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Christianisme

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Religion

Christianisme

C'est en Palestine, sous l'occupation romaine, qu'est né Jésus, probablement entre l'an 6 et l'an 4 avant notre ère. Sa vie, sa prédication, son interprétation de la Bible, sa victoire sur la mort font de lui le fils de Dieu aux yeux d'une petite communauté qui bientôt s'étendra à travers le monde. Aujourd'hui religion majoritaire dans les pays développés et dans une fraction importante du tiers monde, le christianisme a donné une patrie spirituelle à des millions d'hommes et de femmes.

01/2003

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Documentaires jeunesse

Le Christianisme

3 religions monothéistes, islam, judaïsme et christianisme. Le christianisme n'est lié à aucun peuple, aucune race, aucun pays, aucune langue. Il n'est pas, contrairement à ce qu'on pourrait penser, une religion occidentale. Il est né au Moyen-Orient et les trois plus importants pays catholiques sont le Brésil, le Mexique et les Philippines ! Au 21e siècle, près de 2,5 milliards d'humains sont des chrétiens. Cet ouvrage raconte l'histoire du Christianisme, d'hier à aujourd'hui.

06/2020

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Beaux arts

Le Christianisme

Le christianisme désigne tout à la fois un ensemble complexe d'Eglises, communautés, sectes et groupes, et les conceptions qui les animent, centrées sur l'annonce du Règne de Dieu, la profession de foi en Jésus, le fils du Dieu unique, Seigneur et Créateur, qui s'est incarné, est mort et ressuscité pour le salut de l'humanité. C'est aujourd'hui la plus importante des religions universelles, avec plus de deux milliards de fidèles, répartis en quatre confessions principales : catholicisme, orthodoxie, protestantisme et anglicanisme. Elle est présente surtout en Europe - où la pratique religieuse tend à faiblir -, en Afrique et dans les Amériques. Fondé voilà vingt siècles autour de la figure historique de Jésus de Nazareth, le christianisme s'appuie sur des textes sacrés présentés dans la première partie de cet ouvrage, " Origine et diffusion ". Elle permet de comprendre, à travers des périodes clefs, de quelle façon une secte persécutée s'affirma comme une religion mondiale. Sa réalité composite, profondément conditionnée par les diverses interprétations et transmissions de la foi originelle, prend tout son sens dans l'étude des confessions qui la composent, objet de la deuxième partie. La suivante se consacre aux théories, déclinant les principes fondateurs, les figures divines, l'au-delà, les concepts et les doctrines. Enfin, " Les pratiques " présente les notions de prière, de culte et de dévotion, les fêtes et le cycle liturgique, le martyre et la sainteté, pour se clore par le monachisme. Une carte de la diffusion du christianisme, un index et une bibliographie complètent la documentation. La riche iconographie présentée ici s'inscrit au cœur même de l'identité chrétienne. Si le christianisme, fidèle à l'héritage judaïque, choisit à l'origine la voie de l'aniconisme, en acceptant la représentation visuelle, il a donné naissance à l'histoire de l'art telle que nous la connaissons, mais aussi élaboré les fondements théoriques d'une culture globale dont les effets se font sentir aujourd'hui.

09/2008

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Religion

Le judéo-christianisme

Judéo-christianisme : l'expression, utilisée à tout propos, a-t-elle encore un sens ? Le phénomène " judéo-chrétien " de coexistence de cultures religieuses se manifesta deux fois : au début, avec les juifs convertis au christianisme qui continuaient à observer leurs rites et plaçaient leurs croyances dans le contexte exclusif de l'Ancien Testament ; puis aux VIe et VIIe siècles, quand le pouvoir civil, au nom de la religion d'Etat, força les juifs à se convertir au christianisme. Si, au commencement, Jésus étant juif et les apôtres aussi, le christianisme fut redevable des convictions du judaïsme du premier siècle de notre ère, toute son histoire depuis lors est celle de son détachement comme un fruit de la branche qui le portait. Sa volonté de se distinguer du judaïsme prend deux voies : avec l'allégorie, il s'approprie le livre du judaïsme, l'Ancien Testament, en le considérant le précurseur et la justification du Nouveau ; avec la formulation dogmatique, l'Eglise présente à l'éventuel fidèle une série de croyances qu'il devra accepter, lui proposant d'emblée la " conversion " à un nouvel ordre de réalités. Judaïsme et christianisme ne constituent pas un tout parce que les deux religions sont extérieures l'une à l'autre même si celle-ci suit de près celle-là ; elles se côtoient, ne se confondent pas. Voilà qui vide de contenu toute forme religieuse d'antisémitisme, puisqu'on ne saurait, au nom d'un tronc commun " judéo-chrétien ", accuser les juifs de nier l'envergure religieuse et culturelle du message chrétien, tant les deux religions sont organiquement différentes l'une de l'autre.

08/2006

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Religion

Civilisation et christianisme

Voici un maître livre pour comprendre la civilisation occidentale et son évolution. Elle se cherche, entre honte, déliquescence, individualisme et incivilités ; elle est remise en question par les questions environnementales, la hausse des inégalités, l'islamisme et l'ascension de la Chine. Et certains voudraient la réduire à un art de vivre aux terrasses des cafés. Ce bref essai, limpide, de Claude Paulot lui redonne sa juste place. Il nous montre que ce qui la définit et l'a amenée à son plus haut niveau, c'est la quête de la vérité, comme allégeance et hommage au réel, grâce à l'imprégnation chrétienne. Cependant, aucune civilisation n'est un absolu éternel ; elle est seulement, et c'est beaucoup, la plénitude du développement d'une société dans toutes ses dimensions, techniques et humaines. Elle n'est donc pas le bien absolu, mais un moyen au service d'une finalité plus grande : le bonheur des hommes en route vers le royaume de Dieu.

01/2021

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Généralités

Christianisme et esclavage

Pourquoi les Eglises et les chrétiens ont-ils tant tardé à se mobiliser en faveur de l'abolition de l'esclavage ? Et comment a-t-on pu si longtemps s'accommoder de cette insoutenable contradiction associant une religion prônant l'amour de son prochain avec la réalité de pratiques esclavagistes attentatoires à la dignité humaine, parfois justifiées par des alibis religieux, voire génératrices de profits pour l'institution ecclésiastique ? A ce premier discours très critique en répond un second présentant l'histoire du christianisme comme celle d'une lente, nécessaire et logique maturation de l'idée abolitionniste, en quelque sorte contenue en germe dans son esprit. Aucune de ces explications univoques ne peut rendre compte d'une relation aussi complexe. Antique, médiéval, moderne ou contemporain, l'esclavage se recompose en effet en permanence, jouant un rôle plus ou moins important selon les époques, et touchant des populations différentes. Le christianisme, aussi, se recompose sans cesse. Et les débats se multiplient, s'enchevêtrent, se recombinent. Paul pense que le chrétien doit se faire esclave de Dieu pour se libérer du péché. Pendant des siècles on s'évertue à protéger de l'abjuration les chrétiens esclaves de non-coreligionnaires, tout en admettant qu'un chrétien puisse être esclave d'un frère en foi. La question concerne également l'Autre, musulman, Indien d'Amérique, Africain. Théologiens, institutions, simples chrétiens se questionnent, s'affrontent parfois. Aux fausses certitudes de certains répondent les doutes et l'engagement d'autres. Au XV ? siècle, cela en est fini de l'esclavage des chrétiens par des chrétiens. Au siècle suivant, l'esclavage des Indiens est officiellement aboli dans l'Amérique espagnole, avant que ne se pose la question de celui des Africains.

09/2021

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