mort de sa première femme en 1940, à redonner un véritable foyer à ses propres filles, sacrifice douloureux à son coeur de père et sur lequel il revient souvent dans le Journal qu'il écrivit à leur intention : "Vous avez eu [à Maslacq] une vie fort agréable en somme, et je pense qu'elle restera pour vous comme un beau souvenir. Pas un vrai foyer sans doute, mais qu'y puis-je ? J'ai dû sacrifier cela à l'Ecole, et ce n'est pas moi qui ai voulu assumer cette charge". Par ces sacrifices librement consentis, André Charlier fut un "témoin de l'Eternel", comme il se définit lui-même. Son ami Gustave Thibon l'avait compris, qui lui écrivait : "Je pense souvent, très souvent à vous comme à l'un des derniers témoins des choses qui demeurent." C'est ce témoignage de toute une vie que nous livre cette première biographie d'André Charlier.

09/2019

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